Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») À André Rouveyre.
Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») À André Rouveyre.
Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») à André Rouveyre.
Aux Noëls bienheureuses Fêtes des sapins ensongés Aux longues branches langoureuses.
Parmi les feuillards de la fête des cabanes Ottomar en chantant sourira à Abraham.
Nous renaîtrons aussi, nous fêtes populaires Kermesses, Carrousels.
Les Femmes Dans la maison du vigneron les femmes cousent… « Lenchen, remplis le poêle et mets l’eau du café Dessus… » — « Le chat s’étire après s’être chauffé — « Gertrude et son voisin Martin enfin s’épousent. » Le rossignol aveugle essaya de chanter Mais l’effraie ululant il trembla dans sa cage : « Ce cyprès là-bas a l’air du pape en voyage Sous la neige. » — « Le facteur vient de s’arrêter Pour causer avec le nouveau maître d’école. » — « Cet hiver est très froid, le vin sera très bon. » — « Le sacristain sourd et boiteux est moribond. » — « La fille du vieux bourgmestre brode une étole Pour la fête du curé. » La forêt là-bas Grâce au vent chantait à voix grave de grand orgue.
On leur fit fête.
On leur fit fête.