Je suis chrétien Ah Ah les colliers tinteront cherront les masques
Va-t’en
va-t’en contre le feu l’ombre prévaut Ah Ah le la
chrétien Ah Ah les colliers tinteront cherront les masques Va-t’en
va-t’en
contre le feu l’ombre prévaut Ah Ah le larron de
s nier l’aséité Vois les vases sont pleins d’humides fleurs morales
Va-t’en
mais dénudé puisque tout est à nous Ouïs du chœur
e deuil de ta chair Et sombre elle est humaine et puis la nôtre aussi
Va-t’en
le crépuscule a des lueurs légères Et puis aucun
l eût aimé des poétesses Juste et magique il eût épargné les démons
Va-t’en
errer crédule et roux avec ton ombre Soit la tria
ien ! » — « Ah ! Ah ! les colliers tinteront, cherront les masques.
Va-t’en
, va-t’en, contre le feu l’ombre prévaut. Ah ! Ah
— « Ah ! Ah ! les colliers tinteront, cherront les masques. Va-t’en,
va-t’en
, contre le feu l’ombre prévaut. Ah ! Ah ! le larr
ier l’aséité. Vois, les vases sont pleins d’humides fleurs morales.
Va-t’en
mais dénudé, puisque tout est à nous. Ouïs du chœ
euil de ta chair, Et sombre, elle est humaine et puis la nôtre aussi.
Va-t’en
, le crépuscule a des lueurs légères Et puis aucun
ût aimé des poétesses, Juste et magique, il eût épargné les démons.
Va-t’en
errer crédule et roux avec ton ombre. Soit ! la t
e moi tremblants. Sois-tu maudit ! rien n’est tombé dans ma sébile.
Va-t’en
vers le spectacle où des acteurs feront Gémir les
Les Saisons C’était un temps béni nous étions sur les plages
Va-t’en
de bon matin pieds nus et sans chapeau Et vite co
Les Saisons C’était un temps béni nous étions sur les plages
Va-t’en
de bon matin pieds nus et sans chapeau Et vite co
vec leurs lances : — Menez jusqu’au couvent cette femme en démence.
Va-t’en
, Lore en folie, va Lore aux yeux tremblants Tu se