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1 (1911) Cortège « Cortège »
es autres. Je les connais par les cinq sens et quelques autres. Il me suffit de voir leurs pieds pour pouvoir refaire ces gens
ure, Une lettre écrite par ceux qui ont vingt ans et au-dessus. Il me suffit de sentir l’odeur de leurs églises, L’odeur des f
jardins publics, L’odeur d’un petit chien, ô Corneille Agrippa, m’eût suffi Pour décrire exactement tes concitoyens de Cologn
e ursuline Qui t’inspirait l’erreur touchant toutes les femmes. Il me suffit de goûter la saveur du laurier qu’on cultive Pour
ne pas douter si l’on est frileux ou non O gens que je connais, Il me suffit d’entendre le bruit de leurs pas Pour pouvoir ind
s Pour pouvoir indiquer à jamais la direction qu’ils ont prise. Il me suffit de tous ceux-là pour me croire le droit De ressus
2 (1913) Le Brasier - II « Le Brasier »
ntercis flambent auprès de moi, Éloignez du brasier les ossements, Je suffis pour l’éternité à entretenir le feu de mes délice
3 (1913) Lundi rue Christine « Lundi rue Christine »
aisseront tout passer Si tu es un homme tu m’accompagneras ce soir Il suffirait qu’un type maintint la porte cochère Pendant que
4 (1903) Avenir « Avenir »
bienheureux humains, Paisibles et très purs car les lacs et les mers, Suffiront bien à effacer le sang des mains. Guillaume Apol
5 (1907) Le Pyrée « Le Pyrée »
es intercis flambent auprès de moi Eloignez du pyrée les ossements Je suffis pour l’éternité à entretenir le feu de mes délice
6 (1912) Le Brasier « Le Brasier »
ntercis flambent auprès de moi, Eloignez du brasier les ossements, Je suffis pour l’éternité à entretenir le feu de mes délice
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