Le Lapin Je connais un autre connin Que tout
vivant
je voudrais prendre. Sa garenne est parmi le thym
renaissent au cœur des poètes [miroir] Dans ce miroir je suis enclos
vivant
et vrai comme on imagine les anges et non comme s
i bien portants Que bien malin qui aurait pu Distinguer les morts des
vivants
. Puis, dans la campagne, On s’éparpilla. Deux c
embarquée, Et quelques morts ramaient Avec autant de vigueur que les
vivants
. A l’avant du bateau que je gouvernais, Un mort
Comme l’insecte nocturne Aime la lumière. — — Trop tard, répondait la
vivante
. Repoussez, repoussez cet amour défendu, Je suis
eines d’à-propos Que c’était à mourir de rire, Et le mort disait à la
vivante
: — Nous serions si heureux ensemble ! Sur nous
ouches, Marchaient à distances inégales. Les morts avaient choisi les
vivantes
, Et les vivants, Des mortes. Un genévrier, parfoi
t à distances inégales. Les morts avaient choisi les vivantes, Et les
vivants
, Des mortes. Un genévrier, parfois, Faisait l’eff
vitrines. Ils ne se doutaient pas De ce qui s’était passé, Mais les
vivants
en gardaient le souvenir. C’était un bonheur ines
i bien portants Que bien malin qui aurait pu Distinguer les morts des
vivants
. Puis, dans la campagne, On s’éparpilla. Deux c
embarquée, Et quelques morts ramaient Avec autant de vigueur que les
vivants
, A l’avant du bateau que je gouvernais, Un mort
Comme l’insecte nocturne Aime la lumière. ‒ Trop tard, répondait la
vivante
. Repoussez, repoussez cet amour défendu. Je suis
eines d’à-propos Que c’était à mourir de rire, Et le mort disait à la
vivante
: ‒ Nous serions si heureux ensemble ! Sur nous l
ouches, Marchaient à distances inégales. Les morts avaient choisi les
vivantes
, Et les vivants, Des mortes. Un genévrier, parfoi
t à distances inégales. Les morts avaient choisi les vivantes, Et les
vivants
, Des mortes. Un genévrier, parfois, Faisait l’eff
vitrines. Ils ne se doutaient pas De ce qui s’était passé, Mais les
vivants
en gardaient le souvenir. C’était un bonheur ines
uche au fond de l’horizon Un vigneron qui était lui-même la bouteille
vivante
Un vigneron qui sait ce qu’est la guerre Un vigne
ux grimaces flébiles. Je n’ai que ma douleur pour émouvoir Caron Et
vivant
je mendie de chaque aube à la brune Et je cesse m
Linda ce mobile reflet Qui la simule toute et presque fabuleuse Mais
vivante
vraiment moderne comme elle est La dame du miroir
ouvement : le Rythme coloré. Il y avait travaillé pendant des années,
vivant
modestement du produit d’un métier manuel qui est
s un homme plein de sens Connaissant de la vie et de la mort ce qu’un
vivant
peut connaître Ayant éprouvé les douleurs et les
ve était très claire. Alors sans bruit, sans qu’on pût voir rien de
vivant
, Contre le mont passèrent des ombres vivaces, De
’ombre Veut être enfin l’ombre de la vie Veut être ô mer
vivante
infidèle comme toi La mer qui a trahi des matel
les villes du Nord répondirent gaiement O Paris nous voici boissons
vivantes
Les viriles cités où dégoisent et chantent Les mé