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1 (1916) Tristesse d'une étoile « Il pleut »
gouttelettes et ces nuages cabrés se prennent à hennir tout comme un univers de villes auriculaires écoute s’il pleut tandis q
2 (1917) [Calligramme (cheval)] « [Calligramme (cheval)] »
[cheval] Homme vous trouverez ici une nouvelle représentation de l’ univers en ce qu’il a de plus poétique et de plus moderne
3 (1915) Toujours « Toujours »
he les forces neuves    Et prend au serieux les fantômes    Et tant d’ univers s’oublient    Quels sont les grands oublieurs Qui
4 (1915) Toujours « Toujours »
ces neuves    Et prend au sérieux les fantômes * *   *    Et tant d’ univers s’oublient * *   *    Quels sont les grands oub
5 (1917) Toujours « Toujours »
        Et prend au sérieux les fantômes                  Et tant d’ univers s’oublient                  Quels sont les grands
6 (1917) Dans l'abri caverne « Dans l’abri caverne »
utes les horreurs En imaginant ta beauté Pour l’élever au-dessus de l’ univers extasié Puis je pense que je l’imagine en vain Je
7 (1913) Arbre « Arbre »
est plus triste qu’autrefois Tous les dieux terrestres vieillissent L’ univers se plaint par ta voix Et des êtres nouveaux surgi
8 (1916) Arbre « Arbre »
est plus triste qu’autrefois Tous les dieux terrestres vieillissent L’ univers se plaint par ta voix Et des êtres nouveaux surgi
9 (1917) Arbre « Arbre »
est plus triste qu’autrefois Tous les dieux terrestres vieillissent L’ Univers se plaint part ta voix Et des êtres nouveaux surg
10 (1912) Vendémiaire « Vendémiaire »
lointaines Et Trèves la ville ancienne A leur voix mêlait la sienne L’ univers tout entier concentré dans ce vin Qui contenait l
u et ne fus pas désaltéré Mais je connus dès lors quelle saveur a l’ univers Je suis ivre d’avoir bu tout l’univers Sur le qua
nus dès lors quelle saveur a l’univers Je suis ivre d’avoir bu tout l’ univers Sur le quai d’où je voyais l’onde couler et dormi
11 (1911) Poème lu au mariage d’André Salmon « Poème lu au mariage d’André Salmon »
poésie nous avons des droits sur les paroles qui forment et défont l’ univers , Ni : parce que nous pouvons pleurer sans ridicul
12 (1912) Merlin et la vieille femme « Merlin et la vieille femme »
ettait la vie et l’éternelle cause Qui fait mourir et puis renaître l’ univers . Une vieille, sur une mule à chape verte, S’en
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