On a niché Dans son tombeau L’oise perchéau Sur ton chapeau Il a
vécu
En Amérique Ce petit cul Or nithologique
its anges blancs dans le ciel entassés. Les trois dames et l’enfant
vivaient
à Cologne, Le haricot poussait dans un jardin rhé
ntent maintenant. Et c’est la Vierge la plus douce du royaume. Elle
vécut
au bord du Rhin pieusement Priant devant son port
ns que revînt dans la race française Le goût d’être nombreuse afin de
vivre
à l’aise Ainsi que les enfants du mari de Thérèse
s cyprès n’étaient que des quenouilles, Et mon jardin, un monde où je
vivais
exprès Pour y filer un jour les éternels cyprès.
ns d’oiseaux qui donnent une couleur inconnue au ciel de la région où
vivent
ses personnages familiers, une mouche sur un morc
ta fille ténébreuse La Nuit cette inconnue parmi les inconnus Et je
vivrai
par ta chaleur et d’espérance Mais ton amour sole
s extrait un peu de graisse de leur misère Mais nous qui mourons de
vivre
loin l’un de l’autre Tendons nos bras et sur ces
s haut maintenant et ne touchons plus le sol Et tandis que le monde
vivait
et variait Le cortège des femmes long comme un jo
londe et la fécondité. — Puis quand la peste aura purifié la terre,
Vivront
en doux amour les bienheureux humains, Paisibles
[Page 1] Lorsque j’ai connu Léopold Survage il
vivait
dans un atelier si misérable qu’on y cuisait quan
ies De quel magicien tiens-tu ta sorcellerie ? — — Je suis lasse de
vivre
et mes yeux sont maudits Ceux qui m’ont regardé,
ô tour Eiffel le troupeau des ponts bêle ce matin Tu en as assez de
vivre
dans l’antiquité grecque et romaine Ici même le
te serre le gosier Comme si tu ne devais jamais plus être aimé Si tu
vivais
dans l’ancien temps tu entrerais dans un monastèr
ge et de l’Age Tu as souffert de l’amour à vingt et à trente ans J’ai
vécu
comme un fou et j’ai perdu mon temps Tu n’oses pl
ô tour Eiffel le troupeau des ponts bêle ce matin Tu en as assez de
vivre
dans l’antiquité grecque et romaine Ici même les
te serre le gosier Comme si tu ne devais jamais plus être aimé Si tu
vivais
dans l’ancien temps tu entrerais dans un monastèr
ge et de l’Age Tu as souffert de l’amour à vingt et à trente ans J’ai
vécu
comme un fou et j’ai perdu mon temps Tu n’oses pl
alerie des ponts, nuits livides de l’alcool, Les villes que j’ai vues
vivaient
comme des folles Te souviens-tu des banlieues e
Tanagre Au lieu du roseau triste et du funèbre faix Que n’alla-t-il
vivre
à la cour du roi d’Edesse Maigre et magique il eû
anagre Au lieu du roseau triste et du funèbre faix. Que n’alla-t-il
vivre
à la cour du roi d’Edesse ? Maigre et magique, il
nespéré Et si certain Qu’ils ne craignaient point de le perdre. Ils
vivaient
si noblement Que ceux, qui, la veille encore, Les
nespéré Et si certain Qu’ils ne craignaient point de le perdre. Ils
vivaient
si noblement Que ceux, qui, la veille encore, Les
Vendémiaire Hommes de l’avenir souvenez-vous de moi Je
vivais
à l’époque où finissaient les rois Tour à tour il