vée Il retrouve dans sa mémoire La boucle de cheveux châtains T’en
souvient
-il à n’y point croire De nos deux étranges destin
s Du boulevard de la Chapelle Du joli Montmartre et d’Auteuil Je me
souviens
murmure-t-elle Du jour où j’ai franchi ton seuil
j’ai franchi ton seuil Il y tomba comme un automne La boucle de ton
souvenir
Et notre destin qui t’étonne Se joint au jour qui
Madeleine Dans le village arabe [étoile] Des
Souvenirs
[cœur] mais il y a d’autres chansons moins douces
ons moins douces [lettre, autour d’une croix] Bonjour mon poète Je me
souviens
de votre voix de votre voix Votre petite Fée Ph
Madeleine Dans le village arabe [étoile] Des
Souvenirs
[cœur] mais il y a d’autres chansons moins douces
ons moins douces [lettre, autour d’une croix] Bonjour mon poète Je me
souviens
de votre voix de votre voix Votre petite Fée Ph
Et de tous ces regrets, de tous ces repentirs Te
souviens
-tu ? Vagues, poissons arqués, fleurs surmarines
! Une nuit, c’était la mer Et les fleuves s’y répandaient. Je m’en
souviens
, je m’en souviens encore. Un soir je descendis
it la mer Et les fleuves s’y répandaient. Je m’en souviens, je m’en
souviens
encore. Un soir je descendis dans une auberge t
un hérisson, L’on jouait aux cartes, Et toi, tu m’avais oublié. Te
souviens
-tu du long orphelinat des gares ? Nous trouvâmes
de l’alcool, Les villes que j’ai vues vivaient comme des folles Te
souviens
-tu des banlieues et du troupeau plaintif des pays
e claire. Qui donc reconnais-tu sur ces vieilles photographies ? Te
souviens
-tu du jour où une abeille tomba dans le feu ? C
iens-tu du jour où une abeille tomba dans le feu ? C’était, tu t’en
souviens
, à la fin de l’été. Deux matelots qui ne s’étai
1890 l’X Toutes les femmes de 45 à 50 ans se
souviennent
d’avoir été amoureuses de Capoul M. CAPUS Et de b
us ne nous verrons plus sur terre Odeur du temps brin de bruyère Et
souviens
-toi que je t’attends
ritimes l’attirent il sait qu’il y a encore bien des felouques et son
souvenir
s’accroche à la proue des polacres de la Méditerr
Ombre Vous voilà de nouveau près de moi
Souvenirs
de mes compagnons morts à la guerre L’olive du te
de moi Souvenirs de mes compagnons morts à la guerre L’olive du temps
Souvenirs
qui n’en faites plus qu’un Comme cent fourrures n
us verrons plus sur terre. » — « J’ai mis sur mon cœur la bruyère, Et
souviens
-toi que je t’attends. »
’élève Voici les dédains du regret Tout écorché comme une fraise Le
souvenir
et le secret Dont il ne reste que la braise
lorentin Alberto Magnelli dont le goût est sûr comme l’amitié Cordial
Souvenir
de Guillaume Apollinaire maréchal des logis à la
l pleut des voix de femmes comme si elles étaient mortes même dans le
souvenir
c’est vous aussi qu’il pleur merveilleuses rencon
onstellé un bombardement un matin à New York les lucioles et tous les
souvenirs
O quel bonheur que ce bleu ne soit pas mort encor
assons, passons, puisque tout passe, Je me retournerai souvent. Les
souvenirs
sont cors de chasse Dont meurt le bruit parmi le
Souvenir
des Flandres J’ai goûté sur la dune où Dante a
les Flandres, Grands ports que chaque nuit colorent les fanaux, Je me
souviens
de vous, eaux vertes des canaux Où glissent lente
is tu vois des êtres qui vont exister qui se préparent [soldat] je me
souviens
de la Provence du danseur du Nord Hélas où est to
J’écris seulement pour vous exalter O sens ô sens chéris Ennemis du
souvenir
Ennemis du désir Ennemis du regret Ennemis des la
Poème sans titre (incipit : « Tu te
souviens
, Rousseau, du paysage astèque ») Tu te souvien
(incipit : « Tu te souviens, Rousseau, du paysage astèque ») Tu te
souviens
, Rousseau, du paysage astèque, Des forêts où pous
Les mouvements du monde Les
souvenirs
s’en vont Comme un bateau sur
sont les petits toutous Et les soldats amants des belles Galamment en
souvenir
d’elles Ainsi que les loups étaient doux Mais a
: le douanier, Je ne suis pas, des peintres, le dernier. Or, dans mon
souvenir
, une fenêtre S’est ouverte. Je viens de reconnaît
de Amaro vous savez que je vous aime bien Pâques Je me
souviens
de l’émotion sublime qui nous gagna tous A la lec
r Sa superbe virilité Qui semblait un petit enfant Je me
souviens
du si délicat si inquiétant Fétiche dans l’arb
es bobosses Sous la tempête de feux métalliques Je me
souviens
d’un lac affreux Une nuit folle
r Sa superbe virilité Qui semblait un petit enfant Je me
souviens
du si délicat si inquiétant Fétiche dans l’arb
les bobosses Sous la tempête de feux métalliques Je me
souviens
d’un lac affreux Une nuit folle
us le pont Mirabeau coule la Seine. Et nos amours, faut-il qu’il m’en
souvienne
? La joie venait toujours après la peine.
Pâques Comment réussissent-ils à avoir du crin gris perle Je me
souviens
de l’émotion sublime qui nous gagna tous A la lec
t avec l’aube Sont désormais pour moi La mesure de l’art D’après leur
souvenir
Je jugerai Mes vers les arts Plastiques et toi-mê
droite Souviens-t’en cher orgueil de tous ces
souvenirs
Des marins qui chantaient
trop vieille image, mot délicieux. Le paysage fuit et sans qu’il m’en
souvienne
, O train joyeux, quel bruit tu mènes
nes comme du pain béni Que la mariée soit soûle comme une grive Je me
souviens
Amour que votre règne arrive On ne respire plus B
enne la croise * * * Tes seins sont les seuls obus que j’aime Ton
souvenir
est la lanterne de repérage qui nous sert à point
etour enfin Dans sa patrie, le sage Ulysse, Son vieux chien de lui se
souvint
; Près d’un tapis de haute lisse Sa femme attenda
ts, suivrons-nous d’ahan Ton cours vers d’autres nébuleuses ? Je me
souviens
d’une autre année, C’était l’aube d’un jour d’avr
petit mur Ou lisions l’inscription d’une pierre mise A cette place en
souvenir
d’un meurtre et sur Laquelle bien souvent tu t’es
rveau, Mes beaux rêves morts-nés en tranches bien saignantes, Et, mes
souvenirs
faisandés en godiveaux. Or, ces pensées mortes
nom de Dieu quelle allure cependant que la nuit descend [Notre-Dame]
souvenirs
de Paris avant la guerre ils seront bien plus dou
Et si nous revenons, Dieu ! que de
souvenirs
!… Je
Et si nous revenons, Dieu ! que de
souvenirs
!… Je
n cerveau Mes beaux rêves mort-nés en tranches bien saignantes Et mes
souvenirs
faisandés en godiveaux Or ces pensées mortes de
ntil Rousseau Les mouvements du monde Les
souvenirs
s’en vont Comme un bateau sur l’onde
dre Des Arlequines jouent dans le rose et bleus d’un beau-ciel Ce
souvenir
revit les rêves et les actives mains Orient p
a Tu ne connaîtras jamais bien les Mayas [deuxième image] Te
souviens
-tu du tremblement de terre entre 1885 et 1890 on
Cette beauté que j’imagine Faute d’avoir des
souvenirs
Tire de vous son origine
paroles Qui changent la face des enfants et je dis toutes ces choses,
Souvenir
et avenir, parce que mon ami André Salmon se mari
utaient pas De ce qui s’était passé, Mais les vivants en gardaient le
souvenir
. C’était un bonheur inespéré Et si certain Qu’ils
u’on en arrive Dans les glaciers de la mémoire A se confondre avec le
souvenir
. On est fortifié pour la vie Et l’on n’a plus bes
utaient pas De ce qui s’était passé, Mais les vivants en gardaient le
souvenir
. C’était un bonheur inespéré Et si certain Qu’ils
u’on en arrive Dans les glaciers de la mémoire A se confondre avec le
souvenir
. On est fortifié pour la vie Et l’on n’a plus bes
aint-Claude Tes joues étaient une pure émeraude Je me
souviens
de toi ville des météores Ils fleurissaient en l’
s des cravates bleues des vareuses bleues Morceaux du ciel tissus des
souvenirs
les plus purs Et il flotte parfois en l’air de va
aris les femmes sont ensanglantées C’était et je voudrais ne pas m’en
souvenir
c’était au déclin de la beauté Entourée de flam
nt de Leyde On y loue des chambres en latin Cubicula locanda Je m’en
souviens
j’y ai passé trois jours et autant à Gouda Tu e
is les femmes sont ensanglantées C’était et je voudrais ne pas m’en
souvenir
c’était au déclin de la beauté Entourée de flamm
ant de Leyde On y loue des chambres en latin Cubicula locanda Je m’en
souviens
j’y ai passé trois jours et autant à Gouda Tu e
L’amour est mort, j’en suis tremblant, J’adore de belles idoles : Les
souvenirs
lui ressemblant ; Comme la femme de Mausole Je re
l’électricité en bâton Je pense à toi pays des 2 volcans Je salue le
souvenir
des sirènes et des scylles mortes au moment de Me
Vendémiaire Hommes de l’avenir
souvenez
-vous de moi Je vivais à l’époque où finissaient l
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