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1 (1916) La Grâce exilée « La Grâce exilée »
La Grâce exilée Va-t’en va-t’en mon arc-en-ciel Allez-vous-en couleurs ch
La Grâce exilée Va-t’en va-t’en mon arc-en-ciel Allez-vous-en couleurs charmantes
2 (1911) Le Larron « Le Larron »
Je suis chrétien Ah Ah les colliers tinteront cherront les masques Va-t’en va-t’en contre le feu l’ombre prévaut Ah Ah le la
chrétien Ah Ah les colliers tinteront cherront les masques Va-t’en va-t’en contre le feu l’ombre prévaut Ah Ah le larron de
s nier l’aséité Vois les vases sont pleins d’humides fleurs morales Va-t’en mais dénudé puisque tout est à nous Ouïs du chœur
e deuil de ta chair Et sombre elle est humaine et puis la nôtre aussi Va-t’en le crépuscule a des lueurs légères Et puis aucun
l eût aimé des poétesses Juste et magique il eût épargné les démons Va-t’en errer crédule et roux avec ton ombre Soit la tria
3 (1903) Le Larron « Le Larron »
ien ! » — « Ah ! Ah ! les colliers tinteront, cherront les masques. Va-t’en , va-t’en, contre le feu l’ombre prévaut. Ah ! Ah 
— « Ah ! Ah ! les colliers tinteront, cherront les masques. Va-t’en, va-t’en , contre le feu l’ombre prévaut. Ah ! Ah ! le larr
ier l’aséité. Vois, les vases sont pleins d’humides fleurs morales. Va-t’en mais dénudé, puisque tout est à nous. Ouïs du chœ
euil de ta chair, Et sombre, elle est humaine et puis la nôtre aussi. Va-t’en , le crépuscule a des lueurs légères Et puis aucun
ût aimé des poétesses, Juste et magique, il eût épargné les démons. Va-t’en errer crédule et roux avec ton ombre. Soit ! la t
4 (1905) Le Mendiant « Le Mendiant »
e moi tremblants. Sois-tu maudit ! rien n’est tombé dans ma sébile. Va-t’en vers le spectacle où des acteurs feront Gémir les
5 (1915) Les Saisons « Les Saisons »
Les Saisons C’était un temps béni nous étions sur les plages Va-t’en de bon matin pieds nus et sans chapeau Et vite co
6 (1915) Les Saisons « Les Saisons »
Les Saisons C’était un temps béni nous étions sur les plages Va-t’en de bon matin pieds nus et sans chapeau Et vite co
7 (1902) La Loreley « La Loreley »
vec leurs lances : — Menez jusqu’au couvent cette femme en démence. Va-t’en , Lore en folie, va Lore aux yeux tremblants Tu se
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