nier chapitre Tout le peuple se précipita sur la place publique Il
vint
des hommes blancs des nègres des jaunes et quelqu
Il vint des hommes blancs des nègres des jaunes et quelques rouges Il
vint
des ouvriers des usines dont les hautes cheminées
nes dont les hautes cheminées ne fumaient plus à cause de la grève Il
vint
des maçons aux vêtements maculés de plâtre Il vin
use de la grève Il vint des maçons aux vêtements maculés de plâtre Il
vint
des garçons bouchers aux bras teints de sang Des
qui les soupoudrait Et des commis de commerçants de toutes sortes Il
vint
des femmes terribles et portant des enfants ou en
t portant des enfants ou en ayant d’autres accrochés à leurs jupes Il
vint
des femmes pauvres mais effrontées plâtrées maqui
es pauvres mais effrontées plâtrées maquillées aux gestes étranges Il
vint
des estropiés des aveugles des culs de jatte des
estropiés des aveugles des culs de jatte des manchots des boiteux Il
vint
même des prêtres et quelques hommes mis avec élég
colin-maillard A soixante-dix ans Joues fraîches de petits enfants
Venez
venez Éléonore Et que sais-je encore Regardez v
-maillard A soixante-dix ans Joues fraîches de petits enfants Venez
venez
Éléonore Et que sais-je encore Regardez venir l
petits enfants Venez venez Éléonore Et que sais-je encore Regardez
venir
les cyclopes Les pipes s’envolaient Mais envolez-
Allons plus vite Et le soir
vient
et les lys meurent Regarde m
us vite Tous les poteaux télégraphiques
Viennent
là-bas le long du quai Sur son sein
de votre âme Des violes d’amour vibrer le dernier son Et l’heure va
venir
ô belles délicates Ne sera-ce pas l’heure enfin d
r Tour et par la mort effarouchées Attendent cependant l’amour qui va
venir
.
Royère Nous sommes bien mais l’auto-bazar qu’on dit merveilleux ne
vient
pas jusqu’ici LUL on les aura faire suivre
Royère Nous sommes bien mais l’auto-bazar qu’on dit merveilleux ne
vient
pas jusqu’ici LUL on les aura faire suivre
ns le jardin Où dort la Mélancolie Entre l’Amour et le Dédain. Il y
vient
aussi nos ombres Que la nuit dissipera, Le soleil
emblant d’avoir le hoquet. Hannes pousse une fausse note Quand Schulz
vient
portant un baquet. Hannes crie en versant des l
Hannes crie en versant des larmes : « Baquet plein de vin parfumé !
Viennent
aujourd’hui les gendarmes, Nous aurons bu le vin
i, très douce, le mène et, tranquille, se tait. Et l’amour qui s’en
vint
aux bords océaniques, Où le ciel serait grec si t
lus là Mon cœur me fit si mal du jour où il s’en alla. L’évêque fit
venir
trois chevaliers avec leurs lances : — Menez jusq
s criaient : « Loreley ! Loreley ! » — Tout là-bas sur le Rhin s’en
vient
une nacelle. Et mon amant s’y tient, il m’a vue,
’a vue, il m’appelle. Mon cœur devient si doux. C’est mon amant qui
vient
. — Elle se penche alors et tombe dans le Rhin.
Où sous les roses qui feuillolent De beaux dieux roses dansent nus.
Viens
, ma tendresse est la régente De la floraison qui
Marie-Sibylle Dans la haute rue, à Cologne, Elle allait et
venait
le soir, Offerte à tous, en tout mignonne Puis bu
ires Et rêvant j’attendais le bac rectangulaire Des gens descendant
venaient
aussi pour passer le fleuve Trois dames au parler
s renaître l’univers. Une vieille, sur une mule à chape verte, S’en
vînt
, suivant la berge du fleuve, en aval, Et l’antiqu
cable, « Dont ce soleil de chair grelotte, veux-tu voir, « Ma mémoire
venir
et m’aimer, ma semblable, « Et quel fils malheure
ent des joies et des malheurs. Laissant sa mule, à petits pas, s’en
vint
l’amante ; A petits coups, le vent défripait ses
en regardant le ciel. « La dame qui m’attend se nomme Viviane « Et
vienne
le printemps des nouvelles douleurs. « Couché par
fait si beau qu’en leurs bastides Les messieurs de la ville s’en sont
venus
dîner Les olives sont mûres et partout l’on enten
tête. Et moi aussi de près, je suis sombre et terne, Une brume qui
vient
d’obscurcir les lanternes, Une main qui tout à co
je m’attendais moi-même, Je me disais, Guillaume, il est temps que tu
viennes
Pour que je sache enfin celui-là que je suis, Moi
je m’attendais moi-même. Je me disais, Guillaume, il est temps que tu
viennes
, Et d’un lyrique pas s’avançaient ceux que j’aime
ulait, sang de mes veines et fait battre mon cœur. Puis, sur terre il
venait
mille peuplades blanches Dont chaque homme tenait
Dans le Palais de Rosemonde On voit
venir
, au fond du jardin, mes pensées Qui sourient du c
vaient le fade goût des grands mammouths gelés, Les os ou songe-creux
venaient
des ossuaires En danse macabre aux plis de mon ce
Paraclet descend O double colombe de ta poitrine Et
vient
délier ma langue de poète Pour t
ys Se changent en palmiers qui de leurs belles mains Me font signe de
venir
La fusée s’épanouit fleur nocturne
ma vie pour tes yeux lentement s’empoisonne. Les enfants de l’école
viennent
avec fracas, Vêtus de hoquetons, jouant de l’harm
la barque ou s’enfuit une amoureuse reine Le vieux roi magnifique est
venu
près des flots ; Son manteau merveilleux à chaque
t ma vie pour tes yeux lentement s’empoisonne. Les enfants de l’école
viennent
avec fracas, Vêtus de hoquetons, jouant de l’harm
que c’est que la vie [à gauche] Transmets ton intrépidité A ceux qui
viendront
Après toi
il entra suivi par la troupe des femmes Qui sortaient des maisons Qui
venaient
par les rues traversières les yeux fous Les mains
Cortèges ô cortèges C’est quand jadis le roi revenait de Vincennes Il
vint
une troupe de casquettiers Il vint des marchands
is le roi revenait de Vincennes Il vint une troupe de casquettiers Il
vint
des marchands de bananes Il vint des soldats de l
l vint une troupe de casquettiers Il vint des marchands de bananes Il
vint
des soldats de la garde républicaine O nuit troup
etière est un beau jardin Plein de saules gris et de romarins Il vous
vient
souvent des amis qu’on enterre Ah ! que vous êtes
les cierges que toujours les enfants rallument Et les feuilles mortes
Viennent
couvrir les morts. Des enfants morts parlent pa
oi nu s’élève Des chairs fouettées des roses de la roseraie On voit
venir
au fond du jardin mes pensées Qui sourient du con
Avaient le fade goût des grands mammouths gelés Les os ou songe-creux
venaient
des ossuaires En danse macabre aux plis de mon ce
chand de coco d’autrefois J’entends déjà le son aigre de cette voix à
venir
Du camarade qui se promènera avec toi en Europe t
stesse C’est quand tu reçus une carte postale de La Corogne Le vent
vient
du couchant Le métal des caroubiers Tout est plus
archand de coco autrefois J’entends déjà le son aigre de cette voix à
venir
Du camarade qui se promènera avec toi en Europe t
stesse C’est quand tu reçus une carte postale de La Corogne Le vent
vient
du couchant Le métal des caroubiers Tout est plus
archant de coco Autrefois J’entends déjà le son aigre de cette voix à
venir
Du camarade qui se promène avec toi en Europe tou
stesse C’est quand tu reçue une carte postale de la Corogne Le vent
vient
du couchant Le métal des caronhers Tout est plus
Ni trop sublime ni trop infime [à gauche, horizontalement] Voici
venir
les bannières Démocratiques ô Cortèges ô fanfares
Et la musique est si lointaine Qu’elle semble
venir
des cieux Oui je veux vous aimer mais vous aimer
utes choses L’Italie est
venue
avec nous
et de l’avenir Pitié pour nos erreurs pitié pour nos péchés Voici que
vient
l’été la saison violente Et ma jeunesse est morte
forme noble et douce Qu’elle prend afin que je l’aime seulement Elle
vient
et m’attire ainsi qu’un fer l’aimant
La Confession Le dernier jeudi saint, Madame Marinée, Qui
vient
d’entrer dans sa quatre-vingtième année, Allait s
coule la Seine. Et nos amours, faut-il qu’il m’en souvienne ? La joie
venait
toujours après la peine. Vienne
Et la musique est si lointaine Qu’elle semble
venir
des cieux. Oui, je veux vous aimer, mais vous aim
licité Qu’il faut mettre en toutes choses L’Italie est
venue
avec nous Agitant aupr
oldats, ô roi Hérode L’emmenèrent, se sont flétris dans mon jardin.
Venez
tous avec moi, là-bas, sous les quinconces. Ne pl
ldats, ô roi Hérode, L’emmenèrent, se sont flétris dans mon jardin.
Venez
tous avec moi, là-bas, sous les quinconces. Ne pl
ptième s’exténue, Une femme, une rose morte : « Merci, que le dernier
venu
« Sur mon amour ferme la porte. « Je ne vous ai j
Élégie Le ciel et les oiseaux
venaient
se reposer Sur deux cyprès que le vent tiède enla
ldats, ô roi Hérode, L’emmenèrent, se sont flétris dans mon jardin.
Venez
tous avec moi, là-bas, sous les quinconces. Ne pl
ettes Et le son clair du cristal et des verres Par la fenêtre ouverte
viennent
les chants des oiseaux Dans les citr
palus méotides Et des sources du Nil aux brumes de Thulé Soleil je
viens
caresser ta face splendide Et veux fixer ta flamm
e partie de jacquet Un chef d’orchestre qui a mal à la gorge Quand tu
viendras
à Tunis je te ferai fumer du Kief Ça a l’air de
ailes Le ciel s’emplit alors de millions d’hirondelles A tire d’aile
viennent
les corbeaux les faucons les hiboux D’Afrique arr
tête L’aigle fond de l’horizon en poussant un grand cri Et d’Amérique
vient
le petit colibri De Chine sont venus les pi-his l
ssant un grand cri Et d’Amérique vient le petit colibri De Chine sont
venus
les pi-his longs et souples Qui n’ont qu’une seul
uples Qui n’ont qu’une seule aile et qui volent par couples Puis s’en
vient
la colombe esprit immaculé Qu’escortent l’oiseau-
ailes Le ciel s’emplit alors de millions d’hirondelles A tire d’aile
viennent
les corbeaux les faucons les hiboux D’Afrique arr
tête L’aigle fond de l’horizon en poussant un grand cri Et d’Amérique
vient
le petit colibri De Chine sont venus les pi-his l
ssant un grand cri Et d’Amérique vient le petit colibri De Chine sont
venus
les pi-his longs et souples Qui n’ont qu’une seul
uples Qui n’ont qu’une seule aile et qui volent par couples Puis s’en
vient
la colombe esprit immaculé Qu’escortent l’oisea
éfendre les efforts qu’on fait pour la détruire Puis les temps sont
venus
les tombes se sont ouvertes Les fantômes des Esc
s de tout même de nos souffrances Notre humeur est charmante l’ardeur
vient
quand il faut Nous sommes narquois car nous savon
soir de demi-brume, à Londres, Un voyou, qui ressemblait à Mon amour,
vint
à ma rencontre, Et le regard qu’il me jeta Me fit
mence à être partout C’est moi qui commence cette chose des siècles à
venir
Ce sera plus long à réaliser que non la fable d’I
he l’oiseau bleu. Une Madone, à l’aube, a pris les églantines ; Elle
viendra
, demain, cueillir les giroflées Pour mettre aux n
ement. Et je souris des êtres que je n’ai pas créés. Mais si le temps
venait
, où l’ombre enfin solide Se multipliait en réalis
e vol des fruits doux des fruits mûrs Mais ce n’est pas l’exil que je
viens
simuler Et sachez que j’attends de moyennes tortu
Qui donc es-tu toi qui nous vins grâce au vent scythe Il en est tant
venu
par la route ou la mer Conquérants égarés qui s’é
nces du velours Ou mauves encore ou bleu comme les autres Ou déteints
Venez
le pot en tête Debout fusée éclairante Danse gren
vol des fruits doux, des fruits mûrs, Mais ce n’est pas l’exil que je
viens
simuler Et sachez que j’attends de moyennes tortu
i donc es-tu, toi qui nous vins grâce au vent scythe ? Il en est tant
venu
par la route ou la mer, Des conquérants fictifs r
qu’on comprend que l’amour de l’antique Le goût de l’anticaille Soit
venu
aux hommes dès le temps des cavernes Tout y était
chanson de Paris J’ai soif villes de France et d’Europe et du monde
Venez
toutes couler dans ma gorge profonde Je vis alo
Ayant soif comme toi dans la vigne éternelle Sortiront de la terre et
viendront
dans les airs Pour boire de mon vin par deux fois
illeure odeur encore, Hélas ! la bague était brisée, Que le lilas qui
vient
d’éclore, Que le thym, la rose ou qu’un brin De l
illeure odeur encore, Hélas ! la bague était brisée, Que le lilas qui
vient
d’éclore, Que le thym, la rose ou qu’un brin De l
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