aricot poussait dans un jardin rhénan Et le peintre ayant vu de hauts
vols
de cigognes Peignit les séraphins qui chantent ma
Amour que je rebute Tendresse du Printemps qui me fait défaillir, Un
vol
d’oiseaux divins monte comme un soupir Dans le fi
t d’alignements d’yeux des astres bien-aimés. Oiseau tranquille, au
vol
inverse, oiseau Qui nidifie en l’air, A la limite
n exil Il pleure il est barbare et bon pardonnez-lui Je confesse le
vol
des fruits doux des fruits mûrs Mais ce n’est pas
ue est oblongue Tu n’as de signe que le signe de la croix Vouons le
vol
à Sparte et l’inceste à Ninive Nous rentrerons de
pleure, il est barbare et bon, pardonnez-lui ! » — « Je confesse le
vol
des fruits doux, des fruits mûrs, Mais ce n’est p
est oblongue. Tu n’as de signe que le signe de la croix. Vouons le
vol
à Sparte et l’inceste à Ninive. Nous rentrerons d
ur. » ………………………………………………………………. Et leurs mains s’élevaient comme un
vol
de colombes, Clarté sur qui la nuit fondit comme
nts de mes fleurs. Et j’ai ri du vieil ange qui n’est point venu De
vol
très indolent me tendre un beau calice. J’ai ri d
il A leurs pâles époux couchés sur les terrasses Puis ayant pris leur
vol
vers le brûlant soleil Les suivirent dans l’onde