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1 (1909) Chanson « Chanson ») »
sur la tombe,                 O folle ! ô fou ! Le romarin en touffes sombres ,                     Laïtou ! [Louise Lalanne.]
2 (1912) Clotilde « Clotilde »
vient aussi nos ombres Que la nuit dissipera, Le soleil qui les rend sombres Avec elles disparaîtra. Les déités des eaux viv
3 (1914) 696666---69---- « 696666---6 9---- »
 : trois fois 3 ; 69 : dualité, trinité. Et ces arcanes seraient plus sombres Mais j’ai peur de les sonder ; Qui sait si là n’e
4 (1914) Le son du Cor « Le son du Cor »
Je t’avais crue si blanche et tu es noire hélas ! O toi géhenn e sombre ô toi nuit sans étoile L’amour a incanté mes ye
5 (1902) La Fuite « La Fuite »
ttant Parmi les troupes de méduses violettes. L’heur des fuites est sombre et violet d’effroi. Tant de gemmes tombaient du m
6 (1917) Ombre « Ombre »
de blessures ne font qu’un article de journal Apparence impalpable et sombre qui avez pris La forme changeante de mon ombre Un
7 (1912) Le Voyageur « Le Voyageur »
Et vomissaient la nuit le soleil des journées. O matelots, ô femmes sombres , et vous, mes compagnons                         
angoureux et toujours irrité Et le bruit éternel d’un fleuve large et sombre Mais tandis que, mourants, roulaient vers l’est
8 (1915) Le Repas « Le Repas »
a la fenêtre           Briller sous le soleil Les caps aux feuillages sombres des pins et des oliviers              Et plus prè
9 (1916) Le Désir « Désir »
écidément je ne respecte aucune gloire Nuit violente et violette et sombre et pleine d’or par moments Nuit des hommes seulem
10 (1917) Désir « Désir »
écidément je ne respecte aucune gloire Nuit violente et violette et sombre et pleine d’or par moments                   Nuit
11 (1908) Fiançailles « Fiançailles »
semblait un archipel, Des femmes demandaient l’amour et la dulie, Et sombre , sombre fleuve, je me rappelle Les ombres qui pas
un archipel, Des femmes demandaient l’amour et la dulie, Et sombre, sombre fleuve, je me rappelle Les ombres qui passaient n
12 (1911) Cortège « Cortège »
rre t’éblouit Quand tu lèves la tête. Et moi aussi de près, je suis sombre et terne, Une brume qui vient d’obscurcir les lan
13 (1911) Le Larron « Le Larron »
ou le gnou L’ombre équivoque et tendre est le deuil de ta chair Et sombre elle est humaine et puis la nôtre aussi Va-t’en l
14 (1903) Le Larron « Le Larron »
u le gnou. L’ombre équivoque et tendre est le deuil de ta chair, Et sombre , elle est humaine et puis la nôtre aussi. Va-t’en
15 (1912) Vendémiaire « Vendémiaire »
la vendange de l’aube Un soir passant le long des quais déserts et sombres En rentrant à Auteuil j’entendis une voix Qui cha
16 (1912) Zône « Zône »
s de ton rire dorent le fond de ta vie C’est un tableau pendu dans un sombre musée Et quelquefois tu vas le regarder de près
17 (1913) Zône « Zône »
s de ton rire dorent le fond de ta vie C’est un tableau pendu dans un sombre musée Et quelquefois tu vas le regarder de près
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