vient aussi nos ombres Que la nuit dissipera, Le soleil qui les rend
sombres
Avec elles disparaîtra. Les déités des eaux viv
: trois fois 3 ; 69 : dualité, trinité. Et ces arcanes seraient plus
sombres
Mais j’ai peur de les sonder ; Qui sait si là n’e
Je t’avais crue si blanche et tu es noire hélas ! O toi géhenn e
sombre
ô toi nuit sans étoile L’amour a incanté mes ye
ttant Parmi les troupes de méduses violettes. L’heur des fuites est
sombre
et violet d’effroi. Tant de gemmes tombaient du m
de blessures ne font qu’un article de journal Apparence impalpable et
sombre
qui avez pris La forme changeante de mon ombre Un
Et vomissaient la nuit le soleil des journées. O matelots, ô femmes
sombres
, et vous, mes compagnons
angoureux et toujours irrité Et le bruit éternel d’un fleuve large et
sombre
Mais tandis que, mourants, roulaient vers l’est
a la fenêtre Briller sous le soleil Les caps aux feuillages
sombres
des pins et des oliviers Et plus prè
écidément je ne respecte aucune gloire Nuit violente et violette et
sombre
et pleine d’or par moments Nuit des hommes seulem
écidément je ne respecte aucune gloire Nuit violente et violette et
sombre
et pleine d’or par moments Nuit
semblait un archipel, Des femmes demandaient l’amour et la dulie, Et
sombre
, sombre fleuve, je me rappelle Les ombres qui pas
un archipel, Des femmes demandaient l’amour et la dulie, Et sombre,
sombre
fleuve, je me rappelle Les ombres qui passaient n
rre t’éblouit Quand tu lèves la tête. Et moi aussi de près, je suis
sombre
et terne, Une brume qui vient d’obscurcir les lan
ou le gnou L’ombre équivoque et tendre est le deuil de ta chair Et
sombre
elle est humaine et puis la nôtre aussi Va-t’en l
u le gnou. L’ombre équivoque et tendre est le deuil de ta chair, Et
sombre
, elle est humaine et puis la nôtre aussi. Va-t’en
la vendange de l’aube Un soir passant le long des quais déserts et
sombres
En rentrant à Auteuil j’entendis une voix Qui cha
s de ton rire dorent le fond de ta vie C’est un tableau pendu dans un
sombre
musée Et quelquefois tu vas le regarder de près
s de ton rire dorent le fond de ta vie C’est un tableau pendu dans un
sombre
musée Et quelquefois tu vas le regarder de près