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1 (1908) Le Lapin « Le Lapin »
voudrais prendre. Sa garenne est parmi le thym Des vallons du pays de Tendre .
2 (1908) Le Cheval « Le Cheval »
Mon destin au char d’or sera ton beau cocher Qui pour brides tiendra, tendus à frénésie, Mes vers, les parangons de toute poés
3 (1917) [Calligramme (paysage marin)] « [Calligramme (paysage marin)] »
ramme (paysage marin)] [paysage marin] les montagnes aux pentes tendres les petites villes maritimes l’attirent il sait q
4 (1916) Voyage (incipit : « Du joli bateau de Port-Vendres ») « Voyage (incipit : « Du joli bateau de Port-Vendres ») »
Port-Vendres Tes yeux étaient les matelots Et comme les flots étaient tendres Dans les parages de Palos Que de sous-marins da
5 (1917) [Calligramme (maison)] « [Calligramme (maison)] »
té humaine tous les efforts des artistes depuis l’impressionnisme ont tendu à retrouver le moyen de se rattacher au grand art
6 (1915) Vers le Sud « Vers le Sud »
es désirs étaient-ils ces jardins sans limite Où le crapaud module un tendre cri d’azur La biche du silence éperdu passait vit
7 (1915) Vers le Sud « Vers le Sud »
es désirs étaient-ils ces jardins sans limite Où le crapaud module un tendre cri d’azur La biche du silence éperdu passait vit
8 (1918) Vers le Sud « Vers le Sud »
                    Ces jardins sans limite Où le crapaud module un tendre cri d’azur La biche du silence éperdu passe vit
9 (1914) Voyage (incipit : « Adieu amour nuage qui ») « Voyage (incipit : « Adieu amour nuage qui ») »
c ce train qui meurt au loin dans les vals et les beaux bois frais du tendre été si pâle [ciel] la douce nuit lunaire et plein
10 (1915) Voyage (incipit : « Adieu amour nuage qui ») « Voyage (incipit : « Adieu amour nuage qui ») »
c ce train qui meurt au loin dans les vals et les beaux bois frais du tendre été si pâle [ciel] la douce nuit lunaire et plein
11 (1914) 1904 « 1904 »
Rothschild et Torlogne Je soupai d’un peu de foie gras De chevreuil tendre à la compote De tartes flancs etc Un peu de kirsc
12 (1915) Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») « Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») »
— Deux fusants — rose éclatement Comme deux seins que l’on dégrafe Tendent leurs bouts insolemment IL SUT AIMER. Quelle épit
13 (1915) Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») « Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») »
— Deux fusants — rose éclatement Comme deux seins que l’on dégrafe Tendent leurs bouts insolemment IL SUT AIMER. Quelle épit
14 (1909) Crépuscule « II. Crépuscule »
s et les enchanteurs. Ayant décroché une étoile, Il la manie à bras tendu , Tandis que des pieds un pendu Sonne en mesure le
15 (1911) Crépuscule (incipit : « Frôlée par les ombres des morts ») « Crépuscule (incipit : « Frôlée par les ombres des morts ») »
et les enchanteurs ! Ayant décroché une étoile Il la manie, à bras tendu , Tandis que des pieds un pendu Sonne en mesure le
16 (1916) Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») « Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») »
. Deux fusants — rose éclatement, comme deux seins que l’on dégrafe tendent leurs bouts insolemment. Il sut aimer… Quelle épi
17 (1910) Sonnet « Sonnet »
ton con féminin Le sperme tombera comme l’or dans les sluices1. O ma tendre putain ! tes fesses ont vaincu De tous les fruits
18 (1910) Sonnet « Sonnet »
on c.n féminin Le sperme tombera comme l’or dans les sluices1. O ma tendre putain ! tes fesses ont vaincu De tous les fruits
19 (1917) Sanglots « Sanglots »
me des conquérants                          Des gouffres de Thulé des tendres cieux d’ Ophir                         Des malade
20 (1902) L'Ermite « L’Ermite »
rintemps qui viédaze. Flagellez, flagellez les nuées du coucher Qui tendent sans espoir de si jolis culs roses. Et, c’est le
faites, Seigneur, qu’un jour je m’énamoure. J’attends celle qui me tendra ses doigts menus. Combien de signes blancs aux on
Et j’ai ri du vieil ange qui n’est point venu De vol très indolent me tendre un beau calice. J’ai ri de l’aile grise et j’ôte
21 (1905) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
s, Laissaient en ses cheveux de longs baisers mouillés. Des émigrants tendaient , vers le port, leurs mains lasses Et d’autres, en
22 (1912) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
Laissaient dans ses cheveux de longs baisers mouillés. Des émigrants tendaient , vers le port, leurs mains lasses Et d’autres, en
23 (1914) Un fantôme de nuées « Un fantôme de nuées »
in de tout voir Poids formidables Villes de Belgique soulevées à bras tendus par un ouvrier russe de Longwy Haltères noirs et
24 (1917) La Victoire « La Victoire »
tremble Avance et soutiens-moi je regrette les mains De ceux qui les tendaient et m’adoraient ensemble Quelle oasis de bras m’ac
25 (1917) Le palais du tonnerre « Le palais du tonnerre »
t il est inséparable de ce qu’il dévore et fugitif Les fils de fer se tendent partout servant de sommier supportant des planche
26 (1913) Un fantôme de nuées « Un fantôme de nuées »
de tout voir. Poids formidables, Villes de Belgique soulevées à bras tendu par un ouvrier russe de Longwy, Haltères noirs et
27 (1914) Le Musicien de Saint-Merry « Le Musicien de Saint-Merry »
aisons Qui venaient par les rues traversières les yeux fous Les mains tendues vers le mélodieux ravisseur Il s’en allait indiff
28 (1911) Le Larron « Le Larron »
t prends l’arc pour tuer l’unicorne ou le gnou L’ombre équivoque et tendre est le deuil de ta chair Et sombre elle est humai
29 (1903) Le Larron « Le Larron »
prends l’arc pour tuer l’unicorne ou le gnou. L’ombre équivoque et tendre est le deuil de ta chair, Et sombre, elle est hum
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