nous regardons. Comme cette femme est mennonite Ses rosiers et ses
vêtements
n’ont pas de boutons, Il en manque trois à mon ve
cheminées ne fumaient plus à cause de la grève Il vint des maçons aux
vêtements
maculés de plâtre Il vint des garçons bouchers au
s têtes de femmes, Le fleuve épinglé sur la ville T’y fixe comme un
vêtement
Partant, à l’amphion, docile, Tu subis tous les t
t l’ascenseur s’arrêtait à chaque étage Entre les pierres Entre les
vêtements
multicolores de la vitrine Entre les charbons ard
Et l’ascenseur s’arrêtait à chaque étage Entre les pierres Entre les
vêtements
multicolores de la vitrine Entre les charbons ard
tant déshabillés, Battirent leurs habits, puis les lui essayèrent. Le
vêtement
d’un lord mort sans avoir payé, Au rabais, l’habi
tant déshabillés, Battirent leurs habits, puis les lui essayèrent. Le
vêtement
d’un lord mort sans avoir payé, Au rabais, l’habi
s têtes de femmes. Le fleuve épinglé sur la ville T’y fixe comme un
vêtement
Partant, à l’amphion, docile, Tu subis tous les t
yant des drapeaux, ce matin, je ne me suis pas dit : Voilà les riches
vêtements
des pauvres ; Ni : la pudeur démocratique veut me
s têtes de femmes. Le fleuve épinglé sur la ville T’y fixe comme un
vêtement
: Partant, à l’Amphion, docile, Tu subis tous les
er qu’on cultive Pour que j’aime ou que je baffoue, Et de toucher les
vêtements
Pour ne pas douter si l’on est frileux ou non O g
s. Et un jour, nous aurons une belle noce, Des touffes de myrte A nos
vêtements
et dans vos cheveux, Un beau sermon à l’église, D
s. Et un jour, nous aurons une belle noce, Des touffes de myrte A nos
vêtements
et dans vos cheveux. Un beau sermon à l’église, D