ellect On dira beaucoup de prières Pour l’œil un volatile infect Naît soudain œufs tricentenaires Des noms le mien et celui q

arrêt Des roses mourir d’espérance — Il songe aux roses de Saadi Et soudain sa tête se penche   Car une rose lui redit La mol

arrêt Des roses mourir d’espérance — Il songe aux roses de Saadi Et soudain sa tête se penche    Car une rose lui redit La mo

rêt — des roses mourir d’espérance. Il songe aux roses de Saadi… Et soudain sa tête se penche, car une rose lui redit la moll

passé, ces têtes de morts. Flamme, je fais ce que tu veux. Le galop soudain des étoiles N’étant que ce qui deviendra Se mêle

t sans chapeau Et vite comme va la langue d’un crapaud Se décollaient soudain et collaient les collages                As-tu

t sans chapeau Et vite comme va la langue d’un crapaud Se décollaient soudain et collaient les collages                As-tu

on chevaux barbes mais barbelés                  Et je les anime tout soudain            En troupeau de jolis chevaux pies Qui

de vivant, Contre le mont passèrent des ombres vivaces, De profil ou soudain tournant leurs vagues faces Et tenant l’ombre de

passé, ces têtes de morts. Flamme, je fais ce que tu veux. Le galop soudain des étoiles N’étant que ce qui deviendra. Se mêle

            Leur beauté s’éloignera d’elles                O lueurs soudaines des tirs                Cette beauté que j’imagin

passé, ces têtes de morts. Flamme, je fais ce que tu veux. Le galop soudain des étoiles N’étant que ce qui deviendra Se mêle

’orgueil des cataclysmes, Le soleil en dansant remuait son nombril Et soudain le printemps d’amour et d’héroïsme Amena par la m

ue l’ombre Que jettent des oiseaux les ailes éployées La parole est soudaine et c’est un dieu qui tremble Avance et soutiens-m

oisie Exposée et vêtue le mieux possible En attendant la sépulture. Soudain , Rapide comme ma mémoire, Les yeux se rallumèrent

oisie Exposée et vêtue le mieux possible En attendant la sépulture, Soudain , Rapide comme ma mémoire. Les yeux se rallumèrent

ux ouverts Errer au site où l’hydre a sifflé et hiver Et j’entendis soudain ta voix impérieuse O Rome Maudire d’un seul coup