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1 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVIII. De l’arrivée du duc de Médoc, et de la mort touchante de Deshayes. »
demanda au maître d’hôtel de Valerio, qui parlait bon français, s’il écrivait , et ayant appris que oui, il le pria d’écrire ce
it bon français, s’il écrivait, et ayant appris que oui, il le pria d’ écrire ce qu’il allait lui dicter. La maîtresse de l’hôt
t sur elle, d’épouser Sainville aussitôt qu’il serait mort, et il fit écrire cette volonté avec le don qu’il leur faisait à to
nt qu’on pût en rien résoudre, il se faisait fort que le duc de Médoc écrirait en sa faveur au marquis de Pécaire, vice-roi de N
e duc avait promis qu’il ferait en écrivant à son beau-frère, mais il écrivit encore aux premiers du Conseil de Madrid. Il mont
Madrid. Il montra ses lettres avant que de les cacheter, qui étaient écrites avec tant de zèle, qu’il n’aurait pas pu se servi
le qui l’avait averti du chemin qu’elle prenait, et qu’elle lui avait écrit pendant qu’elle parlait à l’abbesse du couvent où
bbesse du couvent où elle avait voulu entrer, qu’enfin elle lui avait écrit de Toulouse même qu’elles partaient pour Madrid ;
rver ses démarches dont elle ne devait plus rendre compte à personne, écrivit à sa mère tout ce qui lui était arrivé, et surtou
2 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Frans et de Silvie. »
ager avec ma mère, et ne me pas brouiller avec Messieurs Des Frans, j’ écrivis aux uns et aux autres mille mensonges, dont je ne
Mongey. Lorsque je me portai bien, je ne voulus pas le déposséder. J’ écrivis en sa faveur, je sollicitai même Monsieur l’inten
ne répondit pas. Je poursuivis mon chemin bien en peine de ce qu’on m’ écrivait par une voie si extraordinaire, et ce que ce pouv
ret qu’à soi-même : que je pouvais dire à Silvie elle-même ce qu’on m’ écrivait , sans lui montrer la lettre, qu’elle n’en pourrai
e déclarer qui elle était de naissance. Cela me persuadait qu’on ne m’ écrivait rien que de vrai. Mille résolutions me passèrent
titre : Avis à Madame Des Frans sur la conduite de son fils. On lui écrivait par là, qu’on m’avait fait savoir tout ce qui pou
rtant : la peinture qu’on me faisait de cette fille, et ce qu’on m’en écrivait m’en dégoûtèrent. Je me levai, et j’allai dans la
loi qui lui donnât du pain. Tout cela s’accordait avec ce qu’on avait écrit à ma mère, et j’allais lui demander s’il ne conna
s quelque chose, et les sages-femmes n’y sont-elles pas à Quia ? J’ai écrit à Silvie, continua-t-il, elle fait la sucrée, et
au pays. On déclarera qu’elle est ma fille ; on engagera l’amant à m’ écrire , et à mettre lui-même les lettres à la poste, afi
re ne s’est pas trouvé aujourd’hui aux Tuileries, voilà votre billet, écrivez -en promptement un autre pour achever promptement
inua-t-elle, je ne disputerai point contre la vérité. Ce qu’on vous a écrit est vrai dans toutes ses circonstances et dans to
, il eut le temps de faire un testament tout de sa main, ou plutôt il écrivit à Madame de Cranves sa sœur, qu’étant prêt d’alle
ordres précis qu’il avait donnés en partant. Il désapprouva tout par écrit , et promit que sitôt qu’il serait à Paris, il fer
honneur. Ça a été Rouvière qui a eu l’insolence de m’en faire une par écrit . Je déchirai sa lettre de colère ; heureusement j
ra encore que je lui serai fort obligée. Je la laissai faire, et elle écrivit ce billet : BILLET. J’ai à vous parler, Monsieur
m’a si cruellement déchirée, et d’où il a pu connaître tout ce qu’il écrit  : en un mot, je veux savoir quel est le motif de
que votre vertu qui m’est à présent connue m’inspire du respect. J’ai écrit à Monsieur Des Frans afin de le dégoûter de vous 
t. J’ai écrit à Monsieur Des Frans afin de le dégoûter de vous : j’ai écrit à Madame sa mère afin qu’elle l’obligeât à vous q
informés de Monsieur Des Frans, de sa famille, et de tout ce que vous écrivez  ? Je l’ai écrit, répondit-il, parce que cela m’a
ur Des Frans, de sa famille, et de tout ce que vous écrivez ? Je l’ai écrit , répondit-il, parce que cela m’a paru vraisemblab
ettres, et mes vues. Ce fut dans ce dessein que je l’obligeai de vous écrire de l’endroit même où nous étions. Ce fut moi qui
ir sa lettre, et je lui fis jurer de ne pas démordre de sa demande. J’ écrivis ensuite à Madame Des Frans et à Monsieur son fils
e regardais point cette femme de bon œil. Que la lettre qu’elle avait écrite à Rouvière me revenait toujours au cœur, parce qu
Vous vous trompez, reprit-elle, Rouvière m’a fait sa proposition par écrit , et Madame Morin à qui je montrai sa lettre, dont
ongtemps. J’avais eu plusieurs fois de ses nouvelles, et je lui avais écrit fort souvent, mais nos lettres n’étant que des as
onsentirait jamais, non seulement à cause de ce que Valeran lui avait écrit d’elle, dont elle n’était pas désabusée, mais aus
hez elle, et j’allai chez l’Evêque de… à qui je demandai s’il voulait écrire à Monsieur son frère, et que j’allais prendre la
e ne jugeai pas à propos de lui en rien dire non plus qu’à Silvie. Il écrivit , je pris du papier et une plume, et pendant qu’il
Silvie. Il écrivit, je pris du papier et une plume, et pendant qu’il écrivait à Rome, j’écrivis à Silvie. LETTRE. Si vos larme
, je pris du papier et une plume, et pendant qu’il écrivait à Rome, j’ écrivis à Silvie. LETTRE. Si vos larmes m’avaient été mo
ée à mon retour, je l’imputerai à votre peu de soin de me plaire. J’ écrivis aussi à ma mère pour lui rendre compte de mon pro
’y rester malgré moi, n’étant pas en état de me remettre en chemin. J’ écrivis dès le jour même à ma mère ce qui m’était arrivé 
celui que je lui demandais et qui m’était absolument nécessaire, je l’ écrivis à Silvie, et la priai de m’en envoyer, et je fis
e, et qu’elle n’avait point d’autre volonté que la mienne. Je remis à écrire au lendemain aux gens qui devaient me faciliter l
illé fort proprement, et en état de paraître pour un mariage. J’avais écrit dans le jour aux gens dont j’avais besoin pour te
fortes. J’allai chercher dans mon cabinet les avis que Valeran avait écrits à ma mère, et que j’avais gardés, dans le seul de
tout le reste, je puis vous assurer qu’il est le premier trompé s’il écrit de bonne foi, ou que c’est un grand coquin s’il é
ier trompé s’il écrit de bonne foi, ou que c’est un grand coquin s’il écrit uniquement pour faire tort à cette fille sur des
ans lui dire une parole, je mis sur une table tout ce qu’il faut pour écrire , je la fis asseoir ; je lui mis la plume à la mai
sans lui donner le temps de me demander raison de ce que je faisais ; écris ce que je te vais dicter, lui dis-je. Elle voulai
icter, lui dis-je. Elle voulait savoir ce que c’était, mais je la fis écrire ce billet-ci : BILLET. J’ai de bons espions part
e pris cette lettre et la cachetai, après quoi je la mis devant elle. Écris l’adresse, lui dis-je. À qui, dit-elle ? À Monsie
ecret, par la lecture que vous avez faite des avis qu’un coquin avait écrits à ma mère. Je vous ai dit devant ma mère que je n
ais figuré que les sottises et les faussetés qu’un scélérat lui avait écrites de cette fille, avaient fait une telle impression
sans qu’il pût savoir d’où viendrait le coup. Dans ce dessein je lui écrivis que je serais bientôt à Paris. Je reçus une lettr
iai de donner elle-même à Silvie une lettre que j’avais résolu de lui écrire , pour l’obliger à venir dans un endroit que je lu
; mais pour lui ôter tous les soupçons qu’elle eût pu prendre, je lui écrivis la lettre la plus tendre que j’aie écrite de ma v
lle eût pu prendre, je lui écrivis la lettre la plus tendre que j’aie écrite de ma vie, et d’autant plus tendre qu’elle l’étai
e huit jours après à l’adresse que je lui avais marquée. Je lui avais écrit entre autres choses, que mon plus grand déplaisir
demanda pardon pour elle, elle se révolta contre le châtiment. Elle m’ écrivit que la punition était trop rude, et qu’elle l’aur
voudrait d’argent d’un nouveau fermier que j’avais, et qui promit par écrit , de lui donner jusqu’à la valeur du revenu de ma
me délivrer des combats éternels où j’étais incessamment exposé. Je l’ écrivis à ma mère, qui approuva ma résolution. Je la pria
chose, et pour l’y engager par son propre intérêt, je lui promis par écrit de lui tenir compte au double de ce qu’elle prend
d’entendre tout ce qu’elle aurait pu me dire ? Je me contentai de lui écrire , et lui mander entre autres, que Silvie, comme il
oulut me faire promettre, et je lui promis sincèrement. Je le priai d’ écrire à Silvie que j’oubliais tout, il le fit, et je si
doutée, et j’en suis certain. Voici, poursuivit-il, la lettre qu’elle écrivit à Gallouin, environ six mois après sa sortie de P
ne dois jamais songer à vous ; et si j’y songe à présent que je vous écris , c’est moins à votre considération qu’à la mienne
rets. Je reconnais là-dedans le style de Silvie, dit Des Frans, elle écrit comme une fille repentante pourrait écrire. Elle
Silvie, dit Des Frans, elle écrit comme une fille repentante pourrait écrire . Elle ne dit point qu’elle fût engagée dans le ma
3 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Terny, et de Mademoiselle de Bernay. »
rais plaisir de revenir l’après-midi quérir une lettre qu’elle allait écrire à son frère. Je vis sortir une soeur d’un coin qu
ue son frère et moi avions dit. Elle me donna la lettre qu’elle avait écrite , qui fut pour son frère un galimatias. Elle le pr
ous fit connaître que cette lettre était pour moi, et qu’elle l’avait écrite devant cette sœur écoute, à qui elle l’avait mont
à mes actions plus que jamais, parce que les religieuses lui avaient écrit qu’il avait été un homme du monde la voir, qui av
plus d’indévotion et des distractions plus fréquentes que jamais. Il écrivit à sa sœur une lettre de créance en particulier po
qui disait la même chose. Cette lettre-ci devait être secrète. Il en écrivit une autre, par laquelle il lui mandait qu’il étai
ême, il lui envoierait toujours des visages nouveaux. Enfin il ne lui écrivit rien que d’un pédagogue, parce que ne doutant pas
peine à les faire soutenir par des effets, ce qu’elles ont promis par écrit . Je fus convaincu de cette vérité par la lettre q
ette lettre était un peu forte et qu’elle avait honte d’en avoir tant écrit , elle se retira. Tant mieux, dit Terny, sa présen
torité, et s’en tient à son jugement. Vous m’avez dit, et vous m’avez écrit que vous m’aimiez : je crois que vous dites aussi
lettres et de compliments pour mon ami, et voici celle que Clémence m’ écrivait  ; lisez-la s’il vous plaît. Des Ronais la prit et
douleur. J’eus des nouvelles de Paris toutes différentes, Clémence m’ écrivit que Madame d’Ornex sa sœur était morte, maudissan
ce scandale. Je ne doutais pas qu’elle ne m’appuyât fortement, je lui écrivais dans ce sentiment, et pour l’engager à tout faire
is que la fille en question, qui était la même dont je lui avais déjà écrit , était prête de passer avec moi en Angleterre, et
a pria de vouloir bien lui rendre toutes les lettres qui lui seraient écrites par moi sous le nom de Gauthier, et d’en faire te
au désespoir, je voulus vous désabuser, vous n’étiez point à Paris, j’ écrivis à Grenoble une lettre pour vous, qu’on m’a renvoy
us gardée ici qu’une prisonnière, cependant il me sera permis de vous écrire , car pourvu que je n’entreprenne point de sortir
aimiez. Je vais passer tout ce temps-là uniquement occupée de vous ; écrivez -moi le plus souvent que vous pourrez. Je fis rép
s qui se chargèrent de travailler pour moi. Je ne pris que le temps d’ écrire à Clémence un mot, me remettant à lui écrire de p
e ne pris que le temps d’écrire à Clémence un mot, me remettant à lui écrire de plus loin ce qui s’était passé. Ces nouvelles
utes les eaux étaient glacées ; et qu’on allait partout à pied sec. J’ écrivis de là à Clémence, et à des parents que j’avais qu
parlé de moi : et qu’à cela près elle était assez tranquille. Je lui écrivis que je retournais en Angleterre passer une partie
entre les mains, et que vous pouvez lire à présent. LETTRE. Je vous écris celle-ci, Monsieur, sans espérance de réponse. Je
r de vos nouvelles, m’a jeté dans le désespoir où je suis. Je vous ai écrit plus de vingt lettres, on m’a assuré que vous les
4 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXVI. Suite de l’histoire de Silvie et de Sainville. »
endemain chez Silvie pour prendre la lettre qu’elle avait promis de m’ écrire  ; sa mère ni elle n’étaient point au logis ; elle
que j’espérais, je ne trouvai qu’un billet de deux lignes, qu’elle m’ écrivait pour me faire excuse de ne m’avoir point tenu par
ien en peine de ce qui pouvait causer un si prompt changement. Je lui écrivis plusieurs fois ; elle me renvoya mes lettres cach
donnâtes rendez-vous dans votre cabinet, et que vous promîtes de lui écrire  ; je sais qu’il ne trouva pas votre lettre, mais
dée que le papier ne rougissait pas, je me fis un vrai plaisir de lui écrire , pour lui découvrir tout mon cœur. Je n’eus pas l
’il ne put pas reconnaître, parce qu’outre que je ne lui avais jamais écrit , il ne connaissait point mon écriture, n’en ayant
prit Silvie, après que la marquise eut lu, qu’il m’était impossible d’ écrire en termes plus forts ; cependant il est vrai que
rgner la honte de paraître si tôt devant lui, après lui en avoir tant écrit . Elle me pria d’abord de faire sortir ma femme de
vrai, il lui avait promis de lui apporter la lettre que je devais lui écrire , et qu’en effet il la lui avait apportée la veill
ue ne pouvant rien prouver contre moi, puisque je ne lui avais jamais écrit que cette seule lettre, qui était brûlée, tout ce
avait rien dit, et ne lui dirait jamais rien de la lettre que j’avais écrite à Sainville, et qu’elle m’avait rendue, ni de ces
. Ses soins à me faire expliquer la quantité de lettres qu’il m’avait écrites , et qu’on m’avait dit qu’il était de mon honneur
ous ne sortîtes point des bornes de la modestie. Vous promîtes de lui écrire , et lui dîtes l’endroit où vous mettriez votre le
ayant donné une lettre de recommandation pour cette sœur, à qui elle écrivit dans le moment, elles se séparèrent après s’être
le de ce qu’elle voulait faire ; mais sitôt qu’elle fut à Paris, elle écrivit à sa sœur", et la pria d’avertir une dame qui lui
uprès d’elle, n’était pas sûr par les raisons qu’elle lui manda. Elle écrivit aussi à Silvie que Deshayes avait obtenu une lett
5 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Prez, et de Mademoiselle de l’Épine. »
int, me dit-il, elle est d’elle en effet. Mais comment peut-elle vous écrire , puisqu’elle est morte, poursuivis-je, à ce que t
rop pour rester longtemps dans l’incertitude, et ne pouvant parler, j’ écrivis ce billet-ci. BILLET. Vous êtes trop éclairée po
Cette histoire inventée, ou son application ne me plut pas, je lui en écrivis le lendemain, elle ne me fit point de réponse, et
ue je lui en demandasse souvent. Je ne pus pas même en tirer un mot d’ écrit . Cela me chagrinait, mais je me consolais, parce
Elle ne manqua pas de venir le lendemain aux Minimes où je lui avais écrit que je me trouverais. Elle ne put y rester que po
un peu plus de ponctualité : quand j’aurai à vous en faire, ou à vous écrire , mon pot à fleurs sera sur ma fenêtre du côté des
côté, ne vous y attendez pas. Lorsque vous serez instruit que je vous écrirai , il faudra que vous vous trouviez sous ma fenêtre
jours, non seulement sans aller voir ma maîtresse, mais même sans lui écrire , et je restai au logis moins que je ne faisais au
travaillaient à la tapisserie. Cela me rendit plus circonspect. Je l’ écrivis à ma maîtresse, afin qu’elle ne s’étonnât pas de
me voir si longtemps sans songer à ce que je lui avais promis. Elle m’ écrivit la visite toute extraordinaire de mon père, qui a
satisfaire. J’avais vu plusieurs fois au logis un homme qui y venait écrire pour le secrétaire de mon père ; il me parut mon
rait. Il vint, et pour commencer à entrer en matière, je lui donnai à écrire des lettres galantes qui couraient dans ce temps-
s manger avec moi ; et sous prétexte de lui payer ce qu’il avait déjà écrit , je lui fis un petit présent, qui acheva de me le
. Qu’elle et moi nous ferions chacun une promesse mutuelle, signée et écrite de notre main devant lui, et sous sa dictée, par
ence, qu’elle aurait voulu me parler le jour même. Qu’elle avait fait écrire le billet qu’on m’avait donné, et qu’elle l’avait
ri était à la ville, nous servit à table. Après le dîner, il nous fit écrire à tous deux une promesse de mariage, ou plutôt un
de tenir tout pour bon et valable. Il me donna la promesse qui était écrite de la main de mon épouse, et me mena dans sa cham
où il fit venir deux notaires devant qui j’enveloppai ce que j’avais écrit , et le cachetai de mon cachet, et sur l’enveloppe
het, et sur l’enveloppe je reconnus que ce qui y était renfermé était écrit et signé de ma main, et contenait ma pure et fran
’avais fait faire. Je laissai sur la table tout ce qu’il fallait pour écrire , étant convenus que toutes les fois que nous vien
t à me promener avec deux de mes amis ; elle me vit de sa fenêtre, et écrivit ce mot-ci [ :]Je vais dans notre chambre, je vous
it de la tiédeur de mon amour, me parut tendre et nouvelle. Je lui en écrivis un autre sur le même ton, pour me jouer d’elle co
re hôtesse lui dit que j’étais sorti la veille en colère, après avoir écrit le billet qui était sur la table. Ha mon Dieu ! s
ndra vous y chercher ; et vous y pourrez faire vos couches en secret. Ecrivez à Mademoiselle de l’Épine que vous êtes dans un c
r chez vous ; de ne la point informer du lieu où vous êtes, et de lui écrire que vous êtes dans un couvent. Je crains les suit
’assignation. Je la trouvai résolue à tout événement, elle avait déjà écrit ce billet-ci. BILLET. Une affaire qui vient de m
e femme qui a toujours passé pour un diable, et qui l’est en effet. J’ écrivis une copie de ma promesse de mariage pour la lui m
e copie sur l’original de sa promesse à elle. À peine eus-je achevé d’ écrire , que j’entendis le carrosse arrêter à la porte. J
ne sachant pas la cause qui m’avait empêché d’aller chez elle, elle m’ écrivit un billet qu’elle m’envoya par notre hôte. Je le
ma montre, et un billet de tout ce qu’il voudrait pour me permettre d’ écrire un mot à mon épouse, et l’engager à le lui faire
tais pas. Elle demanda une plume et du papier. On voulut l’empêcher d’ écrire , à cause qu’elle n’était pas en état de le faire
ore ; mais elle redoubla tant ses instances, qu’on lui en donna. Elle écrivit jusqu’à ce que les convulsions la prissent, et c’
us y aller. J’ai su que sa mère avait emporté un billet qu’elle avait écrit . J’ai été chez elle ; elle me l’a donné, c’est ce
a si cruellement refusé la triste consolation que je lui demandais, d’ écrire un mot à ma pauvre femme, et de le faire porter :
6 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Des Ronais, et de Mademoiselle Dupuis. »
une ville et de plusieurs femmes peintes dans l’enfoncement. Les mots écrits autour étaient ceux-ci. Rien ne retient un amant
’à mon départ. Je trouvai ses empressements plus animés. Je lui avais écrit tous les ordinaires, et tous les ordinaires aussi
oir il n’y avait pas une heure. J’ai encore toutes celles qu’elle m’a écrites , je vous le montrerai quand il vous plaira, et c’
 ; car pour me dispenser de les lui rendre à notre rupture, je lui ai écrit que je les avais brûlées. Comme celle-ci vient au
ouvrit une, et lut ces paroles. LETTRE. Si je me croyais, je ne vous écrirais pas, je suis tout de bon en colère contre vous. E
mois à Angoulême ; et pendant tout ce temps-là, les lettres qu’elle m’ écrivait furent le sujet des conversations. On me félicita
tté de vue le clocher de sa paroisse, elle s’en divertissait, et m’en écrivait d’un style contre lequel la gravité de Caton n’au
is vu d’homme si bien tourné en ridicule, je montrais ce qu’elle m’en écrivait , et tout le monde admirait comme moi la délicates
de admirait comme moi la délicatesse de la satire. Enfin sa manière d’ écrire , et l’amour effectif qui paraissait dans ses lett
ire tout pour l’épouser. Dupuis avait vu quelqu’une des lettres que j’ écrivais à sa fille sur cet article, et avait pris ses pré
re est ami du mien ; mais pour l’aimer, la manière dont je vous en ai écrit me persuade que vous ne le croyez pas : mon père
nt qu’il m’avait envoyé de trop, et que je lui donnai ses sûretés par écrit pour le reste, il les prit effectivement ; mais m
oir pour la dernière fois, étant la veille de mon départ ; je lui vis écrire quelques lettres par la poste. Je ne m’en inquiét
r relation pour ses affaires avec des gens à qui elle était obligée d’ écrire . Je m’aperçus pourtant qu’il y en avait une entre
où nous en étions, pouvaient me permettre de lui demander à qui elle écrivait . Je ne le fis pourtant pas. Je me contentai de la
oir vu. Je mis la main à la plume, je ne me souviens plus de ce que j’ écrivis dans le transport où j’étais. Je lui renvoyai ses
vu que celle de ce Gauthier, et lui envoyai aussi ce que je venais d’ écrire . Je remontai à cheval dans l’instant même, et me
ât jamais entrer si elle revenait. Cet ordre a été exécuté : elle m’a écrit , je lui ai renvoyé ses lettres cachetées, avec so
vous chercher ? Que pourrait être devenu ce Gauthier ? Pourquoi vous écrit -elle ? Et enfin si elle est une infidèle, pourquo
candalisé tout le monde, qui l’a sue, ne m’a point rebutée. Je lui ai écrit coup sur coup ; il m’a renvoyé toutes mes lettres
a bientôt fait. Je n’ai qu’à lui dire ce que je lui ai plusieurs fois écrit . Si nous nous raccommodons, nous vous aurons obli
est ce que je lui ferai connaître sitôt qu’il voudra. L’homme qui l’a écrite , et la demoiselle pour qui elle était, sont marié
e épouse que je vous rapporte, avec la belle lettre que vous lui avez écrite . On vous fera connaître le quiproquo demain à dîn
adresse de son valet de chambre, pour des raisons que vous saurez. Il écrira devant vous, pour vous convaincre qu’elle était d
commencerai pour satisfaire. Comment se peut-il qu’une lettre qui est écrite à une fille, qui cadre si bien à son sujet, qui l
ous répondre. Elle a voulu vous instruire de tout et de bouche et par écrit . Elle a fait ce qu’elle a pu pour vous rappeler,
7 (1691) Journal du voyage des Indes orientales (à monsieur Raymond)
et me continue la santé, je ne me coucherai point que je ne vous aie écrit tout ce qui me sera arrivé de remarquable dans la
commandables toutes sortes de relations, car outre que me proposant d’ écrire au jour la journée, ce sera un style sans correct
d talent est celui de ne savoir dire que ce que je sais et de ne rien écrire dont je ne sois sûr moi-même. Ainsi, Monsieur, vo
Nord-Est. C’est avec beaucoup de chagrin que je pars sans vous avoir écrit pour prendre congé de vous. Nous sommes six navir
prié, et qu’ainsi vous le connaîtrez avant que de lire ce que je vous écris à présent. A propos de Monsieur Gouault, vous ave
i 6e. [mars] Le vent est toujours bon et nous allons bien. Je vous écris sur les neuf heures du matin, les voiles carguées
nt-Iago à votre santé. Nous passons le tropique à l’heure que je vous écris  : il est sept heures du soir. C’est bien aller de
es. Nous avons roulé et nous roulons encore tellement, que je ne puis écrire que par intervalle. Notre amiral a tiré ce matin
u dimanche 19e. [mars], jour de Pâques fleuries Je vais à terre. J’ écris le matin, je vous dirai demain ce qui en est ou c
éloignons. S’il plaît à Dieu la chaleur ne continuera pas et je vous écrirai plus au long. Mais puisque nous sommes sous la Li
ble et que l’autre était claire. Il est certain que ce secrétaire qui écrit au nom de son maître lui fait dire beaucoup de ch
e Monsieur le chevalier de Chaumont n’aurait point oubliés s’il avait écrit lui-même, mais il s’en est Fié à son secrétaire q
autre fois ce que c’est. La chaleur est si forte que je ne puis plus écrire , l’encre même sèche au bout de ma plume. Du lu
r. D.P. ne savait pas comme les bêtes en usent entre elles quand il a écrit  : Jamais contre un renard chicanant un poulet Du
s cela chacun s’est retiré ; je suis entré dans ma chambre où je vous écris dans une fort grande douleur et les larmes aux ye
uchetière qui est un fort honnête homme. Un de mes amis du Gaillard m’ écrit que je ne perdrai point au change : ainsi soit-il
du col dont les grains sont plus gros que les deux poings. Celui qui écrivait ce qu’on promettait avait une toile noire cirée q
corne est passé, le vent est bon et s’est rafraîchi depuis hier. Vous écrirai -je toujours quelque chose de funeste ? Comme il v
lentes dont je l’ai remercié. Vous voyez bien par tout ce que je vous écris que je ne suis pas tout à fait mal : je ne m’aper
lieues par heure, mais nous roulons tellement que je ne puis presque écrire . Le vent s’est rafraîchi, nous faisons plus de tr
ollandais. Je reprends la plume pour vous dire que comme j’achevais d’ écrire à soleil couchant on m’est venu dire qu’on voyait
ettre en peine, et c’était le brouillon de ce journal-ci sur lequel j’ écris lorsque la mer est trop agitée pour pouvoir écrir
nal-ci sur lequel j’écris lorsque la mer est trop agitée pour pouvoir écrire une écriture lisible à tout autre qu’à moi. Le ve
re embarquer de mon autorité, tout ce que je pouvais faire était d’en écrire à notre capitaine ; que je ne doutais pas d’obten
couvert d’un turban, tous les autres vont nu[e] -tête. Ce fils du Roi écrivit devant moi à ses gens pour me faire amener ce que
demandais. Ils estiment fort le papier et ne le prodiguent pas. Nous écrivons de gauche à droite, eux de droite à gauche, mais
e noir du cul de leur pot délayé assez bien pour s’en servir. J’en ai écrit moi-même un brouillon de ce que j’avais acheté pe
ue mauvais tour. Du dimanche 2e. ou du lundi 3e, [juillet] Je n’ écrivis point hier, et quand vous aurez lu ce qui suit, v
uand ce ne serait que pour porter et rapporter des nouvelles. Je vous écris ceci plutôt par ponctualité que pour la conséquen
. Voici le plus vilain pays du monde, il pleut de l’heure que je vous écris d’une force extraordinaire, et la pluie n’est pas
u’il y avait à présent beaucoup de monde. Quand j’y serai, je vous en écrirai plus amplement. Cependant vous saurez toujours qu
ichéry et n’en sommes qu’à deux lieues. Du samedi 12e. [août] J’ écris sur les dix heures du matin pour vous dire que no
air et moitié poisson. Du jeudi 24e. [août] Je ne vous ai point écrit depuis le 12e. du courant parce que j’ai toujours
moment à moi, mais à présent que nous sommes à la voile, je vais vous écrire d’un seul article tout ce qui me paraît et que j’
ette remarque-ci que qui dit more ou maure, car je ne sais comme il s’ écrit , ne dit pas un homme de couleur noire, mais seule
s point de difficulté de croire ce qu’il m’en a dit et que je vous ai écrit . Ces gens-ci sont fort adonnés à leurs malheureus
e sont des fossés qu’il faut franchir quand on s’y trouve. Je vous ai écrit ceci pour vous faire connaître le génie des natio
de mon Roi et de ma patrie le désireront. Le style même dont je vous écris peut vous faire connaître que l’esprit n’était pa
il fait ici tous les soirs, car il pleut encore à l’heure que je vous écris  ? Je n’en sais rien, si ce n’est que la chaleur d
N’ayant rien presque à vous dire jour par jour, j’ai remis à vous écrire tout ce que je sais de ce pays-ci lorsque nous en
de particulières, lorsqu’il y alla. Je ne finirais jamais si je vous écrivais tout ce que je sais par ouï-dire de l’Asie. Je ne
vous devoir dire de ces pays-ci, ne jugeant pas à propos de vous rien écrire sur des ouï-dire. Je vous dirai seulement que not
archandises ; comme il faut absolument que j’aille à terre je ne vous écrirai plus que je n’en sois de retour. Du samedi 30e
’en sois de retour. Du samedi 30e [décembre] Je ne vous ai rien écrit depuis le 6e du courant parce que j’ai toujours é
a si bien fait tant par les négociations que par les lettres qu’il a écrites à l’un et à l’autre, que les Français et les noir
i appris le comble de l’impureté et de l’idolâtrie que j’ai horreur d’ écrire . C’est que les Gentils, d’abord qu’ils sont marié
utant dans les autres à proportion. Je me serais bien empêché de vous écrire ces saletés, qui me font horreur à moi-même, si j
e ne paraissant pas croyable, personne ne s’était donné la peine de l’ écrire , non plus que plusieurs autres choses, qui quoiqu
s seriez plus scandalisé de la chose même que du style dont je vous l’ écrirais quelque impur qu’il pût être. Voilà ce que je cro
omme dans nos foires et nos marchés. Ceux qui vendent à crédit savent écrire . Je ne vous parlerai point de leur encre ni de le
Toujours bon vent et beau temps. Je suis si faible que je ne puis écrire  ; ces changements de climats-ci tuent le corps. J
ui-ci commence à lui damer le pion. Du dimanche 4e. [mars] Je n’ écrivis point ni hier ni avant-hier parce que je ne l’ai
us avoue que ce trajet m’épouvante, car enfin tant de gens qui en ont écrit et qui en ont fait des relations si horribles, ne
userais volontiers de vanité et de mensonge tous ceux qui nous en ont écrit des choses si horribles. Les Hollandais savent qu
Juillet 1691 Du mardi 3e. [juillet] Quand j’aurais voulu vous écrire jour par jour, je ne l’aurais pas pu, non seuleme
tés, mais ils ne peuvent pas être plus ponctuels. Je me réfère à vous écrire sur ceci lorsque je vous l’envoyerai. Ce n’est qu
8 (1690) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 1)
osthumes. L’auteur aurait apparemment corrigé ces endroits s’il avait écrit son ouvrage pour le donner au public ; mais l’on
t été de leur faire ma cour, je n’ai eu en vue que la sincérité, et j’ écrivais pour un secrétaire d’État auquel la plus affreuse
point mon gosier, que je n’aime point à sentir altéré. Me proposant d’ écrire tous les soirs ce qui sera arrivé dans la journée
erbe vulgaire qui dit qu’il fait bon mentir à qui vient de loin. Je n’ écrirai rien que je n’aie vu moi-même, ou du moins qui ne
înement du discours, la matière et d’autres occurrences me poussent à écrire quelques vérités dont quelques-unes pourraient m’
était destinée était déjà mouillée à Groix, au même lieu d’où je vous écris à présent. Vous savez que sur le point de partir
e ç’ait été vous qui les avez présentés au bureau, et que vous m’ayez écrit vous-même qu’ils y avaient été approuvés et que t
en avaient complimenté. Soit dit par parenthèse, au nom de Dieu ne m’ écrivez plus de pareilles lettres, à moins que vous ne so
ans quelque parole peu honnête, je me concertai avec M. Hurtain, et j’ écrivis à M. Le Mayer, directeur pour la Compagnie à l’Or
même et M. Champi Des Clouzeaux, intendant, en avaient parlé. Je leur écrivis que le même M. de Combes nous avait dit, à M. Hur
que j’allais y envoyer la chaloupe du vaisseau, et en effet je ne lui écrivis qu’un mot qui ne lui donnait qu’un simple rendez-
e temps je leur tournai le dos et rentrai dans la grand-chambre. où j’ écrivis à MM. Le Mayer et Chevallier, en leur envoyant le
t fait, je m’en charge, et en rendrai bon compte à la Compagnie. Il a écrit par mon ordre aux directeurs et contrôleur à l’Or
re écrivain est honnête homme, et Albus un faquin, à qui je promets d’ écrire toute cette histoire-ci à M. de Seignelay si le p
nt intéressés. Du moins, a ajouté M. Hurtain, je suis certain qu’il n’ écrira point de sottises, et qu’il gardera le respect à
raient fait souvenir que ce n’est pas à un laquais revêtu comme lui d’ écrire à un homme comme à son valet : et je ne réponds p
re écrivain sera satisfait de la réparation que je lui ferai faire. N’ écrivez point non plus, monsieur, a-t-il dit à M. de Ferv
Hollande. M.Céberet, pénétré qu’Albus ne lui disait rien que de vrai, écrivit contre moi à la Compagnie. Je n’en fus informé qu
vais fait quelque lâcheté ou quelque bassesse, avec défense d’en rien écrire à ma mère, à laquelle cela mettrait la mort au cœ
était un imposteur ; ce qui était déjà le plus gros article : et il l’ écrivit à M. de Seignelay. Pendant ce temps j’étais à Bre
i à M. l’intendant, ni à M. de Saint-Sulpice, il jugea à propos que j’ écrivisse de nouveau à M. de Seignelay, et lui envoyasse ce
M. de Seignelay, auquel MM. Des Clouzeaux et de Saint-Sulpice avaient écrit à mon sujet ; et la troisième à M. Céberet. M.de
 ; et la troisième à M. Céberet. M.de Seignelay me fit l’honneur de m’ écrire qu’il était content : vous m’écrivîtes une lettre
de votre part une lettre aussi chagrinante que celle que vous m’aviez écrite , et que je lui avais montrée dès mon arrivée au P
e voir les côtes de Bretagne, je me suis retiré dans ma chambre, où j’ écris . Je suis autant fatigué que je l’aie jamais été.
va hier au soir avec le même Bouchetière. Voici ce que c’est. Comme j’ écrivais hier dans ma chambre à l’issue du dîner, les écri
e va guère mieux, et l’Oiseau encore moins qu’eux ; malgré ce qu’en a écrit M. l’abbé de Choisy qui par une turlupinade aussi
du tout : on joue aux cartes, aux dames et aux échecs ; on lit et on écrit avec autant de tranquillité que dans une chambre.
lâche bien des pauvretés. J’en suis de même : je ne sais combien j’en écrirai par la suite ; toujours suis-je certain que je n’
combien j’en écrirai par la suite ; toujours suis-je certain que je n’ écrirai rien dont je ne sois persuadé. C’est dans ces île
es qui frappent l’esprit, lorsqu’il est livré à lui-même ? Je cesse d’ écrire , parce que je vas souper, et que je ne vois plus
qui regarde la nature : et plus il y a de gens qui l’étudient et qui écrivent leurs observations et plus l’obscurité s’épaissit
acrifie toute la journée, bien persuadé qu’elle m’est nécessaire pour écrire ce qu’on va lire. Pour savoir à quelle occasion c
ours, autant que la mémoire a pu me le rappeler ; car ces messieurs n’ écrivaient rien, et n’ont jamais voulu donner rien au public
i je puis le dire si pathétique que je crus ne pas perdre mon temps d’ écrire le soir en mon particulier l’idée de ce discours
je suis parfaitement convaincu. Du dimanche 12 mars 1690 Je n’ écrivis pas hier en entier tout ce que l’on vient de lire
indre pour le vaisseau. Du dimanche des Rameaux, 19 mars 1690 J’ écris le matin, je vais à terre, et demain je dirai ce
élérat Machiavel, Mézeray, Maimbourg, Varillas et les autres, qui ont écrit l’histoire du temps de ces papes. Les vaisseaux q
ais été blâmable de faire quelque chose en sa présence sans ordre par écrit . Je vous l’ai dit, a repris M. Blondel, qui a bie
Je vous l’ai dit, a repris M. Blondel, qui a bien vu que par ce mot d’ écrit je lui laissais le champ libre. Il est vrai que v
ux ; il est certain qu’ils se trompent et que la chose est comme je l’ écris . Je n’ai vu aucun livre de pilotage qui fasse cet
qui nous a si bien écartés l’un de l’autre qu’à l’aube du soir, que j’ écris , le plus proche de nous est à plus de quatre bonn
e la préférence ; et, pendant que le sieur Mercier et moi achevions d’ écrire , M. de La Chassée a instruit le commissaire des a
, et que je n’ai vue que sur la consommation, j’ai employé le temps à écrire une partie de sa réception. Je suis sorti de ma c
un des chanoines de Boileau, boire, manger et dormir. Le commandeur a écrit toute la journée. Il me paraît qu’il est très con
Ligne. C’est qu’il n’est point descendu dans ce fond de cale, qu’il a écrit comme bon lui a semblé, sans daigner seulement s’
écrit comme bon lui a semblé, sans daigner seulement s’instruire s’il écrivait vrai. Duval, notre maître d’hôtel, qui a fait le
diable, car son ordre est inconnu, me donnera-t-il toujours matière d’ écrire , et toujours par ses brutalités ? Cet homme est u
lieues du tropique ; et nous l’avons peut-être passé à l’heure que j’ écris . Le commandeur, les autres capitaines et le génér
l’observation que j’ai faite dans mes voyages de Canada, et que j’ai écrite pages 257-258. Sur ce fondement, qui est toujours
bé de Choisy. Il m’a répondu qu’on ne pouvait pas empêcher un homme d’ écrire  ; que cette pureté d’eau, cette fraîcheur, et le
ète pour cacher les fatigues de ceux qui vont aux Indes ; qu’il avait écrit bien des inutilités, et omis bien des choses esse
aucune mauvaise vue dans ses écritures ; mais que du moins, quand on écrivait pour le public, on lui était comptable de ce qu’o
quand on écrivait pour le public, on lui était comptable de ce qu’on écrivait  ; et qu’en ce cas, on ne devait écrire que la pur
était comptable de ce qu’on écrivait ; et qu’en ce cas, on ne devait écrire que la pure et naïve vérité, dépouillée de toute
qui remuent toutes pièces au bureau, et les informent de ceux qui ont écrit contre eux, ce qui leur attire des duretés. Cela
ssai, et lui jetai la garde et le reste. Il me fit un beau procès : j’ écrivis à M. de Seignelay ; il fut cassé, et le procès es
us les Européens qui ont été dans cette île et à tous ceux qui en ont écrit , et entre autres aux mémoires de M. de Flavacourt
s malades, au nombre de seize, presque tous attaqués du scorbut. Je n’ écrirai plus que sous les voiles. Juillet 1690 D
t encore volontiers en paiement, c’est le fer, et surtout du papier à écrire , qu’ils ne prodiguent pas. Il n’y a point de mate
sur moi le quart d’une feuille à lettre. Je lui donnai et le priai d’ écrire à ses gens pour me faire amener vingt bêtes à cor
présent et qui y avaient été apportés par deux nègres. Leur manière d’ écrire est chaldéenne, arabesque, et hébraïque. Nous écr
. Leur manière d’écrire est chaldéenne, arabesque, et hébraïque. Nous écrivons , par rapport au papier, de la droite à la gauche 
us écrivons, par rapport au papier, de la droite à la gauche ; et eux écrivent de la gauche à la droite, fort vite, et autant qu
noir du cul de leur pot, assez bien délayé pour s’en servir. J’en ai écrit un brouillon de ce que j’avais acheté pendant la
barquer de ma seule autorité, tout ce que je pouvais faire était d’en écrire à notre capitaine ; que je ne doutais point d’avo
e la Hollande. Il m’en a plusieurs fois entretenu, et n’a jamais rien écrit  : non pas qu’il manque de matière, ni de génie po
u samedi 29 juillet 1690 Grande joie à bord dès le matin. Et moi j’ écris la rage dans le cœur, non seulement par rapport a
sque Le Vasseur est venu. J’avais l’idée pleine de ce que je venais d’ écrire  : j’achevais ce qui regarde le capitaine d’armes
la voile ; et ces petits bâtiments-ci sont d’un très grand secours. J’ écris ceci plutôt pour la ponctualité que pour la consé
elqu’un. Voici le plus vilain pays du monde. Il pleut à l’heure que j’ écris , d’une force et d’une abondance toute extraordina
9 (1691) Journal d’un voyage fait aux Indes Orientales (tome 2)
Août 1690 [suite] Du samedi 12 août 1690 J’ écris , sur les dix heures du matin, pour dire qu’après
and je reprendrai la plume. Du jeudi 24 août 1690 Je n’ai point écrit depuis le 12 du courant parce que j’ai presque to
ment à moi ; mais, à présent que nous sommes sous les voiles, je vais écrire , en un seul article, tout ce qui me paraît de Pon
ependant que le lecteur me rendra la justice d’ajouter foi à ce que j’ écris lorsqu’il saura par qui j’ai été informé, non seu
s de l’Arétin n’ont rien de plus infâme. Je me serais bien dispensé d’ écrire toutes ces saletés, qui me font horreur à moi-mêm
utes ces saletés, qui me font horreur à moi-même ; mais j’ai résolu d’ écrire tout ce que j’apprendrais de certain. Si on dit q
e paraissant pas vraisemblable, personne ne s’est donné la peine de l’ écrire , crainte de passer pour imposteur. Mais nous, qui
plutôt les vérités évangéliques ; car l’Évangile n’était point encore écrit lorsqu’il partit pour sa mission ; & les quat
’il partit pour sa mission ; & les quatre évangélistes n’ont même écrit que longtemps depuis. Quoi qu’il en soit, il ne l
bonne grâce quand on a le malheur de les trouver sur son chemin. J’ai écrit ceci pour faire connaître le génie des nations or
peur, comme on voit, ne m’avait pas démonté ; & la manière dont j’ écris , & mon style, ne témoignent pas, je crois, qu
n matelot volé & perdant. C’est un fripon, dont le dos portera en écrit plus de six semaines la vengeance de la mauvaise
690 Nous sommes sortis de Négrades ce soir ; &, n’ayant rien à écrire jour par jour, j’ai remis à dire ce que c’est que
ndises qui seront livrées au vaisseau pour reconduire en France, je n’ écrirai plus que je ne sois de retour, & les vaisseau
etourner à Pondichéry. Du samedi 30 décembre 1690 Je n’ai point écrit depuis le six du courant, parce que j’ai toujours
tient, multiplie & fomente ces abus. Il ne faut que lire ce qu’en écrit un savant capucin, qui a pensé y être grillé, &am
d’en savoir là plus que je n’en ai appris à Balassor, je me prépare à écrire d’un seul article tout ce que j’aurai pu en appre
i n’a point fait ni d’honneur, ni de plaisir au commissaire. Il était écrit que je m’en mêlerais. Ainsi, par l’ordre de MM. d
Indes ; mais, voyant que c’était une chose impossible, il a lui-même écrit son histoire à la Compagnie, & demandé l’alte
ement surprise de voir que c’était à elle-même que cette lettre était écrite . Tant de témoins étaient croyables. Ils la prière
oint par qui le Sauveur lût annoncé, pourvu qu’il le fût ; Quid enim, écrit -il aux Philippiens, chap. 1, v. 18, dum omni mod
ts de la rhétorique. Les jésuites en donnent très souvent. Elles sont écrites d un style brillant, amusant, & même persuasi
il est insinuant ; mais pourquoi y déguisent-ils la vérité ? Pourquoi écrivent -ils pour l’Europe tout le contraire de ce qu’on s
amp; de révolte contre la nature & contre le souverain ? Pourquoi écrivent -ils l’histoire de cette révolte comme un effet de
t changé de pensée ; qu’il ferait ses adieux à sa sœur aussi bien par écrit que de vive voix ; que même il s’exempterait par
Smyrne, où il s’embarquerait pour Marseille ou pour Venise ; d’où il écrirait à son ami, sur la réponse duquel il réglerait le
e dans nos foires & nos marchés. Ceux qui vendent à crédit savent écrire . Je ne parlerai point de leur papier : ce ne sont
enfilait un jeu de cartes par une extrémité seulement. Leur manière d écrire est pareille à celle des insulaires de Moali, de
termine en pointe, & qui grave sur ces feuilles plutôt qu’il n’y écrit . Ce fer est long de demi-pied : ils le manient de
ue nos ridicules médecins d’aujourd’hui ont pris des premiers qui ont écrit de la médecine, & qui peut-être étaient imbus
s le fort ; mais je sais bien qu’il n’y entendait quoi que ce soit. J’ écrirai demain là-dessus : cela fait partie de notre conv
mps ce que c’est. Le lecteur va me blâmer : je mérite de l’être. Je n’ écris point ceci pour m’attirer des louanges ; mais pou
ée. M.de Bouchetière, ou M. de La Chassée, & toujours Landais qui écrit mieux que moi, les recevaient à bord sur ces état
p; chez moi ; & si nous avions été à terre, la dispute aurait été écrite en rouge. M.de Porrières n’était pas content, M. 
était juste sur le fort de Pondichéry, qu’il en avait plusieurs lois écrit au ministre et à la Compagnie, qu’il me priait de
e ; que tous les officiers s’étaient joints à lui, & avaient tous écrit la même chose, tant en commun qu’en particulier,
is pourtant pas les gants, puisqu’il y avait deux ans qu’il les avait écrites à M. de Seignelay et à la Compagnie, et qu’il me
jours M. Martin qui parle) la vérité de ce que j’en ai plusieurs fois écrit à feu M. Colbert, à M. de Seignelay, & à la C
e. Je répète tout cela dans les dépêches que M. du Quesne emporte : j écris aussi à M. de Seignelay ; & je vous prie de n
p; qu’ainsi nous sommes obligés de leur céder partout. Je n’ai jamais écrit qu’une faible partie de ce que je vas vous dire,
vous confier quelques secrets dont je n’ai parlé qu’à peu de gens, et écrit fort sobrement à peu d’autres : mais je me fie su
ge qu’il causait à la Compagnie française. Qu’il avait plusieurs fois écrit et prouvé ce qu’il venait de me dire. Que les mém
a, qu’on les nomme souliers à la portugaise. (Par parenthèse, moi qui écris en ai vu & porté de semblables à Paris ; &
le trouvent mauvais, je leur donne le conseil de M. Pascal : qu’ils n’ écrivent plus que pour leurs dévots, s’ils veulent être cr
ès il y a longtemps d’être idolâtres dans la Chine ; &, par leurs écrits , ont chrétiennement & pieusement, mais à mon
Mais que les missionnaires & les jésuites s’épargnent la peine d’ écrire tant de livres, qui nous instruisent seulement qu
t dont les Anglais & les Hollandais, nos ennemis, profitent. J’en écris dans ce sens, à lui & à messieurs de la Compa
, & je lui ai parlé de ce qu’il devait dire pour appuyer ce que j’ écris  : mais, comme il m’a paru un peu jésuite, je ne l
le : notre misaine a été emportée. Du dimanche 4 mars 1691 Je n’ écrivis point hier ni avant-hier parce que je ne l’ai pas
de les relire, en attendant que la mer un peu plus calme me permît d’ écrire , j’ai remarqué dans leurs descriptions une chose
és. J’en dirai demain des nouvelles : pour aujourd’hui, je suis las d’ écrire . Du jeudi 15 mars 1691 On a vu ce qui se pa
grand couvent à Paris ; sans date ni nom du lieu d’où elle avait été écrite  : mais ce nom de Germain cadrait à celui de son o
donne de l’horreur, ne pouvant me figurer que tant de gens qui en ont écrit se soient concertés pour mentir. Du vendredi 3
ccuserais volontiers de vanité & de mensonge tous ceux qui en ont écrit des choses si horribles ; entre autres Maffée que
. Toutes ces plumes ont le tuyau long & me paraissent bonnes pour écrire  : le reste des plumes est comme celui des canes,
e les autres. Nous l’avons détrompé, & je viens de lui donner par écrit ce que nous avons fait. Outre la quantité de pour
 du Quesne : chiffre aussi facile à déchiffrer que si la lettre était écrite en idiome vulgaire. Les Mémoires du C. D.R. &
vive voix. Voici comme je l’entends. Je veux mander, à celui à qui j’ écris , les paroles que voici : « Je me suis fait beauco
travers les champs et les lieux inhabités. » Je me sers de Pajot pour écrire cette lettre, & mon correspondant, qui a un a
dans sa confidence, ou dans le secret de l’État. Il pourrait lui-même écrire de sa main en peu de temps les dépêches dignes d’
’il serait impossible de déchiffrer ces lettres, & qu’on pourrait écrire à un ambassadeur, & autre, ce qu’on voudrait,
faire servir d’enveloppes à des babioles : pourvu que celui à qui on écrirait pût rassembler les morceaux, c’en serait autant q
t à la soixante-dixième ligne de la seconde colonne de la page 867. J’ écris mon chiffre ainsi : -4867. 10. 11 6 Le trait deva
Juillet 1691 Du mardi 3 juillet 1691 Quand j’aurais voulu écrire jour pour jour, je ne l’aurais pas pu ; mais, à p
p; l’Oriflamme trouva au débouquement des îles, vers l’endroit d’où j’ écris , un navire anglais, capre ou autre, contre lequel
au, avec lequel sont péris les jésuites, leurs richesses, & leurs écrits . Male parla, male dilabuntur. Puisque MM. Des Far
is d’autres ; mais ce n’est pas leur libertinage que j’ai entrepris d’ écrire . Outre cela, ils sont morts, Dieu leur fasse misé
ue c’était des moments innocents. Je prends pour moi ce qu’Ovide fait écrire par Œnone à Paris, en parlant d’Hélène : Quae to
t tous trois bons amis, il lui montra le billet que Bernard lui avait écrit  ; & ajouta qu’il ne doutait point que celui q
de la Planche. Je n’aurais jamais fait si je me mettais sur le pied d’ écrire ce que je sais de l’histoire scandaleuse de plusi
e encore, & la chaleur beaucoup diminuée. Le temps étant propre à écrire , j’ai commencé ce matin les copies de mon grand l
10 (1713) Les illustres Françaises « Les Illustres Françaises. Histoires Véritables. »
porter nos conjectures jusqu’à la vérité, par une lettre qu’elle lui écrivit environ six mois après son départ et le vôtre. Si
e lui écrivit environ six mois après son départ et le vôtre. Silvie a écrit à Gallouin, reprit Des Frans tout surpris ! Et vo
le m’a faite n’était pas volontaire ? Oui répondit Dupuis, elle lui a écrit  ; mais que cette lettre ne vous fasse aucune pein
le, est ce qui l’a tout à fait déterminé à la retraite. Silvie la lui écrivait de son convent, et lui mandait qu’elle avait pris
rans, joignant les deux mains, Silvie a encore été assez perfide pour écrire à Gallouin qu’elle était religieuse ! Il a été as
11 (1721) Mémoires
oires Ce n’est certainement pas sans peine que je me suis résolu d’ écrire quelques particularités de ma vie ; l’envie de pa
ma vie ; l’envie de passer pour auteur ne m’a jamais tenté. Quelques écrits qui parurent dans le public malgré moi, parce qu’
tront qu’après ma mort, je crois que les louanges qu’on a fait de mes écrits et qu’on en fait encore tous les jours en ma prés
je le souhaite en cas qu’ils me survivent. longtemps inutile. Je les écris aussi pour instruire les jeunes gens, et leur app
s, je le sais par cœur, et ne l’ayant point vu ailleurs ni imprimé ni écrit , je crois devoir le donner ici en propres termes.
complaisants. 19. Plusieurs évêques lui ont fait des remontrances par écrit . Mais à quoi ont-elles servi ? à rien qu’à les fa
uoi ont-elles servi ? à rien qu’à les faire persécuter, parce que ces écrits étaient remis au confesseur qui n’avait garde de
ont-Louis. Les Jésuites avaient de leur part un livre où le menuisier écrivait par quittances l’argent qu’il recevait d’eux, et
bougie ce regitre ou plutôt le feuillet sur lequel la quittance était écrite , et remarqua que dans la somme écrite tout du lon
t sur lequel la quittance était écrite, et remarqua que dans la somme écrite tout du long l’s avait été changé en d par une ad
ent pendant son ministère et dont il profitait. Cela est si récent et écrit par tant de gens que j’en ferais une répé[ti] tio
t qu’il n’y en avait pas un qui ne fût chargé à la marge de remarques écrites de la main de M. Colbert. Monsieur de Pontchartra
férents. Ils ne seront assurément pas du goût de ces pères, mais je n’ écris pas pour leur plaire ni mentir, j’écris pour dire
goût de ces pères, mais je n’écris pas pour leur plaire ni mentir, j’ écris pour dire la vérité. 116. Le premier s’est passé
pier qu’au bout de vingt ans on ne pouvait plus lire ce qu’on y avait écrit . Au lieu qu’ayant du papier fort, blanc et bien c
bonne partie des évêques de France s’en soient mêlés et lui en aient écrit en cachette crainte d’offenser Louis auprès duque
que ce fut Monsieur l’archevêque de Paris cardinal de Noailles qui en écrivit au pape. Mais que ce soit lui ou un autre ou plus
e reposez-vous en sur moi. Après cela, Monseigneur et lui se mirent à écrire la destination qu’il faisait de cet argent, vingt
qui répondait à un cabinet où se trouvait à point nommé un scribe qui écrivait aussi vite que M. Colbert lisait. Après cela, bie
; et pendant ce temps-là faisait mettre au net ce que le commis avait écrit sous sa dictée pendant qu’il avait lu. 179. Le te
demande pas qu’on m’en croie à ma parole ; que ceux qui en douteront écrivent sur les lieux, ou s’en informent à des gens du pa
arnison, de faire faire une fontaine entre Charlemont et Givet. Il en écrivit à M. Colbert, surintendant des bâtiments, qui, to
endit que tout le monde fût sorti, et se servant de la même allusion, écrivit avec le crayon noir de l’architecte en dedans de
coffre-fort de Monsieur le duc d’Orléans qui lui sert de pupitre pour écrire ses dettes. Ce procès perdu lui faisait un très g
t pathétique. M[onsieu] r de Congy se servit de l’homme de France qui écrivait le mieux pour mettre ce placet au net, et lorsqu’
prit une alarme si chaude que quelques billets que M. de Brissac lui écrivit et une visite de Monsieur] de Beauvilliers ne le
dans le conseil, et rien de si sage que ce que M. de Tourville avait écrit , mais la pétulance de M. de Pontchartrain perdit
Cette prétendue jonction a tant fait de bruit, et tant de gens en ont écrit qu’une répétition serait inutile. Sur ce pied, il
ent contre. Instruit par ce moyen de la jonction des deux nations, il écrivit qu’elles étaient jointes, au moins de quatre-ving
du s[ieu] r de Montigny, secrétaire de M. Desclouzeaux, pour y faire écrire un billet circulaire aux officiers. Il ne le trou
ait ses raisons pour n’en faire pas mettre le pavillon. Pendant que j’ écrivais ces circulaires au nombre de quatorze, il relut t
évenu. 235. Le conseil fut aussitôt assemblé. Il y dit ce qu’il avait écrit et montra la réponse qu’il venait de recevoir ; e
étaient les plus beaux et les plus forts de l’armée, l’amiral Roussel écrivit à M. de Tourville et le complimenta sur sa défait
amis, M. Hindret, receveur des consignations à Vannes en Bretagne, m’ écrivit qu’il avait été taxé à quarante mille francs de s
’est, me dit-il. Je lui répétai les choses telles que je viens de les écrire . Il en rit à toute gorge, et s’appuya sur mon épa
ais bien qu’il est encore en prison à la Conciergerie à l’heure que j’ écris , neuv[ièm] e septembre 1716. Monsieur et Madame d
ols, ou un écu, un louis d’or même si on veut, veuille aller se faire écrire au nombre des gueux, et perdre son temps à postul
, jusques à ce qu’elle eût des nouvelles de son mari à qui elle avait écrit , et dont elle attendait la réponse ou la présence
e ne fit aucun bruit, et revint dans sa chambre garnie rue Joli. Elle écrivit un billet par lequel elle dit ce qu’elle avait fa
’est ce billet qui a été trouvé qui a tout découvert. ) Après l’avoir écrit , elle prit sa fille et la conduisit chez une frui
risent son entreprise puisqu’il ne travaille que pour eux. Comme je n’ écris point dans le dessein que ceci paraisse pendant m
ai partout idolâtres ou du moins fauteurs de l’idolâtrie. Tavernier a écrit ce qu’ils ont fait au Japon, et j’écrirai, moi, c
s de l’idolâtrie. Tavernier a écrit ce qu’ils ont fait au Japon, et j’ écrirai , moi, ce qu’ils ont fait à Siam lorsque nous en a
s, puisque M. de Seignelay m’ordonna de les remettre au net et de les écrire entre deux marges sur du papier d’une grandeur pa
ue je lui avais faite de vive voix du pays, que pour les mémoires par écrit que j’en avais fait[s], et m’exhorta de continuer
our savoir en quoi et où girait son bien. Et en même temps leur faire écrire à tous et chacun leur nom sur de petits carrés de
’une même grandeur et les faire cacheter par celui dont le nom serait écrit en dedans, et les mettre tous à mesure qu’ils ser
rler à personne. Que l’heure pour la réception des lettres qu’on leur écrirait serait fixée du moment de la rentrée du corps du
12 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Jussy, et de Mademoiselle Fenouil. »
ressions sont vives et naturelles ; elle a la mémoire heureuse ; elle écrit juste et bien ; elle fait même quelquefois des ve
amour ou votre haine ; vous en saurez des nouvelles ce soir, soit par écrit , soit de vive voix. Allez, me dit-elle, et venez
e m’a, dont je suis très fâché. Mademoiselle Fenouil m’en a elle-même écrit d’une manière à me faire connaître qu’elle partag
n m’instruisit de sa destinée. J’obligeai les gens de l’ambassadeur d’ écrire à mes parents que j’étais mort. Je leur fis mettr
pour ne pas laisser Mademoiselle Fenouil dans cette croyance, je lui écrivis de ma main tout ce qui en était. Je lui envoyai l
e m’acquitterai demain. Le bruit de ma mort se répandit ; mes parents écrivirent tout droit à son Excellence pour en être plus ass
onsidérablement gagné, et je rapporte tout en lettres de change. J’ai écrit à ma maîtresse tout ce que j’ai fait ; elle a tou
lle voudra bien me souffrir en sa présence. Mademoiselle Fenouil m’en écrit comme d’une des plus vertueuses, et des plus aima
ire. Elles vous convaincront que je ne vous dis rien qui ne m’ait été écrit  ; et de ma part, je suis prêt à lui faire telle s
13 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « ChapitreLII. Le mari prudent »
pouse, résolut d’en découvrir le sujet, et la surprit un jour qu’elle écrivait une lettre. C’est encore ce qu’une femme ne doit
ence d’esprit de prendre tout d’un coup son parti, et de dire qu’elle écrivait à un parent. Cette lettre n’avait rien d’essentie
d’accident. Il résolut de ne point du tout quitter son beau-père, et écrivit chez lui qu’on ne l’attendît point à dîner, ni mê
de sa vie, et à le prier de fléchir l’esprit de son mari, à qui elle écrivait très souvent. Ses prières furent enfin exaucées.
sse pour aller au couvent où elle était. Cléon ne prit que le temps d’ écrire à la Supérieure de ce couvent qu’ils partaient, e
14 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur de Contamine, et d’Angélique. »
aritable, en eut beaucoup de soin. Elle lui fit apprendre à lire et à écrire , pour en être soulagée dans le détail de son ména
aire ne put pas se terminer sitôt ; et pour en venir à bout, il était écrit dans le ciel qu’Angélique y prendrait part. Sa ma
et y trouva ces paroles. LETTRE. Voici la sixième lettre que je vous écris , belle Angélique, sans savoir si elle aura un sor
mes, je ne puis vivre sans vous voir, et sans vous parler. Vous savez écrire , reprit-elle, je ne refuserai pas vos lettres. Ce
i la sert ? Je n’y viendrai plus puisque vous me le défendez, je vous écrirai , puisque vous me le permettez ; mais vos réponses
resta qu’un moment avec elle, et retourna chez lui dans le dessein d’ écrire à Angélique ce qu’il avait voulu lui dire. Il le
s pieds pour l’empêcher d’en venir là. Il n’y gagna rien, et il était écrit que le même coup, qui suivant toutes les apparenc
l jour qu’elle envoya son laquais lui chercher un carrosse propre, et écrivit ce billet à votre commère. BILLET. Une aventure
us de me sauver ce que j’ai de plus cher, après mon salut. Je ne puis écrire davantage. Venez au nom de Dieu le plus prompteme
étrée, qu’elle en est au lit fort malade. Voilà le billet qu’elle m’a écrit , je n’ai pu refuser à ses empressements et à sa d
viendrai vous prendre demain dans mon carrosse, nous irons ensemble. Écrivez un billet à Mademoiselle Dupuis, je la prierai d’
vous me verrez dans un état que vous ne m’avez point encore vue. Elle écrivit à Mademoiselle Dupuis le billet que Contamine lui
15 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIX. De ce qui se passa chez le duc de Médoc après le départ de Dulcinée, et comment Sancho reçut sa femme que la duchesse fit venir au château. »
ller quérir lui-même. On s’y opposa, et on se contenta de l’obliger d’ écrire à sa femme de venir et d’amener sa fille. Il le f
des compliments à Sancho qui ne se sentait pas de joie. Don Quichotte écrivit au curé pour tous après avoir écrit pour Sancho.
tait pas de joie. Don Quichotte écrivit au curé pour tous après avoir écrit pour Sancho. On fit partir un exprès le soir même
drid suivant les ordres de la Cour. La duchesse à qui son frère avait écrit avait trouvé dans son paquet une lettre adressée
reçus du vice-roi son frère, depuis qu’elle avait eu la bonté de lui écrire en sa faveur. Il chargeait son épouse d’en bien r
16 (1713) Les illustres Françaises « Préface. »
que j’ai entendu raconter en différents temps, et que j’ai mises par écrit à mes heures perdues. À l’égard des noms que je l
ssi bien que quelques phrases qui paraîtront embarrassées. Si j’avais écrit des fables, j’aurais été maître des incidents que
ités qui ont leurs règles toutes contraires à celles des romans. J’ai écrit comme j’aurais parlé à mes amis dans un style pur
17 (1713) Les illustres Françaises « Histoire de Monsieur Dupuis, et de Madame de Londé. »
n’attendis pas la décision du procès pour terminer le charme. Je fis écrire une lettre d’une main inconnue que je fis adresse
ments ni mes paroles, croyez-en tout ce qu’il vous plaira de me faire écrire . Pourrais-je dédire en même temps une promesse de
sa chambre étaient presque fermées ; à peine vis-je assez clair pour écrire ce qu’elle me dicta. Elle crut bien prendre ses p
t bien prendre ses précautions, et ne fit pourtant rien qui vaille. J’ écrivis tout ce qu’elle voulut, et après qu’elle fut sati
vous êtes infidèle ? J’avais accusé de fausseté tout ce qu’on m’avait écrit de votre engagement ; je croyais être en droit de
voir où vous étiez ? Ne m’avez-vous pas par là ôté les moyens de vous écrire , et de vous faire savoir ce qui m’arrivait ? Alle
fus près d’un mois sans pouvoir sortir. Sitôt que je fus chez moi, j’ écrivis à Célénie une promesse de mon sang bien étendue,
l’une et de l’autre, ne me sentant pas l’esprit assez tranquille pour écrire de suite. Si je m’étais bien examiné, j’aurais as
Il me dit qu’après avoir eu tout le temps de lire ce que je lui avais écrit , elle était venue le retrouver ; et que pour tout
te relation me mit en fureur. J’envoyai chercher un de ces hommes qui écrivent sous les charniers des Saints-Innocents. Je renvo
bien résolu d’envoyer le tout à Alaix si elle l’épousait. Je lui fis écrire mon intrigue avec elle, le nom de la sage-femme q
ait passé entre elle et moi ; je lui lus les copies de ce que j’avais écrit et dicté. Je fis ajouter dans la lettre à Alaix,
elle eut jeté les yeux sur ce que c’était. La lettre que je lui avais écrite , la copie de la promesse que je lui avais envoyée
la copie de la promesse que je lui avais envoyée, et la lettre qu’on écrivait à Alaix ne lui laissèrent plus douter qu’il ne fû
raisons très fortes, que vous me dispenserez de vous dire. Nous nous écrivons fort souvent, et c’est assurément la seule femme
fut au bout de ses conjectures, lorsqu’il reçut la lettre qu’elle lui écrivait de son couvent. Nous poussâmes nos vues jusqu’à l
iculier, qu’il me fut impossible de lui dire un mot en secret. Je lui écrivis vingt fois, elle ne voulut prendre aucune de mes
us du tout d’elle, reprit-il, de son ton ordinaire. Il était pourtant écrit qu’elle serait ma véritable passion, et que je l’
de longtemps parler à Madame de Londé, par le moyen de Mousson, et j’ écrivis le soir cette lettre : LETTRE. Vous avez beau vo
18 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVI. De ce qui suivit le désenchantement de Dulcinée. »
nt un registre bien exact de ce que je fais ; c’est peut-être lui qui écrit ma vie. Il allait continuer lorsqu’il fut interro
it en lui disant : N’as-tu pas entendu lire par ton maître ce qui est écrit au-dessus de la porte du palais de Merlin, et qui
our tes menteries. Combien en as-tu fait en ta vie ? Les voilà toutes écrites , poursuivit-il en lui montrant un gros livre ; ma
19 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre LI. Le jaloux trompé »
e, la complaisance et le respect de sa femme pour lui ; mais il était écrit que cet homme deviendrait malheureux par sa faute
ur ses occupations ordinaires dans sa chambre ; si elle n’avait point écrit , si elle n’avait point sorti, et enfin il s’en fi
us et à double tour, qu’elle en avait ôté la clef, qu’elle n’avait ni écrit , ni parlé à qui que ce fût de dehors, et en un mo
parler à qui que ce fût de dehors, et qu’il ne lui était pas permis d’ écrire . Ils étaient pourtant en partie convenus de quelq
20 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLV. Pourquoi la maîtresse d’une hôtellerie voisine du château venait souvent demander des nouvelles de Sainville et de Silvie. »
qu’elle se chargeait de lui en procurer à Naples. Elle avait en effet écrit au vice-roi, dont elle était sœur ; et comme ils
c reçut des nouvelles de ceux du Conseil de Madrid, auxquels il avait écrit . Elles étaient si pleines d’honnêtetés pour lui,
21 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LVIII. Des tristes et agréables choses que Parafaragaramus apprit au chevalier de la Manche. »
cinée m’aidera dans le reste. Voici un livre où toute ta destinée est écrite  ; je viens de faire en sorte de l’avoir de Pluton
grandes actions en périssant mal. Tel est l’ordre du destin que voilà écrit dans mon livre. Voilà ce que j’ai à te dire qui p
22 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LIII. Belle morale du seigneur Don Quichotte. »
u’on mettait dans les livres, et que peut-être le sage enchanteur qui écrivait leur histoire, et qui n’en oubliait pas une circo
t continua son histoire, qui ne fait rien à celle-ci, puisqu’elle est écrite ailleurs.
23 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre quatrième) « Chapitre LV. Don Quichotte et Sancho vont à la caverne de Montésinos. Ce qu’ils y virent, et comment se fit le désenchantement de Dulcinée. »
ils virent un écriteau de marbre noir sur lequel ces paroles étaient écrites en lettres d’or : Qui que vous soyez qui venez af
épondit Merlin, que les décrets du destin sont inviolables ; il était écrit dans le ciel qu’elle serait transformée en une vi
24 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIII. Comment on a découvert ces nouvelles aventures qu’on donne au public. »
t la suite de l’histoire, dit au Français, que tout ce qu’on en avait écrit , et qui était devenu public, n’était que des baga
25 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XXXIX. Du grand projet que forma le duc de Médoc, et dans lequel Don Quichotte entra avec plus de joie que Sancho. »
duc tout ce qu’elle avait dit au lieutenant et que le greffier avait écrit  ; après cela Don Quichotte et le duc d’Albuquerqu
26 (1715) Continuation de l’histoire de l’admirable Don Quichotte de La Manche (livre troisième) « Chapitre XLVIII. Du combat de Don Quichotte contre Sancho, et quelle en fut la fin. »
re, qu’il veut perdre, et qu’il hait comme le diable, parce qu’il est écrit dans les destinées, que le grand Don Quichotte do
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