es Qui battent comme les fleurs battent au vent dément. Le gardien du troupeau chantonne en allemand. Tandis que lentes et meugl

s Qui battent, comme les fleurs battent au vent dément. Le gardien du troupeau chantonne en allemand, Tandis que lentes et meugl

if Un trou d’obus propre comme une salle de bains Berger suivi de son troupeau mordoré Mais où est un [cœur] et le [svastica]   

if Un trou d’obus propre comme une salle de bains Berger suivi de son troupeau mordoré Mais où est un [cœur] et le [svastica]   

on tire la langue aux attentives. J’attends que passe Thanatos et son troupeau . [Guillaume Apollinaire.]

e contremont Sur les toits se reposaient les colombes lasses. Et le troupeau de sphinx regagne la sphingerie A petits pas. Il

oint. Les otelles nous ensanglantent Dans le nid des Sirènes, loin Du troupeau d’étoiles oblongues.

nt. Les otelles nous ensanglantent Dans les nids des Sirènes, loin Du troupeau d’étoiles oblongues.

barbelés                  Et je les anime tout soudain            En troupeau de jolis chevaux pies Qui vont vers toi comme de

i vues vivaient comme des folles Te souviens-tu des banlieues et du troupeau plaintif des paysages ? Les cyprès projetaient

e contremont Sur les toits se reposaient les colombes lasses. Et le troupeau de sphinx regagne la sphingerie A petits pas. Il

contremont ; Sur les toits se reposaient les colombes lasses. Et le troupeau de sphinx regagne la sphingerie A petits pas. Il

e A la fin tu es las de ce monde ancien Bergère ô tour Eiffel le troupeau des ponts bêle ce matin Tu en as assez de vivre

chine Maintenant tu marches dans Paris tout seul parmi la foule Des troupeaux d’autobus mugissants près de toi roulent L’angois

A la fin tu es las de ce monde ancien Bergère ô tour Eiffel le troupeau des ponts bêle ce matin Tu en as assez de vivre

chine Maintenant tu marches dans Paris tout seul parmi la foule Des troupeaux d’autobus mugissants près de toi roulent L’angois

chands de bananes Il vint des soldats de la garde républicaine O nuit troupeau de regards langoureux des femmes O nuit toi ma do