entement s’empoisonne. Les enfants de l’école viennent avec fracas,
Vêtus
de hoquetons, jouant de l’harmonica. Ils cueillen
lentement s’empoisonne. Les enfants de l’école viennent avec fracas,
Vêtus
de hoquetons, jouant de l’harmonica. Ils cueillen
r du roi. Ce commerçant venait de couper quelques têtes De mannequins
vêtus
comme il faut qu’on se vête. La foule, en tous
t de couper quelques têtes De mannequins vêtus comme il faut qu’on se
vête
. La foule, en tous les sens, remuait en mêlant
r du roi. Ce commerçant venait de couper quelques têtes De mannequins
vêtus
comme il faut qu’on se vête. La foule, en tous
t de couper quelques têtes De mannequins vêtus comme il faut qu’on se
vête
. La foule, en tous les sens, remuait en mêlant
l se sont allumés Mais tes cheveux sont le trolley A travers l’Europe
vêtue
de petits feux multicolores.
lumés Tandis que tes cheveux sont comme le trolley A travers l’Europe
vêtue
de petits feux multicolores Guillaume Apollinai
t, Et je claquais des dents Devant toute cette bourgeoisie Exposée et
vêtue
le mieux possible En attendant la sépulture. So
ant du bateau que je gouvernais, Un mort parlait avec une jeune femme
Vêtue
d’une robe jaune, D’un corsage noir Avec des ruba
re Où, Dans l’obituaire, Je les reconnus, couchés, immobiles, Et bien
vêtus
, Attendant la sépulture derrière les vitrines.
t, Et je claquais des dents Devant toute cette bourgeoisie Exposée et
vêtue
le mieux possible En attendant la sépulture, So
ant du bateau que je gouvernais, Un mort parlait avec une jeune femme
Vêtue
d’une robe jaune, D’un corsage noir Avec des ruba
re Où, Sous les Arcades, Je les reconnus, couchés, immobiles. Et bien
vêtus
, Attendant la sépulture derrière les vitrines.
r de leurs tziganes, De tous leurs siphons enrhumés, De leurs garçons
vêtus
d’un pagne, Vers toi, toi que j’ai tant aimée,
a-t’en, Lore en folie, va Lore aux yeux tremblants Tu seras une nonne
vêtue
de noir et blanc. — Puis ils s’en allèrent sur
un caveau maudit Au temps de notre jeunesse, Fumant tous deux et mal
vêtus
, attendant l’aube, Épris, épris des mêmes paroles
s, les bras partout montaient la garde Le second saltimbanque N’était
vêtu
que de son ombre Je le regardai longtemps Son vis
neuf rien rien d’ancien Et où tout est précieux où tout le monde est
vêtu
comme un roi Une selle est dans un coin à cheval
es bras, partout montaient la garde. Le second saltimbanque N’était
vêtu
que de son ombre. Je le regardai longtemps. Son v