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1 (1902) Les Colchiques « Les Colchiques »
entement s’empoisonne. Les enfants de l’école viennent avec fracas, Vêtus de hoquetons, jouant de l’harmonica. Ils cueillen
2 (1912) Les Colchiques « Les Colchiques »
lentement s’empoisonne. Les enfants de l’école viennent avec fracas, Vêtus de hoquetons, jouant de l’harmonica. Ils cueillen
3 (1905) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
r du roi. Ce commerçant venait de couper quelques têtes De mannequins vêtus comme il faut qu’on se vête. La foule, en tous
t de couper quelques têtes De mannequins vêtus comme il faut qu’on se vête . La foule, en tous les sens, remuait en mêlant
4 (1912) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
r du roi. Ce commerçant venait de couper quelques têtes De mannequins vêtus comme il faut qu’on se vête. La foule, en tous
t de couper quelques têtes De mannequins vêtus comme il faut qu’on se vête . La foule, en tous les sens, remuait en mêlant
5 (1914) Rotsoge « Rotsoge »
l se sont allumés Mais tes cheveux sont le trolley A travers l’Europe vêtue de petits feux multicolores.
6 (1914) Rotsoge « Rotsoge »
lumés Tandis que tes cheveux sont comme le trolley A travers l’Europe vêtue de petits feux multicolores Guillaume Apollinai
7 (1909) L'Obituaire « L’Obituaire »
t, Et je claquais des dents Devant toute cette bourgeoisie Exposée et vêtue le mieux possible En attendant la sépulture. So
ant du bateau que je gouvernais, Un mort parlait avec une jeune femme Vêtue d’une robe jaune, D’un corsage noir Avec des ruba
re Où, Dans l’obituaire, Je les reconnus, couchés, immobiles, Et bien vêtus , Attendant la sépulture derrière les vitrines.
8 (1912) La Maison des morts « La Maison des Morts »
t, Et je claquais des dents Devant toute cette bourgeoisie Exposée et vêtue le mieux possible En attendant la sépulture, So
ant du bateau que je gouvernais, Un mort parlait avec une jeune femme Vêtue d’une robe jaune, D’un corsage noir Avec des ruba
re Où, Sous les Arcades, Je les reconnus, couchés, immobiles. Et bien vêtus , Attendant la sépulture derrière les vitrines.
9 (1909) [« Voie lactée, ô sœur lumineuse »] « [« Voie lactée, ô sœur lumineuse »] »
r de leurs tziganes, De tous leurs siphons enrhumés, De leurs garçons vêtus d’un pagne, Vers toi, toi que j’ai tant aimée,
10 (1902) La Loreley « La Loreley »
a-t’en, Lore en folie, va Lore aux yeux tremblants Tu seras une nonne vêtue de noir et blanc. — Puis ils s’en allèrent sur
11 (1911) Poème lu au mariage d’André Salmon « Poème lu au mariage d’André Salmon »
un caveau maudit Au temps de notre jeunesse, Fumant tous deux et mal vêtus , attendant l’aube, Épris, épris des mêmes paroles
12 (1914) Un fantôme de nuées « Un fantôme de nuées »
s, les bras partout montaient la garde Le second saltimbanque N’était vêtu que de son ombre Je le regardai longtemps Son vis
13 (1917) Le palais du tonnerre « Le palais du tonnerre »
neuf rien rien d’ancien Et où tout est précieux où tout le monde est vêtu comme un roi Une selle est dans un coin à cheval
14 (1913) Un fantôme de nuées « Un fantôme de nuées »
es bras, partout montaient la garde. Le second saltimbanque N’était vêtu que de son ombre. Je le regardai longtemps. Son v
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