vaucher. Mon destin au char d’or sera ton beau cocher Qui pour brides
tiendra
, tendus à frénésie, Mes vers, les parangons de to
on phalle Aigu ? — Quel mâle !… Le chien Me crève !… Quel rêve !… …
Tiens
bien ! Hercule L’encule. L’abbé de Thélème.
on phalle Aigu ? — Quel mâle !… Le chien Me crève !… Quel rêve !… …
Tiens
bien ! Hercule L’en..le. L’abbé de Thélème.
lveston Qui a lancé cette fusée-signal Néanmoins tu feras bien de
tenir
la porte ouverte Et puis le vent scieur de long S
si vieux que je me demande Si verrai le temps des lucioles Tabaquin
tiens
tes deux sous C’est du fin Merci bien tabaquin
4 heures C’est 4 heures du matin Je me lève tout habillé Je
tiens
une savonnette Que m’a envoyée quelqu’un que j’ai
Et je porte avec moi cette ardente souffrance Comme le ver luisant
tient
son corps enflammé Comme au cœur du soldat Il pal
euves qui s’écoulent de mes yeux Des poulpes grouillent partout où se
tiennent
les murailles Entendez battre leur triple cœur et
: — O belle Loreley, aux yeux pleins de pierreries De quel magicien
tiens
-tu ta sorcellerie ? — — Je suis lasse de vivre
— Tout là-bas sur le Rhin s’en vient une nacelle. Et mon amant s’y
tient
, il m’a vue, il m’appelle. Mon cœur devient si
ir flamber l’aurore, l’électre du matin. Tu méprises ma peine et la
tienne
peut-être ; Ta douleur de toujours, mon malheur d
s cheveux noirs de ta nuque est mon trésor Ma pensée te rejoint et la
tienne
la croise * * * Tes seins sont les seuls obus
fois que j’ai été en Chine C’est il y a huit ou neuf ans L’Honneur
tient
souvent à l’heure que marque la pendule La quin
de sable autour d’une pauvre ville au fond de l’Est Un douanier se
tenait
là comme un ange A la porte d’un misérable paradi
de sable autour d’une pauvre ville au fond de l’Est Un douanier se
tenait
là comme un ange A la porte d’un misérable paradi
ue de sable autour d’une petite ville Au fond de l’Est Un douanier se
tenait
là comme un ange a la porte d’un misérable paradi
Puis, sur terre il venait mille peuplades blanches Dont chaque homme
tenait
une rose à la main Et le langage qu’ils inventaie