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1 (1908) La Marchande (incipit : « Regardez cette troupe infecte ») « La Marchande (incipit : « Regardez cette troupe infecte ») »
La Marchande (incipit : « Regardez cette troupe infecte ») Regardez cette troupe infecte Aux m
hande (incipit : « Regardez cette troupe infecte ») Regardez cette troupe infecte Aux mille pattes, aux cent yeux : Rotifèr
2 (1908) Poème (incipit : « Le chemin qui mène aux étoiles ») « Poème (incipit : « Le chemin qui mène aux étoiles ») »
our cueillir des fleurs athées, Loin des vérités sidérales Ceux de ma troupe s’arrêtaient. Et des chœurs porphyrogénètes S’a
3 (1918) L'enfant d'or « L’enfant d’or »
èrent tant De fleurs de cheveux roux et de rames flottant Parmi les troupes de méduses violettes Cortège de ta fuite ou flora
4 (1902) La Fuite « La Fuite »
rent tant De fleurs, de cheveux roux et de rames flottant Parmi les troupes de méduses violettes. L’heur des fuites est sombr
5 (1904) Schinderhannes « Schinderhannes »
gendarmes, Nous aurons bu le vin de mai ! Mes compagnons, ma chère troupe D’ivrognes rauques, mes bandits Voici notre divin
6 (1914) Le Musicien de Saint-Merry « Le Musicien de Saint-Merry »
ses pas marcha jusqu’à la rue de la Verrerie Où il entra suivi par la troupe des femmes Qui sortaient des maisons Qui venaient
ô cortèges C’est quand jadis le roi revenait de Vincennes Il vint une troupe de casquettiers Il vint des marchands de bananes
7 (1909) L'Obituaire « L’Obituaire »
contrions souvent Des parents, des amis qui se joignaient A la petite troupe des morts récents. Tous étaient si gais, Si charm
ues étaient amarrées Dans un havre, On les détacha Après que toute la troupe se fût embarquée, Et quelques morts ramaient Avec
e répondant comme on le fait Dans la montagne. Dans la ville, Notre troupe diminua peu à peu. On se disait au revoir, A dema
8 (1912) La Maison des morts « La Maison des Morts »
contrions souvent Des parents, des amis qui se joignaient A la petite troupe des morts récents. Tous étaient si gais, Si cha
es étaient amarrées Dans un havre ; On les détacha Après que toute la troupe se fût embarquée, Et quelques morts ramaient Avec
e répondant comme on le fait Dans la montagne. Dans la ville, Notre troupe diminua peu à peu. On se disait au revoir, À dema
9 (1903) Le Larron « Le Larron »
s chercheurs de trésors. Effrayants et fardés, les poètes barbares, Troupe lâche, cherchaient, pour y chastes mourir, La for
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