A l’Italie (incipit : « Italie des
temps
passés de tous les temps ») Italie des temps p
A l’Italie (incipit : « Italie des temps passés de tous les
temps
») Italie des temps passés de tous les temps
ncipit : « Italie des temps passés de tous les temps ») Italie des
temps
passés de tous les temps Je
ps passés de tous les temps ») Italie des temps passés de tous les
temps
Je t’aime Autant que tu aima
Je t’aime Autant que tu aimas la beauté des tous les
temps
Mais je t’aime davantage encore Italie qui fais l
Les Saisons C’était un
temps
béni nous étions sur les plages Va-t’en de bon ma
qu’il était artiflot A la guerre C’était un
temps
béni. Les temps du waguemestre On est bien plus s
flot A la guerre C’était un temps béni. Les
temps
du waguemestre On est bien plus serré que dans le
qu’il était artiflot A la guerre C’était un
temps
béni. Jours vagues et nuits vagues Les marmites d
qu’il était artiflot A la guerre C’était un
temps
béni. La guerre continue Les Servants ont limé, l
Les Saisons C’était un
temps
béni nous étions sur les plages Va-t’en de bon ma
qu’il était artiflot A la guerre C’était un
temps
béni. Les temps du vaguemestre On est bien plus s
flot A la guerre C’était un temps béni. Les
temps
du vaguemestre On est bien plus serré que dans le
qu’il était artiflot A la guerre C’était un
temps
béni. Jours vagues et nuits vagues Les marmites d
qu’il était artiflot A la guerre C’était un
temps
béni. La guerre continue Les Servants ont limé, l
Les Saisons C’était un
temps
béni nous étions sur les plages Va-t-en de bon ma
it artiflot A la guerre C’était un
temps
béni Le temps du vaguemestre On était plus serrés
A la guerre C’était un temps béni Le
temps
du vaguemestre On était plus serrés que dans les
it artiflot A la guerre C’était un
temps
béni Jours vagues et nuits vagues Les marmites do
it artiflot A la guerre C’était un
temps
béni La guerre continue Les Servants ont limé la
st morte souviens-t’en Nous ne nous verrons plus sur terre Odeur du
temps
brin de bruyère Et souviens-toi que je t’attends
[horloge] il y en a tant qui fument des cigarettes pour passer le
temps
/ pardonne à celui qui connaît la source neuve et
is Voyageant avec un permis Je tâtai les gibbosités postérieures. O
temps
lointains ! lointaines gares Que le gaz éclairait
r transportait quatre mille cigares. Je lui dressai procès-verbal. Ce
temps
passa. Des noms : Gauguin, Cézanne Me hantaient.
à Juliette Norville Voici le
temps
Madame où parlent les gens d’armes J’en suis et c
nous au ciel Mais cela signifie surtout Qu’il faut être de ce
temps
Pas de Glaive antique Pas de Gla
us au ciel Mais cela signifie surtout Qu’il faut être de ce
temps
Pas de Glaive antique Pa
a vie par le moyen de quelques ombres humaines il n’attend pas que le
temps
donne de l’originalité à ses sensations il est sû
e, Cette dame devint enceinte. Au bout d’un certain
temps
, l’un des juifs à Paris S’en fut négocier des dia
et je vais bien Mais je suis si vieux que je me demande Si verrai le
temps
des lucioles Tabaquin tiens tes deux sous C’est
Sera aussi monstrueuse que la guerre O
temps
de la tyrannie
près de moi Souvenirs de mes compagnons morts à la guerre L’olive du
temps
Souvenirs qui n’en faites plus qu’un Comme cent f
venir d’elles Ainsi que les loups étaient doux Mais aujourd’hui les
temps
sont pires Les loups sont tigres devenus Et les S
lons explorer la Bonté contrée énorme où tout se tait Il y a aussi le
temps
qu’on peut chasser ou faire revenir Pitié pour no
nte Et ma jeunesse est morte ainsi que le printemps O Soleil c’est le
temps
de la Raison ardente Et j’at
’en vont, je demeure. Passent les jours et passent les semaines, Ni
temps
passé, ni les amours reviennent ; Sous le pont Mi
quoi Le Rire aux Eclats Est une idée exquise et crâne Et naguère, au
temps
des lilas L’Eclat tempêta sous mon crâne. J’en
our, Un jour je m’attendais moi-même, Je me disais, Guillaume, il est
temps
que tu viennes Pour que je sache enfin celui-là q
res. Un jour je m’attendais moi-même. Je me disais, Guillaume, il est
temps
que tu viennes, Et d’un lyrique pas s’avançaient
parus moi-même Qu’ont formé tous les corps et les choses humaines.
Temps
passés, trépassés, les dieux qui me formâtes Je n
ussi Et rien ne sera libre jusqu’à la fin des
temps
Laissons tout aux morts
devenues des comètes Ces danseuses surdorées appartiennent à tous les
temps
et à toutes les races Elles accouchent brusquemen
tes les races Elles accouchent brusquement d’enfants qui n’ont que le
temps
de mourir Comme c’est beau toutes ces fusées Mais
rons en vain de prendre du repos On commencera à minuit Quand on a le
temps
on a la liberté Bigorneaux bottes multiples solei
rons en vain de prendre du repos On commencera à minuit Quand on a le
temps
on a la liberté Bigorneaux Lottes Multiples Solei
bre blanc, issu du Pentélique, On sculptera ta face, orgueil de notre
temps
. Or sus ! que l’on se lève et qu’on choque les
passé était vrai et tout ce qu’elle M’a annoncé s’est vérifié dans le
temps
qu’elle indiquait J’ai connu un sciomancien mais
ont-elles, mes pentecôtes, Pour mes pensées de tous pays, de tous les
temps
? Guillaume Apollinaire.
ù sont-elles mes pentecôtes Pour mes pensées de tous pays de tous les
temps
as oublié la danse, Ces morts et ces mortes ! On buvait aussi, Et, de
temps
à autre, une cloche Annonçait qu’un nouveau tonne
jeune morte : — Voici le gage de mon amour, De nos fiançailles. Ni le
temps
, ni l’absence Ne nous feront oublier nos promesse
as oublié la danse, Ces morts et ces mortes : On buvait aussi, Et, de
temps
à autre, une cloche Annonçait qu’un nouveau tonne
a jeune morte : Voici le gage de mon amour, De nos fiançailles. Ni le
temps
, ni l’absence Ne nous feront oublier nos promesse
chemins de fer Seront démodés et abandonnés dans peu de
temps
Regarde La victo
mour de l’antique Le goût de l’anticaille Soit venu aux hommes dès le
temps
des cavernes Tout y était si précieux et si neuf
omme si tu ne devais jamais plus être aimé Si tu vivais dans l’ancien
temps
tu entrerais dans un monastère Et vous avez honte
mour à vingt et à trente ans J’ai vécu comme un fou et j’ai perdu mon
temps
Tu n’oses plus regarder la croix et à tous moment
omme si tu ne devais jamais plus être aimé Si tu vivais dans l’ancien
temps
tu entrerais dans un monastère Et vous avez honte
mour à vingt et à trente ans J’ai vécu comme un fou et j’ai perdu mon
temps
Tu n’oses plus regarder la croix et à tous moment
e sans la défendre les efforts qu’on fait pour la détruire Puis les
temps
sont venus les tombes se sont ouvertes Les fantô
divinement. Et je souris des êtres que je n’ai pas créés. Mais si le
temps
venait, où l’ombre enfin solide Se multipliait en
les heures tombaient parfois comme les feuilles Du cep lorsqu’il fut
temps
j’entendis la prière Qui joignait la limpidité de
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