aux qui sur le Rhin voguent. Dans les sept arts endoctrinés Par les
vieux
sapins, leurs aînés Qui sont de grands poètes, Il
Et balancent leurs ailes. L’été, ce sont de grands-rabbins Ou bien de
vieilles
demoiselles. Sapins, médecins divagants, Ils vo
ents. Quand la montagne accouche. De temps en temps sous l’ouragan Un
vieux
sapin geint et se couche. Neu Gluck , 1901.
La Fuite C’est la barque ou s’enfuit une amoureuse reine Le
vieux
roi magnifique est venu près des flots ; Son mant
est sombre et violet d’effroi. Tant de gemmes tombaient du manteau du
vieux
roi. Guillaume Apollinaire.
n Gertrude Hans et Henri Nul coq n’a chanté aujourd’hui Kikiriki. Les
vieilles
femmes Tout en pleurant cheminent Et les bons âne
C’est le jour des morts et de toutes leurs âmes. Les enfants et les
vieilles
femme Allument des bougies et des cierges Sur cha
es bougies et des cierges Sur chaque tombe catholique. Les voiles des
vieilles
, Les nuages du ciel Sont comme les barbes de biqu
us avons tant pleuré aujourd’hui Avec ces morts, leurs enfants et les
vieilles
femmes Sous le ciel sans soleil Au cimetière plei
Poème (incipit : « Deux lacs nègres ») III Une petite
vieille
au nez pointu J’admire la bouillotte d’émail bleu
Poème (incipit : « Deux lignes nègres ») III Une petite
vieille
au nez pointu J’admire une bouillotte d’émail ble
la dernière fois ? » « C’était, répond la
vieille
, Lorsque j’avais vingt
De ce péché sexagénaire ? » « J’ai l’âme jeune en un
vieux
corps, J’aime me rappeler ce beau péché, mon père
aule Agent de liaison, un saule Me sert d’abri. Mais l’encrier Est un
vieux
bidon à pétrole.
Crépuscule Ruines au bord du
vieux
Rhin On s’embrasse bien dans votre ombre. Les mar
do Et nous sommes tranquilles de ce côté-là Qu’est-ce que tu vois mon
vieux
M. D… 90 ou 324 un homme en l’air un veau qui reg
saussaies Ouvre ouvre ouvre ouvre ouvre Regarde mais regarde donc Le
vieux
se lave les pieds dans la cuvette Una volta ho in
do Et nous sommes tranquilles de ce côté là Qu’est-ce que tu veux mon
vieux
M. D. 90 ou 324 un homme en l’air un veau qui reg
saussaies Ouvre ouvre ouvre ouvre ouvre Regarde mais regarde donc Le
vieux
se lave les pieds dans la cuvette Una volta ho in
e dirions pas le cinéma Nous dirions le ciné Mais si nous étions de
vieux
professeurs de province Nous ne dirions ni ciné n
J’aurais voulu travailler ce matin mais je n’ai fait que fouiller de
vieux
brouillons à moi. Les machins où l’on adapte du p
é. Il y a aussi une boîte d’allumettes suédoises à l’envers, elle est
vieux
rose avec un cercle rouge où il y [a] un A un M e
iers Le ciel est beau il fait tiède et je vais bien Mais je suis si
vieux
que je me demande Si verrai le temps des lucioles
de ta fuite ou floraison d’effroi Lorsque cet enfant d’or souriait au
vieux
roi Guillaume APOLLINAIRE.
que toutes les mouches sont mortes de froid Car c’est l’hiver oui mon
vieux
ça va bien ça va même très bien Ces pâtres sachan
Il me semble que c’était avant la guerre Le
vieux
monde pleure encore Il était si dou
Merlin et la
vieille
femme Le soleil ce jour-là, s’étalait comme un
t l’éternelle cause Qui fait mourir et puis renaître l’univers. Une
vieille
, sur une mule à chape verte, S’en vînt, suivant l
e en fleur « Cet avril aurait eu la pauvre confidence « D’un corps de
vieille
morte en mimant la douleur. » …………………………………………………
u pendant les règles ! » ou « Que le diable entre dans ton père. » Le
vieux
Rhin soulève sa face ruisselante et se détourne p
le dire. Et cette lyre accorde et mon cœur et ses yeux ; Lyre, trop
vieille
image, mot délicieux. Le paysage fuit et sans qu’
rive Et les cigares à deux gros et blonds wie du La mienne aussi mon
vieux
était blonde aux yeux doux Mais pas d’ici Seigneu
* * Le bruit des tracteurs qui grimpent dans la vallée * * * O
vieux
monde du XIX e siècle plein de hautes cheminées
erté Bigorneaux bottes multiples soleils et l’oursin du couchant, Une
vieille
paire de chaussures jaunes devant la fenêtre Tour
berté Bigorneaux Lottes Multiples Soleils et l’Oursin du Couchant Une
vieille
paire de chaussures jaunes devant la fenêtre Tour
n habit espagnol Pour aller sur la route par laquelle Arrive dans son
vieux
carrosse Ma grand’mère qui se refuse à comprendre
ou râle, Déplorée par les saules pâles. Roule de vulgaires pensées,
Vieilles
et saines et sensées, Le gars ! ô l’homme aux pie
les sourds gémissements Les saltimbanques ne bougeaient pas Le plus
vieux
avait un maillot de ce rose violâtre qu’ont aux j
pis la somme de deux francs cinquante Au lieu des trois francs que le
vieux
avait fixé comme prix des tours Mais quand il fut
e caisse Un journal du jour traîne par terre Et cependant tout paraît
vieux
dans cette neuve demeure Si bien qu’on comprend q
euves Elles n’ont pas deux semaines Sont si
vieilles
dans ce palais qui semble antique sans imiter l’a
science de la terre et puis mourut Et depuis j’ai scruté longtemps la
vieille
crainte Du ciel mobile et me suis nourri d’herbes
s sourds gémissements. Les saltimbanques ne bougeaient pas. Le plus
vieux
avait un maillot couleur de ce rose violâtre qu’o
pis la somme de deux francs cinquante Au lieu des trois francs que le
vieux
avait fixés comme le prix des tours. Mais, quand
mmes dans vos lits Aux déserts que l’histoire accable. Luitpold, le
vieux
prince régent, Tuteur de deux royautés folles, Sa
» — « Le sacristain sourd et boiteux est moribond. » — « La fille du
vieux
bourgmestre brode une étole Pour la fête du curé.
veau monde très matinal montant de l’énorme mer L’aventure de ce
vieux
cheval en Amérique Au soir de la pêche merve
… Lorsqu’il fut de retour enfin Dans sa patrie, le sage Ulysse, Son
vieux
chien de lui se souvint ; Près d’un tapis de haut
ant pas à pas sur la montagne claire. Qui donc reconnais-tu sur ces
vieilles
photographies ? Te souviens-tu du jour où une abe
t pour M. Zun arrêtez cocher Vive le Roy Evviva il Papa ta gueule mon
vieux
pad non si vous avez une moustache La Tunisie tu
ements Du cœur. Le sang, toujours, roulait en ses artères Qui sont de
vieux
coraux ou qui sont des clavaires, Et je sentais l
he, je fuis. O jour, l’émoi de l’aube Ferma le regard fixe et doux de
vieux
rubis Des hiboux et voici le regard des brebis Et
les femmes ayant des colliers où pendait La pierre prise au foie d’un
vieux
coq de Tanagre Parlaient entre eux le langage de
n’avait-il la voix et les jupes d’Orphée La pierre prise au foie d’un
vieux
coq de Tanagre Au lieu du roseau triste et du fun
les femmes ayant des colliers où pendait La pierre prise au foie d’un
vieux
coq de Tanagre Parlaient entre eux le langage de
’avait-il la voix et les jupes d’Orphée, La pierre prise au foie d’un
vieux
coq de Tanagre Au lieu du roseau triste et du fun
age Auquel le grammairien d’aucune langue n’aura rien à dire Et ces
vieilles
langues sont tellement près de mourir Que c’est v
combien d’empans J’ai droit que la terre me donne, O mon ombre, ô mon
vieux
serpent ! Au soleil, parce que tu l’aimes, Je t
erie Sinon moi-même et un prêtre de saint-Merry Nous entrâmes dans la
vieille
maison Mais nous n’y trouvâmes personne Voici l
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