hande (incipit : « Regardez cette troupe infecte ») Regardez cette
troupe
infecte Aux mille pattes, aux cent yeux : Rotifèr
our cueillir des fleurs athées, Loin des vérités sidérales Ceux de ma
troupe
s’arrêtaient. Et des chœurs porphyrogénètes S’a
èrent tant De fleurs de cheveux roux et de rames flottant Parmi les
troupes
de méduses violettes Cortège de ta fuite ou flora
rent tant De fleurs, de cheveux roux et de rames flottant Parmi les
troupes
de méduses violettes. L’heur des fuites est sombr
gendarmes, Nous aurons bu le vin de mai ! Mes compagnons, ma chère
troupe
D’ivrognes rauques, mes bandits Voici notre divin
ses pas marcha jusqu’à la rue de la Verrerie Où il entra suivi par la
troupe
des femmes Qui sortaient des maisons Qui venaient
ô cortèges C’est quand jadis le roi revenait de Vincennes Il vint une
troupe
de casquettiers Il vint des marchands de bananes
contrions souvent Des parents, des amis qui se joignaient A la petite
troupe
des morts récents. Tous étaient si gais, Si charm
ues étaient amarrées Dans un havre, On les détacha Après que toute la
troupe
se fût embarquée, Et quelques morts ramaient Avec
e répondant comme on le fait Dans la montagne. Dans la ville, Notre
troupe
diminua peu à peu. On se disait au revoir, A dema
contrions souvent Des parents, des amis qui se joignaient A la petite
troupe
des morts récents. Tous étaient si gais, Si cha
es étaient amarrées Dans un havre ; On les détacha Après que toute la
troupe
se fût embarquée, Et quelques morts ramaient Avec
e répondant comme on le fait Dans la montagne. Dans la ville, Notre
troupe
diminua peu à peu. On se disait au revoir, À dema
s chercheurs de trésors. Effrayants et fardés, les poètes barbares,
Troupe
lâche, cherchaient, pour y chastes mourir, La for