ot A la guerre C’était un temps béni. Jours
vagues
et nuits vagues Les marmites donnaient aux rondin
A la guerre C’était un temps béni. Jours vagues et nuits
vagues
Les marmites donnaient aux rondins des cagnats Qu
ot A la guerre C’était un temps béni. Jours
vagues
et nuits vagues Les marmites donnaient aux rondin
A la guerre C’était un temps béni. Jours vagues et nuits
vagues
Les marmites donnaient aux rondins des cagnats Qu
A la guerre C’était un temps béni Jours
vagues
et nuits vagues Les marmites donnaient aux rondin
A la guerre C’était un temps béni Jours vagues et nuits
vagues
Les marmites donnaient aux rondins des cagnats Qu
rt camuse Qui s’amuse A faire peur ; Et l’ennui m’emmantelle Comme un
vague
linceul de lugubre dentelle Ce soir.
le à l’horizon sur l’écume des flots La chanson des rameurs sur les
vagues
se traîne La reine et l’enfant d’or agitaient les
sous la neige Et semblaient à peine des chevaux de frise Entourés de
vagues
de fils de fer Mon cœur renaissait comme un arbre
En troupeau de jolis chevaux pies Qui vont vers toi comme de blanches
vagues
Sur la Méditerranée
s sommes tant et tant à être nos propres fossoyeurs Pâles poulpes des
vagues
crayeuses O poulpes aux becs pâles Autour de la m
jou tintant au rythme des sanglots. La chanson des rameurs sur les
vagues
se traîne, La reine et son amant l’écoutent les y
leries qui accomplissent le terrible amour des peuples Les
vagues
de la mer où naît la vie et la beauté Il y a là l
egrets, de tous ces repentirs Te souviens-tu ?
Vagues
, poissons arqués, fleurs surmarines ! Une nuit, c
ont passèrent des ombres vivaces, De profil ou soudain tournant leurs
vagues
faces Et tenant l’ombre de leurs lances en avant.
s maisons Grimace parmi les assauts du vent qui s’assoupit Ouis les
vagues
et le fracas d’une femme bleue Enfin la grotte
te de la mer rouge, Lui, les Hébreux, moi, Pharaon. Que tombent ces
vagues
de briques Si tu ne fus pas bien aimée ! Je suis
Boyaux et rumeur du canon Sur cette mer aux blanches
vagues
Fou stoïque comme Zénon
l tissus des souvenirs les plus purs Et il flotte parfois en l’air de
vagues
nuages de craie Sur la planche brillent des fus
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