pit : « Le vent souffle dans l’île. Il a plu, l’herbe humide ») Le
vent
souffle dans l’île. Il a plu, l’herbe humide Fill
tan Et, du fleuve prochain à grand’voix triomphales Les elfes rire au
vent
ou corner aux rafales Attys, Attys, Attys charman
qu’en la nuit les elfes ont raillé Parce qu’un de tes pins s’abat au
vent
gothique. La forêt fuit au loin comme une armée a
, Et, du fleuve prochain, à grand’voix triomphales, Les elfes rire au
vent
ou corner aux rafales. Attys, Attys, Attys, charm
qu’en la nuit les elfes ont raillé Parce qu’un de tes pins s’abat au
vent
gothique. La forêt fuit au loin comme une armée
j’ai déposé dans les sapinières Des kilomètres pendant que râlait Le
vent
d’ouest J’avais quitté les jolis bois Les écure
osé dans les sapinières Le poids des kilomètres pendant que râlait Le
vent
d’ouest J’avais quitté le joli bois Les écureui
Le ciel et les oiseaux venaient se reposer Sur deux cyprès que le
vent
tiède enlaçait presque Comme un couple d’amants à
res, son toit pointu Sur lequel criait, par instants, la girouette Au
vent
qui demandait si doucement : « Qu’as-tu ? » Et su
» Et sur la porte était clouée une chouette. Nous parlions dans le
vent
auprès d’un petit mur Ou lisions l’inscription d’
jolie Avec ses chants ses longs loisirs Cette bague je l’ai polie Le
vent
se mêle à vos soupirs Adieu ! voici le boute-se
’il neige ou pleuve Dans l’eau d’acier ton ombre te précèdera Les
vents
chantent Jouhé les cors cornent Trara Tête en b
e regrette chacun des baisers que je donne, Tel un noyer gaulé dit au
vent
ses douleurs. Mon Automne éternel, ô ma Saison
e regrette chacun des baisers que je donne, Tel un noyer gaulé dit au
vent
ses douleurs. Mon Automne éternelle, ô ma saiso
s, je filais en rêvant, Suivant longtemps des yeux les flocons que le
vent
Prenait à ma quenouille, ou bien par les allées J
un oiseau dans une cage une écuyère dans un cirque ouvert à tous les
vents
, une amazone, un concombre des grappes de raisin,
signal Néanmoins tu feras bien de tenir la porte ouverte Et puis le
vent
scieur de long Suscitera en toi la terreur des fa
stre brode une étole Pour la fête du curé. » La forêt là-bas Grâce au
vent
chantait à voix grave de grand orgue. Le songe, H
ncore un peu de café, Lenchen, s’il te plaît ? » — « On dirait que le
vent
dit des phrases latines » — « Encore un peu de
Leni, je tousse. » — « Pierre mène son furet chasser les lapins » Le
vent
faisait danser en rond tous les sapins. « Lotte,
mes mains des rayons décevants Et prit son miel lunaire à la rose des
vents
. O rose à peine rose en des livres savants.
e un flux menstruel. Au carrefour où nulle fleur si non la rose Des
vents
, mais sans épine n’a fleuri l’hiver. Merlin guett
de fleurs, De monuments tremblants, et de charognes vertes, Quand les
vents
apportaient des joies et des malheurs. Laissant
issant sa mule, à petits pas, s’en vint l’amante ; A petits coups, le
vent
défripait ses atours. Puis les pâles amants joign
x danser quand pour vous se déclare « Un mirage, incertain et que les
vents
d’horreur « Feignent d’être le rire de la lune hi
sont couleur de tes paupières Qui battent comme les fleurs battent au
vent
dément. Le gardien du troupeau chantonne en allem
et sont comme tes paupières Qui battent, comme les fleurs battent au
vent
dément. Le gardien du troupeau chantonne en allem
ous pourrit dans la panse, La croix nous pousse entre les pieds. Le
vent
du Rhin ulule avec tous les hiboux, Il éteint les
Sous le ciel sans soleil Au cimetière plein de flammes, Puis, dans le
vent
, nous nous en retournâmes… A nos pieds roulaien
peine un peu d’incertitude Mais un dragon à pied sans armes Parmi le
vent
quand survient la torpille aérienne [à gauch
peine un peu d’incertitude Mais un dragon à pied sans armes Parmi le
vent
quand survient la torpille aérienne [à gauch
li mai a paré les ruines De lierre, de vigne vierge et de rosiers. Le
vent
du Rhin secoue, sur le bord, les osiers Et les ro
ureuses. Les sapins, beaux musiciens, Chantent des noëls anciens Au
vent
des soirs d’automne Ou bien graves magiciens Inca
belle des quenouilles ; C’est un cyprès sur un tombeau Où les quatre
vents
s’agenouillent, Et chaque nuit c’est un flambeau.
longtemps sur les routes Tant d’yeux sont clos au bord des routes Le
vent
fait pleurer les saussaies Ouvre ouvre ouvre ouvr
longtemps sur les routes Tant d’yeux sont clos au bord des routes Le
vent
fait pleurer les saussaies Ouvre ouvre ouvre ouvr
e tristesse C’est quand tu reçus une carte postale de La Corogne Le
vent
vient du couchant Le métal des caroubiers Tout es
e tristesse C’est quand tu reçus une carte postale de La Corogne Le
vent
vient du couchant Le métal des caroubiers Tout es
e tristesse C’est quand tu reçue une carte postale de la Corogne Le
vent
vient du couchant Le métal des caronhers Tout est
arque aux barcarols chantants, Sur un lac blanc et sous l’haleine Des
vents
qui tremblent au printemps Voguait, cygne mourant
ve. Puis j’irai au couvent des vierges et des veuves. — Là-haut, le
vent
tordait ses cheveux déroulés. Les chevaliers cria
’humide voix des acrobates des maisons Grimace parmi les assauts du
vent
qui s’assoupit Ouis les vagues et le fracas d’u
âle ou le taureau * * * Qui donc es-tu toi qui nous vins grâce au
vent
scythe Il en est tant venu par la route ou la mer
morales Va-t’en mais dénudé puisque tout est à nous Ouïs du chœur des
vents
les cadences plagales Et prends l’arc pour tuer l
ou le taureau. * * * Qui donc es-tu, toi qui nous vins grâce au
vent
scythe ? Il en est tant venu par la route ou la m
ales. Va-t’en mais dénudé, puisque tout est à nous. Ouïs du chœur des
vents
les cadences plagales Et prends l’arc pour tuer l
nes mi-mortes ! A l’horizon brumeux s’enfonçaient les trois-mâts. Les
vents
ont expiré couronnés d’anémones, O Vierge, signe
s nous cultivons C’est la torche aux cheveux roux que n’éteint pas le
vent
C’est le fils pâle et vermeil de la douloureuse m
s nous cultivons C’est la torche aux cheveux roux que n’éteint pas le
vent
C’est le fils pâle et vermeil de la douloureuse m