ne rose lui redit La molle courbe d’une hanche L’air est plein d’un
terrible
alcool Filtré des étoiles mi-closes Les obus care
une rose lui redit La molle courbe d’une hanche L’air est plein d’un
terrible
alcool Filtré des étoiles mi-closes Les obus care
rait Et des commis de commerçants de toutes sortes Il vint des femmes
terribles
et portant des enfants ou en ayant d’autres accro
e rose lui redit la molle courbe d’une hanche. L’air est plein d’un
terrible
alcool filtré des étoiles mi-closes… Les obus car
s plantes tropicales Le tonnerre des artilleries qui accomplissent le
terrible
amour des peuples Les vagues de la mer
i Pour écarter l’haleine tiède Qu’exhalent contre mes grands cris Vos
terribles
bouches muettes. * Il y a là-bas la merveille.
i Pour écarter l’haleine tiède Qu’exhalent contre mes grands cris Vos
terribles
bouches muettes. Il y a là-bas la merveille. Au
rds mais aux pampres du Nord Tous les grains ont mûri pour cette soif
terrible
Mes grappes d’hommes forts saignent dans le press
s avait soif Me fut alors présenté Actions belles journées sommeils
terribles
Végétation accouplements musiques éternelles Mouv