gouttelettes et ces nuages cabrés se prennent à hennir tout comme un
univers
de villes auriculaires écoute s’il pleut tandis q
[cheval] Homme vous trouverez ici une nouvelle représentation de l’
univers
en ce qu’il a de plus poétique et de plus moderne
he les forces neuves Et prend au serieux les fantômes Et tant d’
univers
s’oublient Quels sont les grands oublieurs Qui
ces neuves Et prend au sérieux les fantômes * * * Et tant d’
univers
s’oublient * * * Quels sont les grands oub
utes les horreurs En imaginant ta beauté Pour l’élever au-dessus de l’
univers
extasié Puis je pense que je l’imagine en vain Je
est plus triste qu’autrefois Tous les dieux terrestres vieillissent L’
univers
se plaint par ta voix Et des êtres nouveaux surgi
est plus triste qu’autrefois Tous les dieux terrestres vieillissent L’
univers
se plaint par ta voix Et des êtres nouveaux surgi
est plus triste qu’autrefois Tous les dieux terrestres vieillissent L’
Univers
se plaint part ta voix Et des êtres nouveaux surg
lointaines Et Trèves la ville ancienne A leur voix mêlait la sienne L’
univers
tout entier concentré dans ce vin Qui contenait l
u et ne fus pas désaltéré Mais je connus dès lors quelle saveur a l’
univers
Je suis ivre d’avoir bu tout l’univers Sur le qua
nus dès lors quelle saveur a l’univers Je suis ivre d’avoir bu tout l’
univers
Sur le quai d’où je voyais l’onde couler et dormi
poésie nous avons des droits sur les paroles qui forment et défont l’
univers
, Ni : parce que nous pouvons pleurer sans ridicul
ettait la vie et l’éternelle cause Qui fait mourir et puis renaître l’
univers
. Une vieille, sur une mule à chape verte, S’en