Poème sans titre (incipit : « Ermenonville, arbres
tremblants
») Ermenonville, arbres tremblants, Temple de
ncipit : « Ermenonville, arbres tremblants ») Ermenonville, arbres
tremblants
, Temple de la philosophie Que Rousseau gagnait à
a route bordant le fleuve et tachée d’ombre Fuyaient
tremblant
de peur Comme des chevaliers indignes les autos T
Rhin est ivre, où les vignes se mirent. Tout l’or des nuits tombe, en
tremblant
, s’y refléter. La voix chante toujours, à en râle
eupliers Reconnaissez beaux peupliers au fils d’Europe O mes frères
tremblants
qui priez en Asie Un passant arqué comme une co
s Je me lamenterai faute de ton obole Au passage des riches comme moi
tremblants
. Sois-tu maudit ! rien n’est tombé dans ma sébi
Les Sept Épées La première est toute d’argent Et son nom
tremblant
, c’est Paline ; Sa lame, un ciel d’hiver neigeant
aimé, Et des chansons pour les sirènes. L’amour est mort, j’en suis
tremblant
, J’adore de belles idoles : Les souvenirs lui res
destins. Ses regards laissaient une traîne D’étoiles dans les soirs
tremblants
; Dans ses yeux nageaient les sirènes, Et nos bai
nt cette femme en démence. Va-t’en, Lore en folie, va Lore aux yeux
tremblants
Tu seras une nonne vêtue de noir et blanc. — Pu
D’ossements, d’herbes drues, de destinées et de fleurs, De monuments
tremblants
, et de charognes vertes, Quand les vents apportai
t toi Mavise Et toi Colette et toi la belle Geneviève Elles ont passé
tremblantes
et vaines Et leurs pas légers et prestes se mouva
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