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1 (1914) Chapeau-tombeau « Chapeau-tombeau »
On a niché Dans son tombeau L’oise perchéau Sur ton chapeau Il a vécu En Amérique Ce petit cul      Or nithologique  
2 (1908) Le Chat « Le Chat »
rmi les livres, Des amis en toute saison Sans lesquels je ne peux pas vivre .
3 (1909) La Vierge à la fleur de haricot à Cologne « La Vierge à la fleur de haricot à Cologne »
its anges blancs dans le ciel entassés. Les trois dames et l’enfant vivaient à Cologne, Le haricot poussait dans un jardin rhé
ntent maintenant. Et c’est la Vierge la plus douce du royaume. Elle vécut au bord du Rhin pieusement Priant devant son port
4 (1917) à Juliette Norville « à Juliette Norville »
ns que revînt dans la race française Le goût d’être nombreuse afin de vivre à l’aise Ainsi que les enfants du mari de Thérèse
5 (1909) Enfance « Enfance »
s cyprès n’étaient que des quenouilles, Et mon jardin, un monde où je vivais exprès Pour y filer un jour les éternels cyprès.
6 (1917) [Calligramme (oiseau)] « [Calligramme (oiseau)] »
ns d’oiseaux qui donnent une couleur inconnue au ciel de la région où vivent ses personnages familiers, une mouche sur un morc
7 (1915) Le Repas « Le Repas »
Songeant que les repas sont beaux, sont sacrés              Qui font vivre les hommes.
8 (1913) Dans le jardin d’Anna « Dans le jardin d’Anna »
Dans le jardin d’Anna Certes si nous avions vécu en l’an dix-sept cent soixante Est-ce bien la d
9 (1914) L'Ignorance « L’Ignorance »
ta fille ténébreuse La Nuit cette inconnue parmi les inconnus Et je vivrai par ta chaleur et d’espérance Mais ton amour sole
10 (1914) Le Musicien de Saint-Merry « Le Musicien de Saint-Merry »
s extrait un peu de graisse de leur misère Mais nous qui mourons de vivre loin l’un de l’autre Tendons nos bras et sur ces
s haut maintenant et ne touchons plus le sol Et tandis que le monde vivait et variait Le cortège des femmes long comme un jo
11 (1903) Avenir « Avenir »
londe et la fécondité. — Puis quand la peste aura purifié la terre, Vivront en doux amour les bienheureux humains, Paisibles
12 (1917) [Page 1] « [Page 1] »
[Page 1] Lorsque j’ai connu Léopold Survage il vivait dans un atelier si misérable qu’on y cuisait quan
13 (1902) La Loreley « La Loreley »
ies De quel magicien tiens-tu ta sorcellerie ? — — Je suis lasse de vivre et mes yeux sont maudits Ceux qui m’ont regardé,
14 (1912) Zône « Zône »
ô tour Eiffel le troupeau des ponts bêle ce matin Tu en as assez de vivre dans l’antiquité grecque et romaine Ici même le
te serre le gosier Comme si tu ne devais jamais plus être aimé Si tu vivais dans l’ancien temps tu entrerais dans un monastèr
ge et de l’Age Tu as souffert de l’amour à vingt et à trente ans J’ai vécu comme un fou et j’ai perdu mon temps Tu n’oses pl
15 (1913) Zône « Zône »
ô tour Eiffel le troupeau des ponts bêle ce matin Tu en as assez de vivre dans l’antiquité grecque et romaine Ici même les
te serre le gosier Comme si tu ne devais jamais plus être aimé Si tu vivais dans l’ancien temps tu entrerais dans un monastèr
ge et de l’Age Tu as souffert de l’amour à vingt et à trente ans J’ai vécu comme un fou et j’ai perdu mon temps Tu n’oses pl
16 (1912) Le Voyageur « Le Voyageur »
alerie des ponts, nuits livides de l’alcool, Les villes que j’ai vues vivaient comme des folles Te souviens-tu des banlieues e
17 (1915) A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») « A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») »
    Et maintenant chantons ceux qui sont morts               Ceux qui vivent les officiers et les soldats               Les fl
18 (1911) Le Larron « Le Larron »
Tanagre Au lieu du roseau triste et du funèbre faix Que n’alla-t-il vivre à la cour du roi d’Edesse Maigre et magique il eû
19 (1903) Le Larron « Le Larron »
anagre Au lieu du roseau triste et du funèbre faix. Que n’alla-t-il vivre à la cour du roi d’Edesse ? Maigre et magique, il
20 (1909) L'Obituaire « L’Obituaire »
nespéré Et si certain Qu’ils ne craignaient point de le perdre. Ils vivaient si noblement Que ceux, qui, la veille encore, Les
21 (1912) La Maison des morts « La Maison des Morts »
nespéré Et si certain Qu’ils ne craignaient point de le perdre. Ils vivaient si noblement Que ceux, qui, la veille encore, Les
22 (1912) Vendémiaire « Vendémiaire »
Vendémiaire Hommes de l’avenir souvenez-vous de moi Je vivais à l’époque où finissaient les rois Tour à tour il
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