je transporte et que j’adore De vives mains et même feu Ce passé, ces
têtes
de morts. Flamme, je fais ce que tu veux. Le ga
res dans leurs haras Et des grandes plaintes végétales. Où sont ces
têtes
que j’avais ? Où est le Dieu de ma jeunesse ? L’a
plaine ont poussé des flammes, Nos cœurs pendent aux citronniers, Les
têtes
coupées qui m’acclament Et les astres qui ont sai
coupées qui m’acclament Et les astres qui ont saigné Ne sont que des
têtes
de femmes, Le fleuve épinglé sur la ville T’y f
dans l’arbre Et du double fétiche de la fécondité Plus tard une
tête
coupée Au bord d’un marécage O pâleur de mo
pée Au bord d’un marécage O pâleur de mon ennemi C’était une
tête
d’argent Et dans le marais C’était la lun
Et dans le marais C’était la lune qui luisait C’était donc une
tête
d’argent Là-haut c’était la lune qui dansait
d’argent Là-haut c’était la lune qui dansait C’était donc une
tête
d’argent Et moi dans l’ombre j’étais invisible
argent Et moi dans l’ombre j’étais invisible C’était donc une
tête
de nègre dans la nuit profonde Similitudes pâl
dans l’arbre Et du double fétiche de la fécondité Plus tard une
tête
coupée Au bord d’un marécage O pâleur de mo
pée Au bord d’un marécage O pâleur de mon ennemi C’était une
tête
d’argent Et dans le marais C’était la lun
Et dans le marais C’était la lune qui luisait C’était donc une
tête
d’argent Là-haut c’était la lune qui dansait
d’argent Là-haut c’était la lune qui dansait C’était donc une
tête
d’argent Et moi dans l’ombre j’étais invisible
argent Et moi dans l’ombre j’étais invisible C’était donc une
tête
de nègre dans la nuit profonde Similitudes pâl
je transporte et que j’adore De vives mains et même feu Ce passé, ces
têtes
de morts. Flamme, je fais ce que tu veux. Le ga
aures dans leurs haras Et des grand plaintes végétales. Où sont ces
têtes
que j’avais ? Où est le Dieu de ma jeunesse ? L’a
plaine ont poussé des flammes, Nos cœurs pendent aux citronniers, Les
têtes
coupées qui m’acclament Et les astres qui ont sai
coupées qui m’acclament Et les astres qui ont saigné Ne sont que des
têtes
de femmes. Le fleuve épinglé sur la ville T’y f
voici le spectacle Et pour toujours je suis assis dans un fauteuil Ma
tête
, mes genoux, mes coudes, vain pentacle Les flamme
je transporte et que j’adore De vives mains et même feu Ce passé, ces
têtes
de morts. Flamme, je fais ce que tu veux. Le ga
aures dans leurs haras Et des grand plaintes végétales. Où sont ces
têtes
que j’avais ? Où est le Dieu de ma jeunesse ? L’a
plaine ont poussé des flammes, Nos cœurs pendent aux citronniers, Les
têtes
coupées qui m’acclament Et les astres qui ont sai
coupées qui m’acclament Et les astres qui ont saigné Ne sont que des
têtes
de femmes. Le fleuve épinglé sur la ville T’y f
voici le spectacle Et pour toujours je suis assis dans un fauteuil Ma
tête
, mes genoux, mes coudes, vain pentacle. Les flamm
Plongeon Pique une
tête
pour pêcher les perles du fleuve Dit vert, qui
laient quatre bombardiers Ils étaient couverts de poussière Depuis la
tête
jusqu’aux pieds. Ils regardaient la vaste plain
e amazone, un concombre des grappes de raisin, un profil d’homme à la
tête
bandée une femme nue qui rêve des chevaux à l’écu
Tristesse d’une étoile Une belle Minerve est l’enfant de ma
tête
Une étoile de sang me couronne à jamais La raison
Qui ne parlait que de théâtre La Kellnerine rousse avait Mis sur sa
tête
un chapeau rose Comme Hébé que les dieux servait
oses mourir d’espérance — Il songe aux roses de Saadi Et soudain sa
tête
se penche Car une rose lui redit La molle courb
oses mourir d’espérance — Il songe aux roses de Saadi Et soudain sa
tête
se penche Car une rose lui redit La molle cour
oses mourir d’espérance. Il songe aux roses de Saadi… Et soudain sa
tête
se penche, car une rose lui redit la molle courbe
est presque endormi dans la lumière parfumée Un prêtre a le casque en
tête
La bouteille champenoise est-elle ou non une arti
sous les quinconces. Ne pleure pas, ô joli fou du roi ; Prends cette
tête
au lieu de ta marotte et danse. N’y touchez pas ;
sous les quinconces. Ne pleure pas, ô joli fou du roi ; Prends cette
tête
au lieu de ta marotte et danse. N’y touchez pas ;
sous les quinconces. Ne pleure pas, ô joli fou du roi ; Prends cette
tête
au lieu de ta marotte et danse. N’y touchez pas ;
oici le spectacle Et pour toujours je suis assis dans un fauteuil. Ma
tête
, mes genoux, mes coudes, vain pentacle Les flamme
vos ailes d’anges, Et, j’écoutai ces cœurs rivaux. * Une arme, ô ma
tête
inquiète ! J’agite un feuillard défleuri Pour éca
e vos ailes d’anges, Et j’écoutai ces chœurs rivaux. Une arme, ô ma
tête
inquiète ! J’agite un feuillard défleuri Pour éca
sse… « La veilleuse dans l’ombre est un bijou d’or cuit. « Pendez vos
têtes
aux patères par les tresses. « Le ciel presque no
ur baisse La veilleuse dans l’ombre est un bijou d’or cuit Pendez vos
têtes
aux patères par les tresses Le ciel presque noctu
yagé Ayant vu la guerre dans l’Artillerie et l’Infanterie Blessé à la
tête
trépané sous le chloroforme Ayant perdu ses meill
rangés Dans le couchant puis au bout de l’an des dieux Regarde la
tête
géante et immense la main verte L’argent sera v
s chic et fournisseur du roi. Ce commerçant venait de couper quelques
têtes
De mannequins vêtus comme il faut qu’on se vête.
s chic et fournisseur du roi. Ce commerçant venait de couper quelques
têtes
De mannequins vêtus comme il faut qu’on se vête.
ux villes, à mon amour. Il ressemble aux saisons, Il vit décapité, sa
tête
est le soleil Et la lune, son cou tranché. Je vou
astres intacts sont mes maîtres sans épreuve. La bête des fumées a la
tête
fleurie ; Et le monstre le plus beau, Ayant la sa
Ou mauves encore ou bleu comme les autres Ou déteints Venez le pot en
tête
Debout fusée éclairante Danse grenadier en agitan
gardai longtemps Son visage m’échappe entièrement C’est un homme sans
tête
Un autre enfin avait l’air d’un voyou D’un apache
rûlent devant moi Comme deux femmes qui rient Je courbe tristement la
tête
Devant l’ardente moquerie Ce rire se r
craie Sur la planche brillent des fusées détonateurs joyaux dorés à
tête
émaillée Funambules qui attendent leur tour de pa
jà, Baisse ta deuxième paupière, la terre t’éblouit Quand tu lèves la
tête
. Et moi aussi de près, je suis sombre et terne,
rdai longtemps. Son visage m’échappe entièrement, C’est un homme sans
tête
. Un autre enfin avait l’air d’un voyou, D’un ap
comme Jésus monte dans l’air Les diables dans les abîmes lèvent la
tête
pour le regarder Ils disent qu’il imite Simon Mag
t les poètes Plane tenant dans les serres le crâne d’Adam la première
tête
L’aigle fond de l’horizon en poussant un grand cr
comme Jésus monte dans l’air Les diables dans les abîmes lèvent la
tête
pour le regarder Ils disent qu’il imite Simon Mag
t les poètes Plane tenant dans les serres le crâne d’Adam la première
tête
L’aigle fond de l’horizon en poussant un grand cr
cette femme, Je lui dirai : « Je suis content ! » … Mon cœur et ma
tête
se vident, Tout le ciel s’écoule par eux ; O mes
ébris qui vous rouillez partout O frères d’ITALIE vos plumes sur la
tête
ITALIE
avec du lait de vache, O crâne dont j’ai peur en mon âme bravache ! O
tête
, j’ai baisé tes dents comme un amant. Entendez-
s ô douleur Un enfant regarde les fenêtres s’ouvrir Et des grappes de
têtes
à d’ivres oiseaux s’offrir Les villes du Midi r
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