on dit merveilleux ne vient pas jusqu’ici LUL on les aura faire
suivre
route transparente France (Ulysse que de jours
on dit merveilleux ne vient pas jusqu’ici LUL on les aura faire
suivre
route transparente France (Ulysse que de jours
Longtemps au pied du perron de La maison où entra la dame Que j’avais
suivie
pendant deux Bonnes heures à Amsterdam Mes doigts
villages sans églises. Et les enfants s’en vont devant, Les autres
suivent
en rêvant ; Chaque arbre fruitier se résigne Quan
ntale, Les mains des Amantes d’antan jonchent ton sol ; Une Épouse me
suit
, c’est mon Ombre fatale, Les Colombes, ce soir, p
entale, Les mains des amantes d’antan jonchent ton sol, Une épouse me
suit
, c’est mon ombre fatale, Les colombes, ce soir, p
e Revint sur ses pas marcha jusqu’à la rue de la Verrerie Où il entra
suivi
par la troupe des femmes Qui sortaient des maison
vivait et variait Le cortège des femmes long comme un jour sans pain
Suivait
dans la rue de la Verrerie l’heureux musicien C
outes les rues avoisinantes Et se hâtaient raides comme balle Afin de
suivre
le musicien Ah! Ariane et toi Pâquette et toi Ami
ien Et sa musique qui s’éloignait devint langoureuse Et les femmes le
suivirent
dans la maison abandonnée Et toutes y entrèrent c
e un cheval pif Un trou d’obus propre comme une salle de bains Berger
suivi
de son troupeau mordoré Mais où est un [cœur] et
e un cheval pif Un trou d’obus propre comme une salle de bains Berger
suivi
de son troupeau mordoré Mais où est un [cœur] et
fleuve, lentement, Un ours, un singe, un chien menés par des tsiganes
Suivaient
une roulotte traînée par un âne, Tandis que s’élo
re, Et le regard qu’il me jeta Me fit baisser les yeux de honte. Je
suivis
ce mauvais garçon Qui sifflotait, mains dans les
isseaux de Chanaan Et des corps blancs des amoureuses, Nageurs morts,
suivrons
-nous d’ahan Ton cours vers d’autres nébuleuses ?
sants aux pieds boueux La pluie les pique de ses aiguilles le sac les
suit
Fantassins marchantes mottes de terre Vous êtes l
isseaux de Chanaan Et des corps blancs des amoureuses, Nageurs morts,
suivrons
-nous d’ahan Ton cours vers d’autres nébuleuses ?
dans la nuit profonde Similitudes pâleurs Et ma sœur plus tard
Suivit
un tirailleur Mort à Arras Si je vou
dans la nuit profonde Similitudes pâleurs Et ma sœur plus tard
Suivit
un tirailleur Mort à Arras Si je vou
temps de la Raison ardente Et j’attends Pour la
suivre
toujours la forme noble et douce Qu’elle prend af
isseaux de Chanaan Et des corps blancs des amoureuses, Nageurs morts,
suivrons
-nous d’ahan Ton cours vers d’autres nébuleuses ?
sur les terrasses Puis ayant pris leur vol vers le brûlant soleil Les
suivirent
dans l’onde où s’enfoncent les astres Lorsque la