Mon destin au char d’or sera ton beau cocher Qui pour brides tiendra,
tendus
à frénésie, Mes vers, les parangons de toute poés
ramme (paysage marin)] [paysage marin] les montagnes aux pentes
tendres
les petites villes maritimes l’attirent il sait q
Port-Vendres Tes yeux étaient les matelots Et comme les flots étaient
tendres
Dans les parages de Palos Que de sous-marins da
té humaine tous les efforts des artistes depuis l’impressionnisme ont
tendu
à retrouver le moyen de se rattacher au grand art
es désirs étaient-ils ces jardins sans limite Où le crapaud module un
tendre
cri d’azur La biche du silence éperdu passait vit
es désirs étaient-ils ces jardins sans limite Où le crapaud module un
tendre
cri d’azur La biche du silence éperdu passait vit
Ces jardins sans limite Où le crapaud module un
tendre
cri d’azur La biche du silence éperdu passe vit
c ce train qui meurt au loin dans les vals et les beaux bois frais du
tendre
été si pâle [ciel] la douce nuit lunaire et plein
c ce train qui meurt au loin dans les vals et les beaux bois frais du
tendre
été si pâle [ciel] la douce nuit lunaire et plein
Rothschild et Torlogne Je soupai d’un peu de foie gras De chevreuil
tendre
à la compote De tartes flancs etc Un peu de kirsc
— Deux fusants — rose éclatement Comme deux seins que l’on dégrafe
Tendent
leurs bouts insolemment IL SUT AIMER. Quelle épit
— Deux fusants — rose éclatement Comme deux seins que l’on dégrafe
Tendent
leurs bouts insolemment IL SUT AIMER. Quelle épit
s et les enchanteurs. Ayant décroché une étoile, Il la manie à bras
tendu
, Tandis que des pieds un pendu Sonne en mesure le
et les enchanteurs ! Ayant décroché une étoile Il la manie, à bras
tendu
, Tandis que des pieds un pendu Sonne en mesure le
. Deux fusants — rose éclatement, comme deux seins que l’on dégrafe
tendent
leurs bouts insolemment. Il sut aimer… Quelle épi
ton con féminin Le sperme tombera comme l’or dans les sluices1. O ma
tendre
putain ! tes fesses ont vaincu De tous les fruits
on c.n féminin Le sperme tombera comme l’or dans les sluices1. O ma
tendre
putain ! tes fesses ont vaincu De tous les fruits
rintemps qui viédaze. Flagellez, flagellez les nuées du coucher Qui
tendent
sans espoir de si jolis culs roses. Et, c’est le
faites, Seigneur, qu’un jour je m’énamoure. J’attends celle qui me
tendra
ses doigts menus. Combien de signes blancs aux on
Et j’ai ri du vieil ange qui n’est point venu De vol très indolent me
tendre
un beau calice. J’ai ri de l’aile grise et j’ôte
s, Laissaient en ses cheveux de longs baisers mouillés. Des émigrants
tendaient
, vers le port, leurs mains lasses Et d’autres, en
Laissaient dans ses cheveux de longs baisers mouillés. Des émigrants
tendaient
, vers le port, leurs mains lasses Et d’autres, en
in de tout voir Poids formidables Villes de Belgique soulevées à bras
tendus
par un ouvrier russe de Longwy Haltères noirs et
tremble Avance et soutiens-moi je regrette les mains De ceux qui les
tendaient
et m’adoraient ensemble Quelle oasis de bras m’ac
t il est inséparable de ce qu’il dévore et fugitif Les fils de fer se
tendent
partout servant de sommier supportant des planche
de tout voir. Poids formidables, Villes de Belgique soulevées à bras
tendu
par un ouvrier russe de Longwy, Haltères noirs et
aisons Qui venaient par les rues traversières les yeux fous Les mains
tendues
vers le mélodieux ravisseur Il s’en allait indiff
t prends l’arc pour tuer l’unicorne ou le gnou L’ombre équivoque et
tendre
est le deuil de ta chair Et sombre elle est humai
prends l’arc pour tuer l’unicorne ou le gnou. L’ombre équivoque et
tendre
est le deuil de ta chair, Et sombre, elle est hum