Ville
et cœur La ville sérieuse avec ses girouettes
Ville et cœur La
ville
sérieuse avec ses girouettes Sur le chaos figé du
divers, du poète Avec les tournoiements stridents des déraisons. O
ville
comme un cœur tu es déraisonnable. Contre ma paum
tu es déraisonnable. Contre ma paume j’ai senti les battements De la
ville
et du cœur : de la ville imprenable Et de mon cœu
tre ma paume j’ai senti les battements De la ville et du cœur : de la
ville
imprenable Et de mon cœur surpris de vie, énormém
)] [paysage marin] les montagnes aux pentes tendres les petites
villes
maritimes l’attirent il sait qu’il y a encore bie
Anvers Anvers on bâtit une tour
Ville
trompée un prince arrive Dix fois de toi fera le
spard ce n’est certainement pas Son vrai nom il voyage il a quitté la
ville
Bleue Lanchi où tant d’enfants l’appellaient papa
es et ces nuages cabrés se prennent à hennir tout comme un univers de
villes
auriculaires écoute s’il pleut tandis que le regr
secret que la fusée élucide Entends nager le Mot, poisson subtil Les
villes
tour à tour deviennent des clefs Le masque bleu c
secret que la fusée élucide Entends nager le Mot, poisson subtil Les
villes
tour à tour deviennent des clefs Le masque bleu c
mais du fin Il fait si beau qu’en leurs bastides Les messieurs de la
ville
s’en sont venus dîner Les olives sont mûres et pa
Et Tchèque vous mentez avec excès En comparant les deux
villes
. » — « Tout beau, répond la dame aux phrases inci
Et Tchèque vous mentez avec excès En comparant les deux
villes
. » — « Tout beau, répond la dame aux phrases inci
nuit devenait une vigne où les pampres Répandaient leur clarté sur la
ville
et là-haut Astres mûrs becquetés par les ivres oi
et ces cris Qu’éveillait dans la nuit la chanson de Paris J’ai soif
villes
de France et d’Europe et du monde Venez toutes co
e où lame à lame L’océan châtre peu à peu l’ancien continent Et les
villes
du Nord répondirent gaiement O Paris nous voici
res s’ouvrir Et des grappes de têtes à d’ivres oiseaux s’offrir Les
villes
du Midi répondirent alors Noble Paris seule rai
es pour la prière Nous menons vers le sel les eaux aventurières Et la
ville
entre nous comme entre des ciseaux Ne reflète en
ois s’élance Troublant dans leur sommeil les filles de Coblence Les
villes
répondaient maintenant par centaines Je ne distin
entaines Je ne distinguais plus leurs paroles lointaines Et Trèves la
ville
ancienne A leur voix mêlait la sienne L’univers t
des prêtres et quelques hommes mis avec élégance Et hors la place la
ville
semblait morte ne tressaillant même pas
nt saigné Ne sont que des têtes de femmes, Le fleuve épinglé sur la
ville
T’y fixe comme un vêtement Partant, à l’amphion,
l ces ténors Qui n’ont jamais connu la vie ce féminin La noce de la
ville
en face à l’autre rive Et les cigares à deux gros
é. Te souviens-tu du long orphelinat des gares ? Nous trouvâmes des
villes
qui tout le jour tournaient Et vomissaient la nui
rues sans nombre Cavalerie des ponts, nuits livides de l’alcool, Les
villes
que j’ai vues vivaient comme des folles Te souv
ait, les yeux ouverts sur l’autre bord… Nous regardions longtemps les
villes
riveraines. Neu Gluck , 1901.
r sans instrument, Puis le soleil revint ensoleiller les places D’une
ville
marine apparue contremont Sur les toits se reposa
nt saigné Ne sont que des têtes de femmes. Le fleuve épinglé sur la
ville
T’y fixe comme un vêtement Partant, à l’amphion,
r sans instrument, Puis le soleil revint ensoleiller les places D’une
ville
marine apparue contremont Sur les toits se reposa
a digue et des landes, Bruges, sur ton canal les bélandres glisser.
Villes
, vos monuments, églises et musées, Renaissent en
nt saigné Ne sont que des têtes de femmes. Le fleuve épinglé sur la
ville
T’y fixe comme un vêtement : Partant, à l’Amphion
sans instrument… Puis, le soleil revint ensoleiller les places D’une
ville
marine apparue contremont ; Sur les toits se repo
Tes joues étaient une pure émeraude Je me souviens de toi
ville
des météores Ils fleurissaient en l’air pendant c
nagent mes deux mains Aux doigts subtils fouillant la
ville
S’en va
it de sentir l’odeur de leurs églises, L’odeur des fleuves dans leurs
villes
, Le parfum des fleurs dans les jardins publics, L
els je n’étais pas. Les géants couverts d’algues passaient dans leurs
villes
Sous-marines où les tours seules étaient des îles
rgonne, ou dans le Labyrinthe ? Moi, je ne suis pas loin de Reims la
ville
sainte, Je vis dans un marais, au fond d’un bois
rgonne, ou dans le Labyrinthe ? Moi, je ne suis pas loin de Reims, la
ville
sainte, Je vis dans un marais, au fond d’un bois
ndu à l’étal Un enfant Et cette banlieue de sable autour d’une pauvre
ville
au fond de l’Est Un douanier se tenait là comme
ndu à l’étal Un enfant Et cette banlieue de sable autour d’une pauvre
ville
au fond de l’Est Un douanier se tenait là comme
s feuilles. Nul avant Survage n’a su mettre dans une seule toile, une
ville
entière avec l’intérieur de ses maisons Et cette
ndu à l’étal Un enfant Et cette banlieue de sable autour d’une petite
ville
Au fond de l’Est Un douanier se tenait là comme u
mees O Lille Saint-Quentin Laon Maubeuge Vouziers Nous jetons nos
villes
comme des grenades Nos fleuves sont brandis com
abres Nos montagnes chargent comme cavalerie Nous reprendrons les
villes
les fleuves et les collines De la frontière helvé
Lettre-Océan [première image] Je traverse la
ville
nez en avant et je la coupe en 2 J’étais au bord
uillaume Apollinaire Qui fut à la guerre et sut être partout Dans les
villes
heureuses de l’arrière Dans ceux qui meurent en p
mal brossées, Des accouchées masquées fêtaient leurs relevailles. La
ville
, cette nuit, semblait un archipel, Des femmes de
Que m’imposent mes sens. L’un est pareil aux montagnes, au ciel, Aux
villes
, à mon amour. Il ressemble aux saisons, Il vit dé
échés sont absous) Nous quittâmes le cimetière. Nous traversâmes la
ville
Et rencontrions souvent Des parents, des amis qui
oliennes En se répondant comme on le fait Dans la montagne. Dans la
ville
, Notre troupe diminua peu à peu. On se disait au
échés sont absous) Nous quittâmes le cimetière. Nous traversâmes la
ville
Et rencontrions souvent Des parents, des amis qui
oliennes En se répondant comme on le fait Dans la montagne. Dans la
ville
, Notre troupe diminua peu à peu. On se disait au
e me fis une place dans ce cercle afin de tout voir Poids formidables
Villes
de Belgique soulevées à bras tendus par un ouvrie
me fis une place dans ce cercle afin de tout voir. Poids formidables,
Villes
de Belgique soulevées à bras tendu par un ouvrier
u sol des sapinières. Enfin, ô soir pâmé, au bout de mes chemins La
ville
m’apparut, très grave, au son des cloches, Et ma
s laide a fait souffrir son amant Elle est la fille d’un sergent de
ville
de Jersey Ses mains que je n’avais pas vues sont
s laide a fait souffrir son amant Elle est la fille d’un sergent de
ville
de Jersey Ses mains que je n’avais pas vues sont
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