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1 (1904) Schinderhannes « Schinderhannes »
nt un baquet. Hannes crie en versant des larmes : « Baquet plein de vin parfumé ! Viennent aujourd’hui les gendarmes, Nou
e vin parfumé ! Viennent aujourd’hui les gendarmes, Nous aurons bu le vin de mai ! Mes compagnons, ma chère troupe D’ivro
e troupe D’ivrognes rauques, mes bandits Voici notre divine soupe, Le vin béni pour nous maudits. Et toi, Julia, la mamse
, Julia, la mamselle, Bois avec nous ce clair bouillon D’herbes et de vin de Moselle… Prosit, bandit en cotillon !… » Jul
2 (1915) Le Repas « Le Repas »
vive du beurre sur le feu Un rayon traverse un verre presque plein de vin mélangé d’eau Oh ! le beau rubis que font du vin
rre presque plein de vin mélangé d’eau Oh ! le beau rubis que font du vin rouge et du soleil              Quand la faim est
3 (1912) Nuit rhénane « Nuit rhénane »
Nuit rhénane Mon verre est plein d’un vin trembleur comme une flamme. Ecoutez la chanson le
4 (1912) Vendémiaire « Vendémiaire »
Ces très-hautes amours et leur danse orpheline Deviendront à Paris le vin pur que tu aimes Et un râle infini qui venait d
a croix Et même la fleur de lys qui meurt au Vatican Macèrent dans le vin que je t’offre et qui a La saveur du sang pur de
le Sortiront de la terre et viendront dans les airs Pour boire de mon vin par deux fois millénaire La Moselle et le Rhin
s j’entendis la prière Qui joignait la limpidité de ces rivières Le vin de ton pays est meilleur que celui Qui pousse sur
A leur voix mêlait la sienne L’univers tout entier concentré dans ce vin Qui contenait les mers les animaux les plantes Le
Tout ce que je ne connaitrai jamais Tout cela tout cela changé en ce vin pur Dont Paris avait soif Me fut alors présenté
5 (1917) Le Vigneron champenois « Le Vigneron champenois »
artout comme les obus d’une charmante artillerie La nuit est blonde ô vin blond Un vigneron chantait courbé dans sa vigne U
6 (1914) Poème sans titre (incipit : « Tu te souviens, Rousseau, du paysage astèque ») « Poème sans titre (incipit : « Tu te souviens, Rousseau, du paysage astèque ») »
ants de ton esprit. Nous sommes réunis pour célébrer ta gloire, Ces vins qu’en ton honneur nous verse Picasso, Buvons-les
7 (1911) Le Larron « Le Larron »
era fade à tes lèvres Mais l’outre en peau de bouc maintient frais le vin blanc Par ironie veux-tu qu’on serve un plat de f
in la vipère mâle ou le taureau * *   * Qui donc es-tu toi qui nous vins grâce au vent scythe Il en est tant venu par la r
aurons des baisers florentins sans le dire Mais au jardin ce soir tu vins sage et voleur * *   * Ceux de ta secte adorent
8 (1911) Dans le palais de Rosemonde « Dans le palais de Rosemonde »
uel archer mal blessé du couchant le troua La résine qui rend amer le vin de Chypre Ma bouche aux agapes d’agneau blanc l’é
9 (1903) Le Larron « Le Larron »
ra fade à tes lèvres, Mais l’outre en peau de bouc maintient frais le vin blanc. Par ironie, veux-tu qu’on serve un plat de
la vipère mâle ou le taureau. * *    * Qui donc es-tu, toi qui nous vins grâce au vent scythe ? Il en est tant venu par la
rons des baisers florentins sans le dire, Mais au jardin, ce soir, tu vins , sage et voleur. * *    * Ceux de ta secte ador
10 (1901) Les Femmes « Les Femmes »
er avec le nouveau maître d’école. » — « Cet hiver est très froid, le vin sera très bon. » — « Le sacristain sourd et boite
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