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1 (1908) Le Paon « Le Paon »
Le Paon En faisant la roue cet oiseau Dont le pennage traîne à terre, Apparaît encore plus beau, Mais se décou
2 (1911) Le Paon « Le Paon »
Le Paon En faisant la roue, cet oiseau, Dont le pennage traîne à terre, Apparaît encore plus beau, Mais se décou
3 (1916) Poème (incipit : « Deux lacs nègres ») - section II
ouverte sur une harmonium C’était une voix faite d’yeux Tandis qu’il traîne de petites gens
4 (1918) L'enfant d'or « L’enfant d’or »
izon sur l’écume des flots La chanson des rameurs sur les vagues se traîne La reine et l’enfant d’or agitaient les grelots D
5 (1902) La Fuite « La Fuite »
t au rythme des sanglots. La chanson des rameurs sur les vagues se traîne , La reine et son amant l’écoutent les yeux clos,
6 (1910) Le Système Métrique « Le Système métrique »
  Adam avec son Ève enrageaient de n’avoir,          Elle, une robe à traîne et lui son habit noir. Lors le serpent, rampant p
7 (1909) Les Sept Épées « Les Sept Épées »
riveraines Y baignent leurs corps adorés Et des champs de rameurs s’y traînent . La cinquième, Sainte-Fabeau, C’est la plus bel
8 (1916) Epître à Léo Larguier, caporal-brancardier, en réponse à la sienne « Epître à Léo Larguier, caporal-brancardier, en réponse à la sienne »
nd s’éveille la nuit la Champagne Tonnante, La nuit quand les convois traînent leur rumeur lente A travers la Champagne où tonne
9 (1916) Epître à Léo Larguier, caporal-brancardier, en réponse à la sienne « Epître à Léo Larguier, caporal-brancardier, en réponse à la sienne »
nd s’éveille la nuit la Champagne Tonnante, La nuit quand les convois traînent leur rumeur lente A travers la Champagne où tonne
10 (1902) La Loreley « La Loreley »
ils s’en allèrent sur la route, tous les quatre, La Loreley au milieu traînait la savate. — Chevaliers, laissez-moi monter sur
11 (1905) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
ule, en tous les sens, remuait en mêlant Des ombres sans amour qui se traînaient par terre Et des mains, vers le ciel plein de lac
12 (1912) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
ule, en tous les sens, remuait en mêlant Des ombres sans amour qui se traînaient par terre Et des mains, vers le ciel plein de lac
13 (1917) Le palais du tonnerre « Le palais du tonnerre »
Une selle est dans un coin à cheval sur une caisse Un journal du jour traîne par terre Et cependant tout paraît vieux dans cet
14 (1909) [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] « [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] »
e saveur amère Qui a rebuté nos destins. Ses regards laissaient une traîne D’étoiles dans les soirs tremblants ; Dans ses ye
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