es autres. Je les connais par les cinq sens et quelques autres. Il me
suffit
de voir leurs pieds pour pouvoir refaire ces gens
ure, Une lettre écrite par ceux qui ont vingt ans et au-dessus. Il me
suffit
de sentir l’odeur de leurs églises, L’odeur des f
jardins publics, L’odeur d’un petit chien, ô Corneille Agrippa, m’eût
suffi
Pour décrire exactement tes concitoyens de Cologn
e ursuline Qui t’inspirait l’erreur touchant toutes les femmes. Il me
suffit
de goûter la saveur du laurier qu’on cultive Pour
ne pas douter si l’on est frileux ou non O gens que je connais, Il me
suffit
d’entendre le bruit de leurs pas Pour pouvoir ind
s Pour pouvoir indiquer à jamais la direction qu’ils ont prise. Il me
suffit
de tous ceux-là pour me croire le droit De ressus