our qui seul rien n’existe Pi-mus couples allant dans la profonde eau
triste
Anges frais débarqués à Marseille hier matin J’en
i géhenn e sombre ô toi nuit sans étoile L’amour a incanté mes yeux
tristes
et las Et tout est irréel comme embrumé de voil
bel enfant ; La biche passe avec ses faons ; Le nain regarde d’un air
triste
Grandir l’Arlequin trismégiste. Guillaume Apoll
un bel enfant La biche passe avec ses faons Le nain regarde, d’un air
triste
, Grandir l’Arlequin trismégiste
— « Encore un peu de café, Lenchen, s’il te plaît. » — « Lotte, es-tu
triste
? O petit cœur ! » — « Je crois qu’elle aime. » —
Le vent faisait danser en rond tous les sapins. « Lotte, l’amour rend
triste
. » — « Ilse, la vie est douce. » La nuit tombai
serais mieux que les séraphins. Ma mère, dites-moi pourquoi vous êtes
triste
, En robe de comtesse, à côté du Dauphin ? Mon c
Adieu, adieu ! vous qui m’aimiez, oubliez-moi ! Laissez-moi seule,
triste
et noire, dans la gare Attendre, les yeux secs, l
erais mieux que les séraphins. Ma mère, dites-moi, pourquoi vous êtes
triste
, En robe de comtesse à côté du Dauphin ? Mon cœ
erais mieux que les séraphins. Ma mère, dites-moi, pourquoi vous êtes
triste
, En robe de comtesse à côté du Dauphin ? Mon cœ
st là comme un œil clos, Pleurant avec de frais sanglots La naissance
triste
de l’eau. L’eau pure deviendra l’eau sale, La s
gne Le vent vient du couchant Le métal des caroubiers Tout est plus
triste
qu’autrefois Tous les dieux terrestres vieillisse
gne Le vent vient du couchant Le métal des caroubiers Tout est plus
triste
qu’autrefois Tous les dieux terrestres vieillisse
ogne Le vent vient du couchant Le métal des caronhers Tout est plus
triste
qu’autrefois Tous les dieux terrestres vieillisse
eant… … Juin, ton soleil, ardente lyre, Brûle mes doigts endoloris.
Triste
et silencieux délire, J’erre à travers mon beau P
onde mauvaise à boire ? Avons-nous assez divagué De la belle aube au
triste
soir ?… Adieu, faux amour confondu Avec la femm
ens, je m’en souviens encore. Un soir je descendis dans une auberge
triste
Auprès de Luxembourg : Dans le fond de la salle i
ge a exterminé, pendant que je dormais, Les agneaux, les pasteurs des
tristes
bergeries. De faux centurions emportaient le vina
e La pierre prise au foie d’un vieux coq de Tanagre Au lieu du roseau
triste
et du funèbre faix Que n’alla-t-il vivre à la c
, La pierre prise au foie d’un vieux coq de Tanagre Au lieu du roseau
triste
et du funèbre faix. Que n’alla-t-il vivre à la
poque où finissaient les rois Tour à tour ils mouraient silencieux et
tristes
Et trois fois courageux devenaient trismégistes
Epouvanté tu te vois dessiné dans les agates de Saint-Vit Tu étais
triste
à mourir le jour où tu t’y vis Tu ressembles au
Epouvanté tu te vois dessiné dans les agates de Saint-Vit Tu étais
triste
à mourir le jour où tu t’y vis Tu ressembles au