Le Larron « Maraudeur étranger, malheureux, malhabile, Voleur, voleur, que ne demandais-tu ces fruits ? […] Larron des fruits tourne vers moi tes yeux lyriques. […] » Et le larron des fruits cria : « Je suis chrétien ! […] le larron de gauche dans la bourrasque Rira de toi comme hennissent les chevaux. » — « Larron des fruits tourne vers moi tes yeux lyriques.
Nous chanterons le feu, la noblesse des forges, La force des grands gars, les gestes des larrons, Et la mort des héros et la gloire des torches Qui font une auréole autour de chaque front, La beauté des printemps et les amours fécondes, La douceur des yeux bleus que le sang assouvit, Et l’aube qui va poindre et la fraîcheur des ondes, Le bonheur des enfants et l’éternelle vie.
Je suis fidèle comme un dogue Au maître, le lierre au tronc, Et les Cosaques Zaporogues Ivrognes, pieux et larrons Aux steppes et au décalogue.