que la fidélité des uns et des autres pour leurs maîtresses et leurs
épouses
, et des dames pour leurs amants et leurs maris. L
niers étaient si peu prévenus d’estime pour leurs maîtresses et leurs
épouses
, qu’ils ne se reposaient de leur fidélité que sur
assuraient entièrement de la fidélité de leurs maîtresses et de leurs
épouses
sur leur propre vertu et leur sagesse seule, dénu
convenaient qu’il y avait en France beaucoup de maîtresses et même d’
épouses
, qui trompaient cette confiance, et qui étaient v
t les hommes mariés abandonnaient en France leurs maîtresses et leurs
épouses
à la garde de leur seule bonne foi, puisque toute
plutôt du dépit et des chagrins, que des soupçons mal fondés de leurs
époux
leur donnaient, que d’aucun penchant à l’infidéli
, on ne voyait point de Français se jeter, pour l’infidélité de leurs
épouses
, dans le dernier désespoir, comme on le voyait so
la différence qu’il y a entre ces divers procédés de gens qui ont des
épouses
infidèles, dit Sainville, et qu’il y en a qui son
ur montrer que ce ne sont pas ceux qui examinent la conduite de leurs
épouses
avec le plus de vigilance qui sont le plus à couv
ont appris son aventure, laquelle s’est enfin terminée à faire de son
épouse
une des femmes de France des plus sages et des pl
tite fille que je nommerai Silvie. Pénétré du regret de la mort d’une
épouse
qu’il avait parfaitement aimée, il ne voulut plus
n venir aussi avant qu’elle en vint. La peur de faire connaître à son
époux
qu’elle avait eu quelque considération pour Vervi
les furent tendres. Justin s’apercevant enfin des dissipations de son
épouse
, résolut d’en découvrir le sujet, et la surprit u
; mais ne voyant aucun vestige de ce qui se passait entre eux, et cet
époux
sage et prudent voulant bien lui-même ne pas s’ap
igné, et elle paraissait n’avoir plus de commerce avec lui ; mais son
époux
n’en fut pas plus indulgent, et soutint plus de s
x n’en fut pas plus indulgent, et soutint plus de six mois son rôle d’
époux
implacable et sans retour. Il avait d’autant plus
plaira. Pendant tout ce temps-là Silvie resta aux pieds tantôt de son
époux
, tantôt de son père, dans un état digne de compas
s dans la chambre. Sitôt qu’elle y fut, elle se jeta aux pieds de son
époux
, qui la releva ; elle en fit autant à son père, q
dant toute sa vie des fautes qu’elle avait faites, et de supplier son
époux
de les oublier, et d’y contribuer elle-même par u
les bras l’un de l’autre. Je vous reprends, Madame, lui dit enfin son
époux
, je consens d’oublier tout ce qui s’est passé, et
e fut ravie de demeurer dans un endroit qui pût lui servir auprès son
époux
de caution de sa conduite ; elle n’avait pas plus
en faiblesse. La comtesse Eugénie ayant appris que ce blessé était l’
époux
de cette dame française, lui fit aussi prendre le
rsqu’ils y arrivèrent ils le trouvèrent éveillé, fort en peine de son
épouse
qu’il avait envoyé chercher de tous côtés : comme
pas, tant il eut de joie de voir chez lui le duc d’Albuquerque et son
épouse
; il les combla de civilités, et ils y répondiren
hommes, et avait envoyé chercher le chirurgien qui avait soin de son
époux
pour visiter les blessures de Deshayes et de Sain
regardait Don Pedre et elle, et le pria de n’en pas plus parler à son
époux
qu’il avait parlé d’Octavio, parce que cela augme
souper étant venue, Eugénie fit mettre la table auprès du lit de son
époux
, et alla quérir les belles Françaises ses hôtesse
as triste ; Eugénie se contraignit pour ne donner aucun soupçon à son
époux
; le duc et la duchesse d’Albuquerque tâchèrent d
mauvais traitements de votre père, et [contre] la beauté d’une autre
épouse
qui vous serait offerte. Je la rassurai de ses cr
ut être qu’une chambre ; et si vous y entriez autrement que comme mon
épouse
, vous pourriez être reconnue, et ce serait le com
rtais pas bien, ce ne serait pas par ignorance. Je lui jurai pour mon
épouse
, une tendresse et un attachement éternel ; je le
faire tout ce qu’il voudrait que je fisse, et d’y faire consentir mon
épouse
. Cela étant résolu de la sorte, nous prîmes jour
e je veux dire, je me livre toute à vous, je me contente d’être votre
épouse
devant Dieu, et je vous laisse le maître de me fa
int trompée ; je n’abuserai point de votre confiance ; vous serez mon
épouse
, et devant Dieu et devant les hommes, la seule mo
emme vivement pénétrée de reconnaissance et de la beauté de ma future
épouse
, ne pouvait se lasser d’en parler avec mille excl
il est, est presque ma seule consolation, tant la mort funeste de mon
épouse
l’a touchée ; et je répondrais bien que ses regre
ouvrit ensuite la porte, et ce prêtre dit la messe publiquement. Mon
épouse
sortit la première, les autres la suivirent. Je r
t valable. Il me donna la promesse qui était écrite de la main de mon
épouse
, et me mena dans sa chambre, où il fit venir deux
tique. Nous retournâmes ensuite au logis, où il donna ce paquet à mon
épouse
. Voilà, Mademoiselle, lui dit-il, tout ce qui se
l n’y avait plus rien à dire et qu’elle pouvait me regarder comme son
époux
, sans aucune difficulté : aussi n’en fit-elle poi
arce que mon laquais ne m’avait pas suivi. Cette femme me dit que mon
épouse
était venue il y avait environ une heure. Qu’elle
rrait. Après l’avoir bien fait accommoder, j’étais venu retrouver mon
épouse
. J’étais au désespoir de l’avoir commise si mal à
ème mois de sa grossesse, et qu’il y en a plus de dix qu’elle est mon
épouse
. À peine pus-je achever, tant elle m’interrompit
e je venais de recevoir. Je sortis sans la ramasser. J’allai voir mon
épouse
pour la dernière fois de ma vie. Elle me dit aprè
e transport, auquel je m’opposai autant que je pus. Le malheur de mon
épouse
et le mien voulut qu’elle se servît de tout le po
t, et y trouva ces paroles. BILLET. M’avez-vous abandonnée, mon cher
époux
? Quoi, dans l’état où je suis sans force, dans u
let de tout ce qu’il voudrait pour me permettre d’écrire un mot à mon
épouse
, et l’engager à le lui faire rendre. Je m’engagea
ma mort, parce que je veux pardonner à tout le monde. Adieu mon cher
époux
, il ne vous restera de moi que le souvenir. Je se
une vie scandaleuse comme celle que vous menez. Eh bien, lui dit son
épouse
, défâchez-vous, vous aurez bientôt satisfaction,
ire entre d’honnêtes gens, Des Frans lui demanda des nouvelles de son
épouse
. Il répondit qu’elle dormait, et qu’il n’était pa
ivant toutes les apparences, durera autant que leur vie. Jussy et son
épouse
firent leur excuse à Madame de Mongey qui les reç
je veux dire que souvent la tendresse d’une femme est à charge à son
époux
: suivons toujours mon exemple. Je rentre assez s
e beau sujet de plainte ! Eh bien, poursuivit-elle, s’adressant à son
époux
, je ne vous en donnerai plus, et je vous assure q
us-même. Je vous ai dit que Gallouin n’a pas cru que Silvie fût votre
épouse
, qu’ainsi il n’a pas cru vous faire aucune insult
nfidence de leurs affaires. La duchesse de Médoc avait dit au duc son
époux
par un reproche fort obligeant pour la marquise,
s besoin du crédit du prince de Melphe. Il le manda à la marquise son
épouse
, mais elle ne reçut pas sa lettre sitôt que le du
s communiqua, n’eut plus d’inquiétude de ce qui pouvait arriver à son
époux
, et ne craignit plus que les mauvais traitements
ait. La marquise ayant par là l’esprit en repos, les ducs et les deux
épouses
n’ayant eu aucun sujet de chagrin que par rapport
ujet de chagrin que par rapport à leurs amis, le comte Valerio et son
épouse
étant contents, Sainville et sa veuve étant dans
la duchesse et Eugénie, qui outre cela lui devait encore celle de son
époux
, et peut-être son honneur. Les Espagnols et les F
x qui les connaissaient ; toutes les femmes enviaient le bonheur de l’
épouse
, et les hommes celui du mari ; en un mot on ne vo
était donc convaincu que jamais femme n’avait été autant aimée de son
époux
que celle-là l’était du sien ; elle le crut aussi
’honnêteté de ne dire à qui que ce fût les chimériques visions de son
époux
, et rejeta sur elle-même la cause de la vie retir
eur à personne ; et pour toujours sauver la réputation de son indigne
époux
, elle prit tout sur elle-même ; mais à la fin il
x, lui offrit sa vie et tout ce qu’elle possédait pour la venger d’un
époux
si indigne ; et enfin voyant que Célénie ne l’int
it pour avoir accès auprès d’elle, et pour gagner la confiance de son
époux
. Il lui parla de cette ceinture comme du plus vif
ont que son mari lui pouvait faire ; et enfin lui peignit son indigne
époux
avec des couleurs si naturelles, qu’elle cessa de
en partie banni de son cœur l’amour qu’elle avait eu pour son indigne
époux
, elle l’aimerait, si elle était capable de se dém
e et la pureté de ses intentions, mais aussi par la précaution de son
époux
; mais que cependant il n’était ni de son honneur
s laisser exposée, et ce que vous devez craindre des fureurs de votre
époux
, qui se figurera tout un autre sujet de mon éloig
inua-t-il, mais j’en sors dans le dessein d’en arracher votre indigne
époux
d’une manière ou d’une autre. J’ai assez d’amis e
ls ne s’accordent pas avec le respect qu’une honnête femme doit à son
époux
tel qu’il soit ; mais, Madame, suspendez votre ju
il est certain que je périrai, mais je ne périrai pas seule, et votre
époux
me tiendra compagnie ; c’est à vous à voir si vou
résentement, Madame, poursuivit-elle, qu’il est de l’intérêt de votre
époux
que ma vie soit en sûreté ; cependant vous ne sav
vez sur cela ce qui s’est passé, et comment enfin il est devenu votre
époux
. C’est à vous à voir à présent s’il vous est plus
aître à ses auditeurs qui était la marquise, et le péril où était son
époux
à Naples, et la reprit pour dire que dans le temp
uatre jours après le départ de Silvie. Cependant Deshayes sut que son
épouse
était sortie de Paris ; mais suivant les apparenc
Nous ne savons point par quel moyen il a su la route que prenait son
épouse
, mais enfin il l’a su, puisqu’il l’a suivie et tr
Silvie en a encore bien plus de besoin contre les persécutions de son
époux
qui est celui qu’on apportait lorsque nous sortio
l peut en revenir, trouvez bon que je vous prévienne en faveur de son
épouse
qui n’est pas seule à réclamer votre crédit. La m
nde, Monsieur, et l’honneur de votre appui à la Cour en faveur de son
époux
que le vice-roi de Naples retient en prison avec
it celui du duc d’Albuquerque, qui allait avec la belle Dorothée, son
épouse
, chez le duc de Médoc, qui était celui qui avait
celui-ci qui était son parent fort proche, y allait, et y menait son
épouse
, que cette dame n’avait point encore vue. On a vu
fruit que d’être bien fatigués. Cependant le duc d’Albuquerque et son
épouse
restés auprès d’Eugénie qu’ils ne connaissaient p
rio qu’il connaissait particulièrement, s’il avait su que c’était son
épouse
qu’il avait avec lui, mais n’en sachant encore ri
ait envoyé quérir avec sa fille. Le duc d’Albuquerque et Dorothée son
épouse
en parlèrent les premiers à table en soupant, et
ise, qu’elle lui donna ; et celle-ci qui la reconnut pour être de son
époux
la lut avec empressement. Elle y trouva la confir
u’elle avait eu la bonté de lui écrire en sa faveur. Il chargeait son
épouse
d’en bien remercier cette dame et de rester auprè
désenchantement de Dulcinée, elle en reçut une autre par laquelle son
époux
lui donnait rendez-vous à Madrid. Elle se disposa
er un caillou de beurre. — Eh bien, dit-elle, si tu es si scrupuleux,
épouse
-moi. Quand tu seras marié avec moi, tu seras bour
est qu’en dira-t-on qui tienne. Voyez la belle proposition ! que je l’
épouse
, dit-elle ; pardi bon, comme si je n’avais pas dé
ris que depuis son mariage, elle était jaune comme un coing : que son
époux
n’était pas mieux, et qu’ils faisaient très mauva
Je lui fis voir des transports qu’elle aurait fort souhaités dans son
époux
. La comparaison qu’elle en fit dans ce moment la
ture, et qu’elle aurait pour lors tout sujet d’être satisfaite de son
époux
. Cette femme en parla à Sophie qui me le dit. Je
retraite d’auprès d’elle, crainte de lui faire des affaires avec son
époux
, ne soit d’un parfaitement honnête homme ; et d’u
tait d’un intérêt sordide, la générosité et le désintéressement d’une
épouse
étaient des vertus qu’elle ne connaissait pas, ou
tu d’une femme consiste dans une attache entière à la personne de son
époux
, à qui elle doit être toujours prête de tendre le
; ce qui me fit croire que la belle s’était couchée en attendant son
époux
, qui est venu peu de temps après, et qui s’est ap
faite de sa vie. Sans doute aussi qu’elle connaissait le génie de son
époux
incapable de s’embarrasser par qui avait été tenu
? Non, sans doute, ma sœur, répondit la consolatrice. Je blâme votre
époux
, il est en effet à blâmer ; mais je n’approuve po
amille a cru que j’étais la femme du monde la plus heureuse, et lui l’
époux
de Paris le plus fidèle ; et en effet, ni vous ni
rlez comme une nouvelle mariée, et quand vous serez dégoûtée de votre
époux
, comme il commence à l’être de vous, vous concevr
les retiennent ; et la jalousie qu’elle prend des dissipations de son
époux
provient ordinairement moins de l’amour qu’elle a
plus belle que les autres, et plus en état de remplir le cœur de son
époux
que toute autre. Avouez-le de bonne foi, poursuiv
poursuivit cette veuve, comme doit vivre une femme d’honneur avec son
époux
. J’ai suivi la coutume du pays où Dieu m’avait fa
poursuivit-elle, que pour vous consoler des petites tiédeurs de votre
époux
; il reviendra à vous tôt ou tard, il vous rendra
t maîtresses de leurs actions, et leur étant permis de se choisir tel
époux
que bon leur semble, ou n’en prendre point du tou
maîtresse, et toute la tendresse, l’empressement et la fidélité d’une
épouse
. Ainsi ne voyant plus qu’elle, et n’y faisant pas
oire, et aurait poussé ses invectives plus loin que cette vie, si son
époux
ne lui eût imposé silence, en priant Dupuis de co
nt pour lui faire un reproche de son peu de diligence. Si c’était mon
époux
, reprit cette dame ? Si c’est lui, répondis-je, j
n’ai pu m’empêcher d’entendre. J’ai appris que les infidélités de son
époux
avaient soin de me venger du mépris qu’elle avait
ncore assez tranquillement avec lui ; parce que le libertinage de son
époux
la mettait à couvert de répondre aux empressement
tit une femme. Qu’elle était la première à rire des égarements de son
époux
, et qu’elle n’était venue dans ce jardin, que pou
ir de l’amour, qui ne cherchait qu’à se venger des infidélités de son
époux
, dont elle ne refusait les caresses et ne les mép
t sur la négative, que tout le monde en fut surpris. Son frère et son
époux
lui demandèrent quel si grand mal cette femme ava
s prières, si elles peuvent quelque chose, à celles de Monsieur votre
époux
et du révérend père votre frère, qui pourtant dev
mois, l’occasion de lui dire une seule parole, qu’en présence de son
époux
. J’avoue que cette conduite, qui m’aurait autrefo
; mais je ne me plais point d’abuser des droits que la qualité de son
époux
me donne, et je n’ai aucun soupçon qu’elle en aim
dit encore qu’elle vous avait priée de ne me point laisser voir à son
époux
, qu’elle savait devoir venir. Qu’en effet, il y é
assura la marquise qu’elle n’avait rien à craindre pour la vie de son
époux
, le Conseil d’Espagne ayant trop de lenteur pour
l’arrivée du duc de Médoc. Il vint seul, n’ayant pas voulu dire à son
épouse
où il allait, de peur de l’exposer, au cas qu’ell
aussi témoin des pardons qu’il demanda derechef à Sainville et à son
épouse
, de l’ordre qu’il leur donna de s’épouser, et du
u carrosse, et eut lieu d’être content des louanges que le duc et son
épouse
donnèrent à l’envi l’un de l’autre à sa valeur. C
ui s’y étaient passées, pour plusieurs raisons. La belle Dorothée son
épouse
n’avait pu souffrir qu’il s’éloignât, et Eugénie
er à tant d’importunités. Valerio, Eugénie, le duc d’Albuquerque, son
épouse
et les Françaises, avaient fait leur possible pou
la maxime étant certaine, qu’un mari qui doute de la conduite de son
épouse
, autorise les autres à en croire du mal. Pour sa
enfant. Cette femme accoucha le lendemain de cette conversation, son
époux
vint me trouver, et pour réponse à son compliment
ous ai dit qu’il me regardait comme un homme qu’il lui destinait pour
époux
, mais je ne vous ai pas dit qu’il m’aimait. Il ét
fidélité, la soumission et le respect qu’une honnête femme doit à son
époux
, c’est à ces conditions que j’attache ma bénédict
ille, ou je l’épouserai. Je le regarde toujours comme devant être mon
époux
, non seulement par la volonté et l’ordre de mon p
me, après vous avoir vue ce que je vous ai vue, vous voir à présent l’
épouse
de Monsieur de Contamine, je vous avoue que c’est
us épouser, et pour arrhes de la noce, voilà le portrait de la future
épouse
que je vous rapporte, avec la belle lettre que vo
s attendre. Je l’ai reconduit à son carrosse, dans lequel j’ai vu son
épouse
, qui m’a paru une très belle personne, et qui m’a
reprit Des Frans. Nous irons demain, si vous voulez voir Jussy et son
épouse
, pour aujourd’hui, parlons de Monsieur et de Mada
s lui ont faite à la face de ses autels de garder la fidélité à leurs
épouses
, comme ils veulent que leurs épouses la leur gard
ls de garder la fidélité à leurs épouses, comme ils veulent que leurs
épouses
la leur gardent ; et devant les hommes, parce qu’
’en cite quelqu’un qui ait manqué de fidélité à sa maîtresse ou à son
épouse
. Nos Espagnols ne devraient-ils pas se faire auss
puis confirmées. Cela donna lieu à la duchesse de Médoc de dire à son
époux
en présence des autres Espagnols et des Français,
besoin pour soutenir les rudes assauts que les ducs, le comte, leurs
épouses
, les Français et les Françaises lui préparent. La
eçus et que voici. Madame de Terny voulut en cet endroit empêcher son
époux
de lire cette lettre, et n’en vint pas à bout. Au
e. Que ferais-je dans un couvent ? Suis-je digne d’être au nombre des
épouses
d’un Dieu pur, moi qui ne respire qu’un mortel ?
us en étions convenus, je demande Monsieur le comte de Terny pour mon
époux
, s’il veut bien de moi pour sa femme, et en même
rends pour telle devant toute l’assemblée. M’acceptez-vous pour votre
époux
, Mademoiselle, continuai-je parlant à elle ? Oui,
onne n’en doute. Oui, Monsieur, reprit-elle, je vous accepte pour mon
époux
. Je vous épouse Mademoiselle, poursuivis-je, en l
. Oui, Monsieur, reprit-elle, je vous accepte pour mon époux. Je vous
épouse
Mademoiselle, poursuivis-je, en lui mettant une b
s condamnable médisance ; que cette princesse a été fidèle au Roi son
époux
pendant sa vie, et que Louis XIV était véritablem
Lorraine qu’il avait épousée malgré le Roi son frère, et accepter une
épouse
de sa main, la couronne lui serait immanquable. G
mmanquable. Gaston refusa les avances qu’on lui faisait, et garda son
épouse
. Après son refus le cardinal s’adressa au comte d
ait ses urines, lui dit enfin qu’elle pouvait se rejoindre au Roi son
époux
, et qu’il était presque sûr que leurs embrassemen
à qui ce fourbe faisait entendre qu’elle gouvernait trop la Reine son
épouse
, et qu’un esprit si fin et si délié était à crain
s aux fruits des embrassements de Louis XIII et d’Anne d’Autriche son
épouse
, qui accoucha heureusement le 5e septembre 1638 d
ier à leur brutalité une fille qui avait le créateur du ciel pour son
époux
. Sur une pareille réponse la fureur des Iroquois
convaincu par lui-même que jamais maîtresse n’a dit de louanges de l’
épouse
de son amant, comme réciproquement jamais femme n
roquement jamais femme n’a parlé en bonne part de la maîtresse de son
époux
. Celle-ci avait pourtant tort, car quoique la dau
il froid fut l’effet de la première complaisance qu’elle devait à son
époux
, auquel Hubert le fils avait fait entendre que le
ersailles, et pendant le chemin il parla très mal de M. Colbert à son
épouse
. A leur arrivée, tous les parents de M. Fouquet s
dame la Dauphine ne voulut s’engager à rien sans la permission de son
époux
. Comme les choses étaient concertées, il arriva e
erez au Roi. 169. La Dauphine, persuadée qu’elle ferait plaisir à son
époux
, ne hésita plus à demander cette grâce. Il n’y eu
des finances ; il en sortit dans le temps qu’il était chancelier. Son
épouse
mourut, et cela commença à le dégoûter du monde ;
s à ceux que mal à propos il croyait tels ; que c’était de Madame son
épouse
et de M[onsieu] r son fils qu’il voulait parler ;
bien mise, le lui accorda, et étant seul à seul, elle lui dit que son
époux
était commissaire des guerres, et qu’il l’avait e
Evreux son fils s’il avait été rendre visite aux parents de sa future
épouse
. Il lui répondit que oui. — Je parie que non, rep
rer le malheur de son mariage, et les mauvaises manières du comte son
époux
. Il a cru que cette consolation était encore trop
ît point sur le contrat de mariage, devraient l’obliger à traiter son
épouse
comme son épouse, et prendre exemple, pour ne le
ontrat de mariage, devraient l’obliger à traiter son épouse comme son
épouse
, et prendre exemple, pour ne le pas suivre, sur l
ademoiselle de La Vrillière et avec Mademoiselle Chamillart, ses deux
épouses
, comme il en agit avec la sienne. J’ai dit qu’il
et intendant en Lorraine ; lequel n’avait jamais eu cinq sous de son
épouse
, qui n’était qu’une simple demoiselle, au mariage
e ne l’a point quitté, il a doublé les droits de la chancellerie. Son
épouse
n’a pas eu tant de politique que lui. J’ai dit là
rsque je l’épous[er] ai cela me reviendra ; et si par ma mort je ne l’
épouse
pas, elle aura toujours de quoi vivre le reste de
ue ma mère y voudra bien consentir. Vous me promettez donc d’être mon
épouse
, lui dit-il en l’embrassant ? Et moi je vous jure
épouse, lui dit-il en l’embrassant ? Et moi je vous jure d’être votre
époux
, sitôt que je pourrai l’être sans nous commettre,
ôtel, elle serait sûre de nos actions à l’un et à l’autre. Si je ne l’
épouse
pas en secret, et que je ne lui ai pas même propo
ne voulait pas qu’elle découchât de l’hôtel, que pour aller chez son
époux
. Elle ne lui portera point de dot, ajouta-t-elle,
s, était pour moi. Il était pour lors mon amant, il est à présent mon
époux
; et pour vous ôter tout scrupule, nous consenton
is vous pourriez interrompre Monsieur de Terny, dont il n’y a que son
épouse
qui vous sépare ; et moi je pourrais prêter l’ore
parce que Madame de Cranves m’ayant dit qu’elle me le destinait pour
époux
, je ne pouvais me dispenser de recevoir ses visit
e Morin. Je vous ai dit que Madame de Cranves me l’avait destiné pour
époux
, elle tomba malade comme elle allait effectivemen
issance je lui envoyai quelques livres. Je songeai donc à quitter mon
épouse
. Dès le lendemain nous prîmes prétexte d’aller no
il ; mais approuverez-vous l’envie que j’ai d’apprendre comment votre
épouse
s’est justifiée de l’endroit qui regarde Rouvière
he rien : le coup est déjà très sensible pour une mère. Bien plus, il
épouse
une fille qu’il avoue lui-même que je regarde com
me regarda, mais bien loin de trouver dans moi un amant soumis, ou un
époux
pitoyable, elle n’y trouva qu’un juge et qu’un ma
e je l’aurais reprise : c’eût été pour l’amour de moi-même. Voilà mon
épouse
, poursuivit-il, je n’appréhende pas qu’elle me ma
ent n’a jamais été de mon caractère, et la retraite et la mort de son
épouse
me charment. Si, poursuivit cette dame parlant à
bord, elle a été convertie en une pénitence sincère. Ses adieux à son
époux
, et sa lettre à Gallouin me le persuadent. Ils so
que tout aille dans l’ordre, puisque outre Contamine, Jussy et leurs
épouses
, Madame de Londé et notre ami Dupuis en seront. A
été, ce n’est pas une raison pour vous empêcher de songer à une autre
épouse
, surtout d’une vertu éprouvée ; jusqu’à ce temps-
on à Don Quichotte, tant par rapport à eux-mêmes, qu’à cause de leurs
épouses
, surtout le duc et la duchesse de Médoc, le comte
t le duc et la duchesse de Médoc, le comte de la Ribeyra, Eugénie son
épouse
et le comte du Chirou, qui tous lui devaient la v
remonté sur son cheval, lorsque la duchesse, qui s’informa du duc son
époux
, ayant appris qu’il était lui-même dans la forêt
auté dans leur vertu, et leur mérite dans leur attachement pour leurs
époux
, sans témoigner aucun empressement pour ces sorte
outit. Elle fait voir aussi, qu’une femme ne doit compter que sur son
époux
; et que lorsqu’il n’est plus en état de la soute
e leur résister ; mais au lieu de lui, ils trouvèrent la duchesse son
épouse
.
d’impatience. Je l’ai conduite dans l’appartement de la duchesse mon
épouse
, où Madame d’Albuquerque et les autres dames lui
nt pas de sacrifier la bourse et l’honneur, mais le sang même de leur
époux
; que chaque couleur convenait parfaitement à la
venait de relancer Don Quichotte, parut. Les ducs, le comte et leurs
épouses
lui firent de loin de très grandes révérences ; c
u Val vint me voir, nous allâmes ensemble trouver au lit Jussy et son
épouse
. Ils se levèrent, et on résolut en dînant de fair
ieur bramène cherche parti ailleurs, & trouve dans les bras d’une
épouse
toute neuve de quoi se consoler de la mort de la
Que si le mariage n’a point été consommé à cause de la jeunesse de l’
épouse
, elle est encore obligée de vivre dans un perpétu
enfin, l’amour qu’il conservait & qu’il conserve encore pour son
épouse
, & la tendresse d’un bon père pour ses enfant
e : je ne l’ai point vue, étant à Ougli avec M. Bureau Des Landes son
époux
. J’ai vu la mère, qui est à Pondichéry avec M. Ma
ou que cette planche laissait facilitait leurs plaisirs. La vertueuse
épouse
, dans la chambre de son mari, présentait ses post
s, et Pitrachard est trop politique pour souffrir que cette princesse
épouse
un homme capable de faire valoir ses droits. D
en dansant, à la maison de son mari, qui la reçoit comme une nouvelle
épouse
. Cela ne se pratique point à la naissance des fil
▲