ées Mon désir c’est la butte du Tahure Mon désir est là sur quoi je
tire
De mon désir qui est au delà de la zône des armée
s main de Massiges Si décharnée sur la carte Le boyau Gœthe où j’ai
tiré
J’ai tiré même sur le boyau Nietzche Décidément j
Massiges Si décharnée sur la carte Le boyau Gœthe où j’ai tiré J’ai
tiré
même sur le boyau Nietzche Décidément je ne respe
rmées Mon désir c’est la butte du Mesnil Mon désir est là sur quoi je
tire
De mon désir qui est au delà de la zone des armée
n Main de Massiges Si décharnée sur la carte Le boyau Gœthe où j’ai
tiré
J’ai tiré même sur le boyau Nietzsche Décidément
Massiges Si décharnée sur la carte Le boyau Gœthe où j’ai tiré J’ai
tiré
même sur le boyau Nietzsche Décidément je ne resp
souvenances Traverse les lilas des yeux Et les canons des indolences
Tirent
mes songes vers les cieux Avril 1915
ère] La famille des funambules s’est attablée autour d’une table pour
tirer
les rois Devinez qui a la fève ? Le regret confin
souvenances Traverse les lilas des Yeux Et les canons des indolences
Tirent
mes songes vers les
irs sacrés dans la lumière réelle Tu les consacres à peindre comme tu
tiras
mon portrait La face des étoiles. GUILLAUME APO
souvenances Traverse les lilas des Yeux Et les canons des indolences
Tirent
mes songes vers les
ndre Comme tu
tiras
mon portrait
ose, C’était un Juif, il sentait l’ail Et l’avait, venant de Formose,
Tirée
d’un bordel de Shangaï. Je connais gens de tout
À M. Louis de Gonzague Frick. Sirènes, j’ai campé vers vos Grottes,
tiriez
aux mers la langue En dansant devant leurs chevau
s seuls sont les excuses Et les torches de mon tourment. * Oiseaux,
tiriez
aux mers la langue. Le soleil d’hier m’a rejoint.
nt par Guillaume Apollinaire Sirènes, j’ai rampé vers vos Grottes,
tiriez
aux mers la langue En dansant devant leurs chevau
ras seuls sont les excuses Et les torches de mon tourment. Oiseaux,
tiriez
aux mers la langue. Le soleil d’hier m’a rejoint.
l] salut monde dont je suis la langue éloquente que sa bouche ô Paris
tire
et tirera toujours aux Allemands Un officier pa
monde dont je suis la langue éloquente que sa bouche ô Paris tire et
tirera
toujours aux Allemands Un officier passe au gal
êt Là-bas plus blanche est la blessure [à gauche, verticalement] On
tire
contre avions Verdun [au centre] Le Ciel Coquelic
êt Là-bas plus blanche est la blessure [à gauche, verticalement] On
tire
contre avions Verdun [au centre] Le Ciel Coquelic
r positive Adapte un masque hilare et drape l’oripeau. Va. L’histrion
tire
la langue aux attentives. J’attends que passe Tha
onnu quelques prophétesses Madame Salmajour avait appris en Océanie à
tirer
les cartes C’est là-bas qu’elle avait eu encore l
oi ne pas danser et discourir Manger et puis dormir Et nous
tirons
sur les ravitaillements boches Ou sur les fils de
oi ne pas danser et discourir Manger et puis dormir Et nous
tirons
sur les ravitaillements boches Ou sur les fils de
e j’imagine Faute d’avoir des souvenirs
Tire
de vous son origine Car elle n’e
avec les étiquettes des parfumeurs En somme rieurs vous n’avez pas
tiré
grand chose des hommes Et à peine avez-vous extra
refermer les ailes Le ciel s’emplit alors de millions d’hirondelles A
tire
d’aile viennent les corbeaux les faucons les hibo
refermer les ailes Le ciel s’emplit alors de millions d’hirondelles A
tire
d’aile viennent les corbeaux les faucons les hibo
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