ac Les feux mourants du bivouac Éclairent des formes de rêve Et le songe dans l’entrelac Des branches lentement s’élève

                           ô Madeleine Je t’aime avec délices Si je songe à tes yeux je songe aux sources fraîches Si je pe

       ô Madeleine Je t’aime avec délices Si je songe à tes yeux je songe aux sources fraîches Si je pense à ta bouche les

urces fraîches Si je pense à ta bouche les roses m’apparaissent Si je songe à tes seins le Paraclet descend                  

Etoile Je songe à Gaspard ce n’est certainement pas Son vrai nom

s plus que l’or de la paille ne s’est terni Regardons l’abeille Et ne songeons pas à l’avenir Regardons nos mains Qui sont la

ence Son révolver au cran d’arrêt Des roses mourir d’espérance — Il songe aux roses de Saadi Et soudain sa tête se penche  

ence Son révolver au cran d’arrêt Des roses mourir d’espérance — Il songe aux roses de Saadi Et soudain sa tête se penche  

e — son revolver au cran d’arrêt — des roses mourir d’espérance. Il songe aux roses de Saadi… Et soudain sa tête se penche,

s pour rentrer dans Ithaque —             Couche-toi sur la paille et songe un beau remords        Qui pur effet de l’art, so

s pour rentrer dans Ithaque —             Couche-toi sur la paille et songe un beau remords        Qui pur effet de l’art, so

ue de jours pour rentrer dans Ithaque   — Couche-toi sur la paille et songe un beau remords Qui par effet de l’art soit aphro

jours pour rentrer dans Ithaque ! — Couche-toi sur la paille & songe un beau remords qui, pur effet de l’art, soit aph

flatte de la main le petit canon gris Gris comme l’eau de Seine et je songe à Paris Mais ce pâle blessé m’a dit à la cantin

        ça barde en ce moment… 105 et 305… le beau bombardement !… Je songe au mois de mars, à vous, à la tour Magne… (Où est

        Ça barde en ce moment… 105 et 305… le beau bombardement !… Je songe au mois de mars, à vous, à la tour Magne… (Où est

es yeux ravis, Foulant aux pieds sous les gibets les mandragores Sans songer aux blessés, sans regretter les vies. Il y aura

lés d’osier Auprès des canons gris voilés tournés vers le nord Que je songe au village africain   Où l’on dansait où l’on cha

lés d’osier Auprès des canons gris voilés tournés vers le nord Que je songe au village africain   Où l’on dansait où l’on cha

a forêt là-bas Grâce au vent chantait à voix grave de grand orgue. Le songe , Herr Traum survint avec sa sœur, Frau Sorge : « 

des plumes bleues La danse des   dix mouches   lui fait face quand il songe à toi Le cadre bleu   tandis que   l’air agile s’

immobile                Qui sait où serait mon chemin                 Songe que les chemins de fer              Seront démodé

ien abrité dans l’hypogée que j’ai creusé moi-même C’est à toi que je songe ITALIE mère de mes pensées Et dejà quand von Kl