sés Après la neige aux purs pétales Comme ses mains sur tes baisers
Tombaient
les feuilles automnales GUILLAUME APOLLINAIRE
es suçons sans venin. De ma mentule mâle en ton con féminin Le sperme
tombera
comme l’or dans les sluices1. O ma tendre putain
tes yeux jaillit, même quand tu les voiles, Cette obscure clarté qui
tombe
les étoiles2. L’abbé de Thélème. 1. [NdA] Pet
es suçons sans venin. De ma mentule mâle en ton c.n féminin Le sperme
tombera
comme l’or dans les sluices1. O ma tendre putai
tes yeux jaillit, même quand tu les voiles, Cette obscure clarté qui
tombe
les étoiles2. L’abbé de Thélème. 1. [NdA] Pet
e me souviens murmure-t-elle Du jour où j’ai franchi ton seuil Il y
tomba
comme un automne La boucle de ton souvenir Et not
andis que le regret et le dédain pleurent une ancienne musique écoute
tomber
les liens qui te retiennent en haut et en bas G
oilà qu’un jeune fou Par derrière me pince la taille Le balai
tombe
au fond Laissez mon jupon Au même instant
j’ai ce soir une âme qui s’est creusée qui est vide On dirait qu’on y
tombe
sans cesse et sans trouver de fond Et qu’il n’y a
sans trouver de fond Et qu’il n’y a rien pour se raccrocher Ce qui y
tombe
et qui y vit c’est une sorte d’êtres laids qui me
ttes. L’heur des fuites est sombre et violet d’effroi. Tant de gemmes
tombaient
du manteau du vieux roi. Guillaume Apollinaire.
Rhin, le Rhin est ivre, où les vignes se mirent. Tout l’or des nuits
tombe
, en tremblant, s’y refléter. La voix chante toujo
ins ? Or, des vergers fleuris se figeaient en arrière : Les pétales
tombés
des cerisiers de mai Sont les ongles de celle que
assage des riches comme moi tremblants. Sois-tu maudit ! rien n’est
tombé
dans ma sébile. Va-t’en vers le spectacle où des
ur ces vieilles photographies ? Te souviens-tu du jour où une abeille
tomba
dans le feu ? C’était, tu t’en souviens, à la f
t le peintre norvégien Diriks Miroir brisé sel renversé ou pain qui
tombe
Puissent ces dieux sans figure m’épargner toujour
s’en aller Et si c’était un dieu mourant cette merveille Prions qu’il
tombe
ailleurs que dans notre vallée Icare Pour évite
oque-morts avec des bocks tintaient des glas. A la clarté des bougies
tombaient
, vaille que vaille, Des faux-cols sur des flots d
quintaine. * * * [« Incertitude, oiseau feint, peint, quand vous
tombiez
»] Incertitude, oiseau feint, peint, quand vo
uand vous tombiez »] Incertitude, oiseau feint, peint, quand vous
tombiez
, Le soleil et l’amour dansaient dans le village.
et les vieilles femme Allument des bougies et des cierges Sur chaque
tombe
catholique. Les voiles des vieilles, Les nuages d
Lotte, l’amour rend triste. » — « Ilse, la vie est douce. » La nuit
tombait
. Les vignobles aux ceps tordus Devenaient dans l’
devient si doux. C’est mon amant qui vient. — Elle se penche alors et
tombe
dans le Rhin. Pour avoir vu dans l’eau, la bell
, Onde ouverte de la mer rouge, Lui, les Hébreux, moi, Pharaon. Que
tombent
ces vagues de briques Si tu ne fus pas bien aimée
nrent un mourant qui nous jeta le dernier regard d’Orphée. Les verres
tombèrent
, se brisèrent Et nous apprirent à rire. Et nous p
touffes d’aiguilles de sapin Et de temps en temps des débris de craie
tombent
comme des morceaux de vieillesse A côté de l’issu
sais pas que c’est elle la suprême vertu Une couronne du trirègne est
tombée
sur les dalles Les hiérarques la foulent sous leu
oblence Et moi qui m’attardais sur le quai à Auteuil Quand les heures
tombaient
parfois comme les feuilles Du cep lorsqu’il fut t
tristesse Et si malgré les masques les sacs de sable les rondins nous
tombions
Nous savons qu’un autre prendrait notre place Et
t des clavaires, Et je sentais l’aorte avare éperdument. Une goutte
tomba
. Sueur ? et sa couleur ? Lueur ! le sang est roug