s horreurs de la guerre Avant elle nous n’avions que la surface De la
terre
et des mers après elle nous les abîmes Le sous-so
s horreurs de la guerre Avant elle nous n’avions que la surface De la
terre
et des mers après elle nous aurons les abîmes Le
Le Paon En faisant la roue cet oiseau Dont le pennage traîne à
terre
, Apparaît encore plus beau, Mais se découvre le d
Le Paon En faisant la roue, cet oiseau, Dont le pennage traîne à
terre
, Apparaît encore plus beau, Mais se découvre le d
uyère L’automne est morte souviens-t’en Nous ne nous verrons plus sur
terre
Odeur du temps brin de bruyère Et souviens-toi
eurs de la guerre ! Avant elle nous n’avions que la surface de la
terre
& des mers ; après elle nous aurons les abîme
incipit : « Paix sur terre aux hommes de bonne volonté ») Paix sur
terre
aux hommes de bonne volonté Les maris voudraient
re. Mets-le sur ton cœur plus longtemps Nous ne nous verrons plus sur
terre
. » — « J’ai mis sur mon cœur la bruyère, Et souvi
e fer des mitrailleuses des Boches trop sûrs d’eux Trop enfoncés sous
terre
déjà enterrés Ca ta clac des coups qui meurent
e ondulée sous la pluie Et sous la pluie ma bourguignote Entends la
terre
véhémente Vois les lueurs avant d’entendre les co
fer des mitrailleuses des ennemis trop sûrs d’eux Trop enfoncés sous
terre
déjà enterrés Ca ta clac des coups qui meurent
e ondulée sous la pluie Et sous la pluie ma bourguignote Entends la
terre
véhémente Vois les lueurs avant d’entendre les co
e Le don Juan des mille et trois comètes Et même sans bouger de la
terre
Cherche les forces neuves Et prend au serie
e Le don Juan des mille et trois comètes Et même sans bouger de la
terre
Cherche les forces neuves Et prend au série
ité Mon père m’apprit les détours du labyrinthe Et la science de la
terre
et puis mourut Et depuis j’ai scruté longtemps la
ncestueuse Dieu circulaire et bon je flotte entre les nues Loin de la
terre
où luit ta fille ténébreuse La Nuit cette inconnu
er à un grand festin éclairé à giorno C’est un banquet que s’offre la
terre
Elle a faim et ouvre de longues bouches pâles La
que s’offre la terre Elle a faim et ouvre de longues bouches pâles La
terre
a faim et voici son festin de Balthasar cannibale
Mais le festin serait plus beau encore si le ciel y mangeait avec la
terre
Il n’avale que des âmes Ce qui est une façon de n
a beauté Ton âme s’agitera comme une région pendant un tremblement de
terre
Tes yeux seront alors chargés de tout l’amour qui
s hommes mourront, nombreux, en liberté. — Le soleil et les morts aux
terres
qu’on emblave Donnent la beauté blonde et la féco
eauté blonde et la fécondité. — Puis quand la peste aura purifié la
terre
, Vivront en doux amour les bienheureux humains, P
L’amour a remué ma vie ») L’amour a remué ma vie comme on remue la
terre
dans la zône des armées J’atteignais l’âge mûr qu
éblouissants Plus doux que n’est le miel et plus simples qu’un peu de
terre
Nous te tournons bénignement le dos ITALIE Mais n
le dis Mais pour chacun de tei ITALIE Ne te borne point à prendre les
terres
irrédentes Mets ton destin dans la balance où est
d’escargots Et les obus en tombant sont des chiens qui jettent de la
terre
avec leurs pattes après avoir fait leurs besoins
uits pulpeux le savoureux mystère, L’humble rotondité sans sexe de la
terre
, La lune, chaque mois, si vaine de son cul, Et d
uits pulpeux le savoureux mystère, L’humble rotondité sans sexe de la
terre
, La lune, chaque mois, si vaine de son cul, Et d
œuvre d’art, nos amours ont été Et seront l’ornement du ciel et de la
terre
, O toi, ma créature et ma divinité !
œuvre d’art, nos amours ont été Et seront l’ornement du ciel et de la
terre
, O toi, ma créature et ma divinité ! Guillaume
c’est bien de n’être pas las, De sourire dans la tourmente Dans la
terre
, (et n’oubliez pas Que les Boches l’appellent Erd
A la limite où notre sol brille déjà, Baisse ta deuxième paupière, la
terre
t’éblouit Quand tu lèves la tête. Et moi aussi
e, Baisse ta deuxième paupière Ni à cause du soleil, ni à cause de la
terre
, Mais pour ce feu oblong dont l’intensité ira s’a
ndeurs Coulait, sang de mes veines et fait battre mon cœur. Puis, sur
terre
il venait mille peuplades blanches Dont chaque ho
es bleues Comme si l’on t’avait Faite avec Des morceaux de ciel et de
terre
En laissant au milieu Un grand trou de lumière Ce
ux plus émouvants qu’un mélo. Je m’embête. Je vais casser une pipe de
terre
qui est vraiment mauvaise il faut aussi que je je
ique de ses aiguilles le sac les suit Fantassins marchantes mottes de
terre
Vous êtes la puissance Du sol qui vous a faits Et
e chantaient épouvantablement les obus Et que les fleurs mortes de la
terre
exhalaient Leurs mortelle
ée en cellule vitrée, Le ciel se peupla d’une apocalypse Vivace Et la
terre
, plate à l’infini Comme avant Galilée, Se couvrit
ge et leurs attitudes Devinrent bientôt moins funèbres. Le ciel et la
terre
perdirent Leur aspect fantasmagorique. Les mort
eurez et vos mains tremblent, Aucun de nous ne reviendra. — On reprit
terre
et ce fut le retour. Les amoureux s’entr’aimaient
ée en cellule vitrée, Le ciel se peupla d’une apocalypse Vivace Et la
terre
, plate à l’infini Comme avant Galilée, Se couvrit
ge et leurs attitudes Devinrent bientôt moins funèbres. Le ciel et la
terre
perdirent Leur aspect fantasmagorique. Les mort
eurez et vos mains tremblent, Aucun de nous ne reviendra. On reprit
terre
et ce fut le retour. Les amoureux s’entr’aimaient
éjà ivre dans la vigne Paris Vendangeait le raisin le plus doux de la
terre
Ces grains miraculeux qui aux treilles chantèrent
grappes de morts dont les grains allongés Ont la saveur du sang de la
terre
et du sel Les voici pour ta soif ô Paris sous le
t cruels Ayant soif comme toi dans la vigne éternelle Sortiront de la
terre
et viendront dans les airs Pour boire de mon vin
s sens, remuait en mêlant Des ombres sans amour qui se traînaient par
terre
Et des mains, vers le ciel plein de lacs de lumiè
s sens, remuait en mêlant Des ombres sans amour qui se traînaient par
terre
Et des mains, vers le ciel plein de lacs de lumiè
les Mayas [deuxième image] Te souviens-tu du tremblement de
terre
entre 1885 et 1890 on coucha plus d’un mois sous
st dans un coin à cheval sur une caisse Un journal du jour traîne par
terre
Et cependant tout paraît vieux dans cette neuve d
dieux morts en automne, Tu mesures combien d’empans J’ai droit que la
terre
me donne, O mon ombre, ô mon vieux serpent ! Au