t comme j’allais dans le passager du Rocher à Recouvrance, pour aller
à bord
pour en amener M. Hurtain, je trouvai deux capita
ller au magasin du roi prendre des Iléaux et des poids. Je les portai
à bord
à six heures du soir. Je trouvai déjà plus de cen
er que ce pain avait été vendu et livré ; et qu’ainsi il n’était plus
à bord
: ils firent plus, puisqu’ils montrèrent à l’inte
onsieur pour un homme comme lui. Ajoutez-lui qu’il n’y a plus de pain
à bord
, puisqu’il est cause que je l’ai fait jeter à la
t de la prévôté de la Marine, qui, accompagné de quatre archers, vint
à bord
. M.Hurtain, qui non plus que moi ne s’attendait p
lui ont apporté ce billet sont bien heureux de ce que je n’étais pas
à bord
lorsqu’ils y sont venus : quelques coups de canne
it pas six qui en fussent capables. Je soupai avec eux, et me retirai
à bord
. M. de Combes n’y était plus. M.Hurtain était ren
Indes. J’en ai bien du chagrin, parce qu’hier dimanche il s’est passé
à bord
une chose dont je voudrais que la Compagnie fût i
rois devoir en rendre raison, à pour cela rappeler ce qui s’est passé
à bord
dimanche dernier 26 février, puisque c’est ce qui
er aux Indes ; mais le lendemain 26, dès la pointe du jour, il revint
à bord
sous Groix, où nous sommes encore, avec deux tier
ner. Il croyait en être quitte ; mais M. Hurtain et moi étant revenus
à bord
le lundi matin, et ayant été instruits de tout pa
eau-de-vie de Bouchetière. Je dirai, en attendant, que je suis revenu
à bord
sur les sept à huit heures, et que nous remettons
passant à déjeuner. M. du Quesne n’a pas manqué de nous venir prendre
à bord
mardi matin. Tous ces messieurs y étaient arrivés
devez recevoir. Après cela, nous nous rembarquâmes tous, et revînmes
à bord
sur les sept heures du soir par un petit vent Est
s écrivains du roi du Gaillard et du Florissant me sont venus prendre
à bord
pour aller tous ensemble avec les chirurgiens arr
moi avons fait comprendre à M. Hurtain qu’il fallait mettre la table
à bord
au niveau de celle de M. du Quesne, notre amiral
e côté à gauche, on ne voit que des rochers. J’avais entendu la messe
à bord
, je ne laissai pourtant pas d’assister à l’office
nd point à l’extérieur : en voici la preuve. J’avais entendu la messe
à bord
, avant que de descendre à terre. Je joignis dans
s donné, avec promesse de ne le laisser manquer de rien de ce qui est
à bord
. Après son départ, nous avons été boire à sa sant
s le même, et je répondrais de lui comme de moi ; il n’était pas même
à bord
. Je répondrais encore que ce ne peut être qu’un d
si sans craindre d’être dédit, j’ai convié notre amiral à dîner lundi
à bord
, avec M. d’Auberville, son lieutenant. Ils m’ont
douze veaux, que M. Hurtain a achetés à Groix, et qui ont été nourris
à bord
, nous ont empêchés de rien dire à nos volailles p
quinze lieues de la Ligne. M. du Quesne n’a pas manqué de venir dîner
à bord
, avec quatre de ses officiers, et le père Tachard
il l’a bien fleuré et senti, il l’avale, et y reste pris : on le tire
à bord
le plus vite qu’on peut, car ses dents couperaien
c une promptitude tout à fait surprenante, lorsqu’on tirait cet homme
à bord
, à la poulie, afin de l’enlever tout d’un coup ;
st fort couvert. M. du Quesne a envoyé M. d’Auberville son lieutenant
à bord
, pour savoir comment se porte M. Hurtain, qui, co
u néant. Tous les chirurgiens de l’escadre sont encore venus ce matin
à bord
pour y faire une nouvelle consultation sur la mal
onne compagnie nos méprisantes et véritables intentions. Ils ont dîné
à bord
, où ils ont eu la fortune du pot, et rien plus. L
ut guère mieux ; point de hauteur. MM. du Quesne et Joyeux sont venus
à bord
ce matin voir M. Hurtain. Ils ont donné ordre d’u
able la première place, sans l’offrir aux étrangers qui étaient venus
à bord
voir la cérémonie. Nous étions tous de mauvaise h
Du mardi 25 avril 1690 M. Blondel, commissaire, est venu ce matin
à bord
. Il y a entendu la messe, et à l’issue du déjeune
us avions un cochon de lait qui n’a jamais vu terre, puisqu’il est né
à bord
: il avait été farci de deux gros chapons désossé
ontinué, tel, tel, et tels officiers et passagers ont-ils été arrivés
à bord
que l’un a demandé de la toile pour doubler son m
e dit : c’est qu’on nous avait avertis, et il est vrai que nous avons
à bord
des gens qui changent avec plaisir les ustensiles
de fois. Telle est l’eau de fond de cale que nous avons présentement
à bord
; et on a beau la mettre dans des jarres pour se
que je fais le voyage avec bien de l’agrément. Il y a eu trois tables
à bord
aujourd’hui. La première du général et capitaines
me je le dirai bientôt, que tous ceux qui y ont été, dont il y a deux
à bord
, et les Français qui en sont sortis pour se retir
apitaines ne sont que trois ou quatre fois descendus à terre, restant
à bord
pour faire embarquer l’eau, le bois, les bestiaux
à ceux qu’on trouve dans les montagnes d’Auvergne. J’en ai envoyé un
à bord
, et mangé l’autre dans ma tente, avec d’autres, q
n parler au commandeur. Autre bêtise de ma part, de ne le pas envoyer
à bord
dans le moment. Enfin, je pris, pour être volé, t
mmonde que la nature produise. Ils lurent pourtant trouvés bons, l’un
à bord
, l’autre à ma table. Les chiens firent comme les
. Il nous répondit de Londres. Nous lui criâmes d’envoyer sa chaloupe
à bord
: il répondit qu’il allait l’envoyer ; mais n’en
et on l’a sauvé à la voix. Nous avons appris de lui, lorsqu’il a été
à bord
, que ce vaisseau était anglais, parti de Londres
avec deux enfants, dont il y en a un à la mamelle, en étant accouchée
à bord
depuis leur départ de la Tamise ; femme d’environ
illi. Je les lui ai montrés, après que j’ai été embarqué pour revenir
à bord
: il a crié au voleur ; mais d’une manière qui me
brûlure, qu’on a rafraîchi le plus qu’on a pu. À peine avons-nous été
à bord
que nous avons vu six îlots ou petites îles : ce
llons blancs et on a arboré pavillon hollandais, pour les faire venir
à bord
. L’appât était trop grossier ; elles n’ont pas vo
aurait la journée à soi. Du samedi 29 juillet 1690 Grande joie
à bord
dès le matin. Et moi j’écris la rage dans le cœur
geant dans lame. On leur a crié à plus d’une portée de fusil de venir
à bord
. Eh, comment diable y viendront-ils ? ai-je répon
ui est cause que nous sommes à l’ancre. M. du Quesne est venu ce soir
à bord
, sitôt que nous avons été sur le fer. J’ai dit ci
eu au vent toute la journée, et avons mis même pavillon. Il est venu
à bord
un Français, nommé M. Cordier, qui nous a dit que