la mort en face plus de cent fois tu ne sais pas ce que c’est que la
vie
[à gauche] Transmets ton intrépidité A ceux qui v
des cygnes Qui étaient immortels et n’étaient pas chanteurs. Voici ma
vie
renouvelée, De grands vaisseaux passent et repass
mpe une fois encore mes mains dans l’Océan. Voici le paquebot et ma
vie
renouvelée Ses flammes sont immenses. Il n’y a pl
enoncé A n’être qu’une amante aime la chaste Gloire ; Le surnom de sa
Vie
sera le Désespoir Et le rire de tous l’écho de sa
e sera le Désespoir Et le rire de tous l’écho de sa Pensée. O douce
Vie
, ô doux Amour que je rebute Tendresse du Printemp
a ville et du cœur : de la ville imprenable Et de mon cœur surpris de
vie
, énormément. Wilhelm Kostrowitzky.
souvenir c’est vous aussi qu’il pleur merveilleuses rencontres de ma
vie
ô gouttelettes et ces nuages cabrés se prennent à
nul ne vit Comment mes baisers retrouvèrent Celle à qui j’ai donné ma
vie
Un jour pendant plus de deux heures. Je la surn
es)] [lunettes] il a contemplé les foules et il en a exprimé la
vie
par le moyen de quelques ombres humaines il n’att
La Tzigane La tzigane savait d’avance Nos deux
vies
barrées par les nuits. Nous lui dîmes adieu et pu
La Tsigane La Tsigane savait d’avance Nos deux
vies
barrées par les nuits. Nous lui dîmes adieu, et p
r et le malheur marchent de compagnie/ Ecoutez-moi bien il y va de la
vie
et tant de nouvelles Ecoutez-moi tous
ir] comme l’on s’amuse bien [bord droit de la montre] la beauté de la
vie
passe la douleur de mourir [heures] Mon cœur les
l et qui viennent de je ne sais où Oui je crois qu’ils viennent de la
vie
d’une sorte de vie qui est dans l’avenir dans l’a
e je ne sais où Oui je crois qu’ils viennent de la vie d’une sorte de
vie
qui est dans l’avenir dans l’avenir brut qu’on n’
cette fleur-là, Violâtres comme leur cerne et comme cet automne Et ma
vie
pour tes yeux lentement s’empoisonne. Les enfan
es cygnes Qui étaient immortels et n’étaient pas chanteurs Voici ma
vie
renouvelée De grands vaisseaux passent et repasse
empe une fois encore mes mains dans l’Océan Voici le paquebot et ma
vie
renouvelée Ses flammes sont immenses. Il n’y a pl
egagne la sphingerie A petits pas. Il orra le chant du pâtre toute la
vie
, Là haut, le théâtre est bâti avec le feu solide
ette fleur-là, Violâtres comme leur cerne et comme cet automne, Et ma
vie
pour tes yeux lentement s’empoisonne. Les enfants
cygnes Qui étaient immortels et n’étaient pas chanteurs ! Voici ma
vie
renouvelée, De grands vaisseaux passent et repass
empe une fois encore mes mains dans l’Océan, Voici le paquebot et ma
vie
renouvelée, Ses flammes sont immenses. Il n’y a p
ne la sphingerie A petits pas. Il écoulera le chant du pâtre toute la
vie
, Là haut, le théâtre est bâti avec le feu solide
es gibets les mandragores Sans songer aux blessés, sans regretter les
vies
. Il y aura du sang et sur les rouges mares Penc
ndre et la fraîcheur des ondes, Le bonheur des enfants et l’éternelle
vie
. Mais nous ne dirons plus ni le mythe des veuve
terrible amour des peuples Les vagues de la mer où naît la
vie
et la beauté Il y a là le chant de tout l’amour d
après mon départ, Tu transmettes mon nom aux hommes en retard Toi, la
vie
et l’amour, ma gloire et mon emblème ; Et je su
après mon départ Tu transmettes mon nom aux hommes en retard, Toi, la
vie
et l’amour, ma gloire et mon emblème ; Et je sui
ose Des vents, mais sans épine n’a fleuri l’hiver. Merlin guettait la
vie
et l’éternelle cause Qui fait mourir et puis rena
, Criant : « Depuis cent ans j’espérais ton appel. « Les astres de ta
vie
influaient sur ma danse ; « Morgane regardait du
fants-dieux qui vont mourir. « Et j’ai vieilli, vois-tu, pendant ta
vie
, je danse, « Mais, j’eusse été tôt lasse et l’aub
L’amour s’en va comme cette eau courante, L’amour s’en va ; comme la
vie
est lente Et comme l’Espérance est violente !
eur des roses de ses jardins J’ai parfumé mon âme A la rose Pour ma
vie
entière Ispahan grise et aux faïences bleues Co
ts Des châtrés enrhumés en métal ces ténors Qui n’ont jamais connu la
vie
ce féminin La noce de la ville en face à l’autr
s Que les dieux de mes yeux remplissent en silence Nous nous aimons ô
Vie
et nous nous agaçons * * * Les obus miaulaien
Le Voyageur Ouvrez-moi cette porte où je frappe en pleurant ! La
vie
est variable aussi bien que l’Euripe. Tu regard
s en tresse. Ouvrez-moi cette porte où je frappe en pleurant ! La
vie
est variable aussi bien que l’Euripe.
egagne la sphingerie A petits pas. Il orra le chant du pâtre toute la
vie
. Là-haut, le théâtre est bâti avec le feu solide
emand J’aurais écrit des vers pleins de mythologie Sur vos seins la
vie
champêtre et sur les dames Des alentours J’aura
s tous ; Ni même : on a pendu ceux qui ne savaient pas profiter de la
vie
; Ni même : on renouvelle le monde en reprenant l
ux fenêtres des citoyens qui sont contents depuis cent ans d’avoir la
vie
et de menues choses à défendre, Ni : parce que fo
e pour toi Ces chemins de fer qui circulent Sortiront bientôt de la
vie
Ils seront beaux et ridicules Deux lampes brûle
voix fidèle comme l’ombre Veut être enfin l’ombre de la
vie
Veut être ô mer vivante infidèle comme toi La m
l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») L’amour a remué ma
vie
comme on remue la terre dans la zône des armées J
lus de finesse que les choses qu’ils emploient Elle est au delà de la
vie
confortable Et de ce qui est l’extérieur dans l’a
nfer ton rire pétille Les étincelles de ton rire dorent le fond de ta
vie
C’est un tableau pendu dans un sombre musée Et qu
l’horloge du quartier juif vont à rebours Et tu recules aussi dans ta
vie
lentement En montant au Hradchin et le soir en éc
e la fausse ou Léa l’attentive Et tu bois cet alcool brûlant comme ta
vie
Ta vie que tu bois comme une eau-de-vie Tu marc
usse ou Léa l’attentive Et tu bois cet alcool brûlant comme ta vie Ta
vie
que tu bois comme une eau-de-vie Tu marches ver
nfer ton rire pétille Les étincelles de ton rire dorent le fond de ta
vie
C’est un tableau pendu dans un sombre musée Et qu
l’horloge du quartier juif vont à rebours Et tu recules aussi dans ta
vie
lentement En montant au Hradchin et le soir en éc
e la fausse ou Léa l’attentive Et tu bois cet alcool brûlant comme ta
vie
Ta vie que tu bois comme une eau-de-vie Tu marc
usse ou Léa l’attentive Et tu bois cet alcool brûlant comme ta vie Ta
vie
que tu bois comme une eau-de-vie Tu marches ver
t vous, conseillers de régence, Vous aussi, tsiganes sans papiers, La
vie
vous pourrit dans la panse, La croix nous pousse
cturaux de Léopold Survage. Les efforts qu’il a faits pour donner une
vie
à la nuance pure l’ont mis à même d’aborder la pe
de leur ombre et l’observaient Comme si véritablement C’eût été leur
vie
passée. Alors, je les dénombrai. Ils étaient qu
faut. Votre volonté sera la mienne. — — Je vous attendrai Toute votre
vie
… Répondait la morte. Des enfants De ce monde ou b
e la mémoire A se confondre avec le souvenir. On est fortifié pour la
vie
Et l’on n’a plus besoin de personne. GUILLAUME
de leur ombre et l’observaient Comme si véritablement C’eût été leur
vie
passée. Alors, je les dénombrai. Ils étaient qu
e faut. Votre volonté sera la mienne. ‒ Je vous attendrai Toute votre
vie
… Répondait la morte. Des enfants De ce monde ou b
e la mémoire A se confondre avec le souvenir. On est fortifié pour la
vie
Et l’on n’a plus besoin de personne.
usse Me voici devant tous un homme plein de sens Connaissant de la
vie
et de la mort ce qu’un vivant peut connaître Ayan
en rond tous les sapins. « Lotte, l’amour rend triste. » — « Ilse, la
vie
est douce. » La nuit tombait. Les vignobles aux
chauffer un cœur plus glacé Que les quarante de Sébaste Moins que ma
vie
, martyrisés… Mon beau navire, ô ma mémoire, Avo
atif comme les lettres d’un livre Pourtant c’est aussi beau que si la
vie
même sortait des mourants Mais ce serait plus bea
leuve figé Doigts roulants une cigarette amère et délicieuse comme ta
vie
De nombreux tapis usés couvraient le sol Tapis qu
mystère courtois de la galanterie Ce mystère fatal fatal d’une autre
vie
Double raison qui est au delà de la beauté Et que
x d’Afrique O raisins et ces yeux ternes et en famille L’avenir et la
vie
dans ces treilles s’ennuyent Mais où est le reg
uve figé, Doigts roulant une cigarette amère et délicieuse comme la
vie
. De nombreux tapis noirs couvraient le sol, Tapis
regretter ce qu’elles ont laissé abandonné Sans regretter le jour la
vie
et la mémoire Il ne resta bientôt plus personne d
, tu vins, sage et voleur. * * * Ceux de ta secte adorent-ils la
vie
obscène : Belphégor, le soleil, le silence ou le