Poème (incipit : « Deux lacs nègres ») V Toi qui te
tournes
vers le roi Est-ce que Dieu voudrait mourir encor
aillent Au verger pâle, au bois plaintif ou dans le champ En rentrant
tourneront
leurs faces au couchant Embaumé par les foins d’o
illent Au verger pâle, au bois plaintif ou dans le champ, En rentrant
tourneront
leurs faces au couchant Embaumé par les foins d’o
ement Mon corps qu’être divin voulut mon ignorance Et ciel Humains je
tourne
en l’éblouissement Bateliers Un dieu choît dans
ans la cagnat en rondins voilés d’osier Auprès des canons gris voilés
tournés
vers le nord Que je songe au village africain O
ans la cagnat en rondins voilés d’osier Auprès des canons gris voilés
tournés
vers le nord Que je songe au village africain O
ong orphelinat des gares ? Nous trouvâmes des villes qui tout le jour
tournaient
Et vomissaient la nuit le soleil des journées.
hommes Veux-tu le talisman heureux de mon collier Larron des fruits
tourne
vers moi tes yeux lyriques Emplissez de noix la b
urrasque Rira de toi comme hennissent les chevaux Larron des fruits
tourne
vers moi tes yeux lyriques Emplissez de noix la b
es ? Veux-tu le talisman heureux de mon collier ? Larron des fruits
tourne
vers moi tes yeux lyriques. Emplissez de noix la
e Rira de toi comme hennissent les chevaux. » — « Larron des fruits
tourne
vers moi tes yeux lyriques. Emplissez de noix la
lus doux que n’est le miel et plus simples qu’un peu de terre Nous te
tournons
bénignement le dos ITALIE Mais ne t’en fais pas n
tres, je suis Le désirable feu qui pour vous se dévoue, Et la girande
tourne
, ô belle, ô belle nuit. Liens déliés par une li
eux des sirènes Il trompa les marins qu’aimaient ces oiseaux-là Il ne
tournera
plus sur l’écueil de Scylla Où chantaient les tro
pelle du collège Et dans l’éternelle et adorable profondeur améthyste
Tourne
à jamais la flamboyante gloire du Christ C’est
pelle du collège Et dans l’éternelle et adorable profondeur améthyste
Tourne
à jamais la flamboyante gloire du Christ C’est