i je vous entends je vous vois encore Destinées Ombre multiple que le
soleil
vous garde Vous qui m’aimez assez pour ne jamais
rde Vous qui m’aimez assez pour ne jamais me quitter Et qui dansez au
soleil
sans faire de poussière Ombre encre du soleil Ecr
uitter Et qui dansez au soleil sans faire de poussière Ombre encre du
soleil
Ecriture de ma lumière Caisson de regrets Un dieu
Hôtel Ma chambre a la forme d’une cage Le
soleil
passe son bras par la fenêtre Mais moi qui veux f
era ton éblouissement Pâtres Je vois un dieu oblong flotter sous le
soleil
Puisse le premier dieu visible s’en aller Et si c
inconnus Et je vivrai par ta chaleur et d’espérance Mais ton amour
soleil
brûle divinement Mon corps qu’être divin voulut m
Au semblant des noyés il ira sur une île Pourrir face tournée vers le
soleil
splendide Deux ailes feuillolent sous le ciel d’I
cueillaient la rose ardente Leurs yeux tout à coup ont fleuri Et quel
soleil
la bouche errante A qui la bouche avait souri
ahan Pour tes roses J’aurais fait Un voyage plus long encore Ton
soleil
n’est pas celui Qui luit Partout ailleurs Et tes
ui savent si joliment Braire en regardant La barbe rougie au henné Du
Soleil
qui ressemble A ces jeunes marchands barbus Abrit
et le Dédain. Il y vient aussi nos ombres Que la nuit dissipera, Le
soleil
qui les rend sombres Avec elles disparaîtra. Le
’assied la mère Il y a la fenêtre Briller sous le
soleil
Les caps aux feuillages sombres des pins et des o
n de vin mélangé d’eau Oh ! le beau rubis que font du vin rouge et du
soleil
Quand la faim est calmée
Photographie tu es l’ombre Du
Soleil
Qu’est sa beauté Août 19
d’argent, ô pluie, ô ma musique L’invisible ennemi plaie d’argent au
soleil
Et l’avenir secret que la fusée élucide Entends n
d’argent, ô pluie, ô ma musique L’invisible ennemi plaie d’argent au
soleil
Et l’avenir secret que la fusée élucide Entends n
ns l’attentive et bien-apprise J’ai vu feuilloler nos forêts. Mer, le
soleil
se gargarise Où les matelots désiraient Que vergu
s torches de mon tourment. * Oiseaux, tiriez aux mers la langue. Le
soleil
d’hier m’a rejoint. Les otelles nous ensanglanten
ns l’attentive et bien-apprise J’ai vu feuilloler nos forêts. Mer, le
soleil
se gargarise Où les matelots désiraient Que vergu
les torches de mon tourment. Oiseaux, tiriez aux mers la langue. Le
soleil
d’hier m’a rejoint. Les otelles nous ensanglanten
ntal cinname, Au couchant, où sanglant et rond comme mon âme Le grand
soleil
payen fait mourir en mourant Avec les bourgs loin
tal cinname, Au couchant où, sanglant et rond comme mon âme, Le grand
soleil
païen fait mourir, en mourant, Avec les bourgs lo
r est devenu mauvais. Qu’au pyrée les flammes renaissent ! Mon âme au
soleil
se dévêt. Dans la plaine ont poussé des flammes
de mes délices Et des oiseaux protègent de leurs ailes ma face et le
soleil
. O mémoire, combien de races qui forlignent Des
lève un théâtre Que construisit le ver Zamir sans instrument, Puis le
soleil
revint ensoleiller les places D’une ville marine
est devenu mauvais. Qu’au Brasier les flammes renaissent ! Mon âme au
soleil
se dévêt. Dans la plaine ont poussé des flammes
de mes délices Et des oiseaux protègent de leurs ailes ma face et le
soleil
. O mémoire, combien de races qui forlignent Des
ve un théâtre Que construisit le ver Zamir, sans instrument… Puis, le
soleil
revint ensoleiller les places D’une ville marine
ube neuve Ne feront plus vibrer la statue de Memnon. Après, sous le
soleil
pourriront les cadavres Et les hommes mourront, n
iront les cadavres Et les hommes mourront, nombreux, en liberté. — Le
soleil
et les morts aux terres qu’on emblave Donnent la
hant mortel du cygne Et l’hymne victorieux que les premiers rayons du
soleil
ont fait chanter à Memnon l’immobi
de mes délices Et des oiseaux protègent de leurs ailes ma face et le
soleil
. O mémoire, combien de races qui forlignent Des
Merlin et la vieille femme Le
soleil
ce jour-là, s’étalait comme un ventre Maternel, q
: « Rival ! « O mon être glacé dont le destin m’accable, « Dont ce
soleil
de chair grelotte, veux-tu voir, « Ma mémoire ven
veux avoir ? » Son geste fit crouler l’orgueil des cataclysmes, Le
soleil
en dansant remuait son nombril Et soudain le prin
est devenu mauvais. Qu’au brasier les flammes renaissent ! Mon âme au
soleil
se dévêt. Dans la plaine ont poussé des flammes
rche ses saisons Cœur obus éclaté tu sifflais ta romance Et tes mille
soleils
ont vidé les caissons Que les dieux de mes yeux r
rche ses saisons Cœur obus éclaté tu sifflais ta romance Et tes mille
soleils
ont vidé les caissons Que les dieux de mes yeux r
rche ses saisons Cœur obus éclaté tu sifflais ta romance Et tes mille
soleils
ont vidé les caissons Que les dieux de mes yeux r
eut une douleur touchante « Requiem aeternam dona ei, Domine. » Le
soleil
au déclin empourprait la montagne Et notre amour
lève un théâtre Que construisit le ver Zamir sans instrument, Puis le
soleil
revint ensoleiller les places D’une ville marine
inuit Quand on a le temps on a la liberté Bigorneaux bottes multiples
soleils
et l’oursin du couchant, Une vieille paire de cha
inuit Quand on a le temps on a la liberté Bigorneaux Lottes Multiples
Soleils
et l’Oursin du Couchant Une vieille paire de chau
Un Icare tente de s’élever jusqu’à chacun de mes yeux, Et porteur de
soleils
, je brûle au centre de deux nébuleuses. Qu’ai-je
mon amour. Il ressemble aux saisons, Il vit décapité, sa tête est le
soleil
Et la lune, son cou tranché. Je voudrais éprouver
s Qui dansaient, le cou nu, au son d’un accordéon. J’ai tout donné au
soleil
, Tout, sauf mon ombre. Les dragues, les ballots
mbiez »] Incertitude, oiseau feint, peint, quand vous tombiez, Le
soleil
et l’amour dansaient dans le village. Et tes enfa
rruquée Ainsi que l’euphorbe d’ici Le
soleil
à peine boutonne Je l’adore comme
Je l’adore comme un Parsi Ce tout petit
soleil
d’automne Un fantassin presque u
ur la robe ont chu des pétales Deux anneaux d’or près des sandales Au
soleil
se sont allumés Mais tes cheveux sont le trolley
ur la robe ont chu des pétales Deux anneaux d’or près des sandales Au
soleil
se sont allumés Tandis que tes cheveux sont comme
illa là-bas. Les tableaux que tu peins, tu les vis au Mexique : Un
soleil
rouge ornait le front des bananiers Et valeureux
grenouilles. Elles ont envie des cyprès, grandes quenouilles, Et, le
soleil
, miroir des roses, s’est brisé.. Toc toc… « Ent
er où élever ou humaniser. Dans ce grand vide de mon âme il manque un
soleil
il manque ce qui éclaire C’est aujourd’hui c’est
vec ces morts, leurs enfants et les vieilles femmes Sous le ciel sans
soleil
Au cimetière plein de flammes, Puis, dans le vent
les grenouilles Elles ont envie des cyprès grandes quenouilles Et le
soleil
miroir des roses s’est brisé Le stigmate sangla
vait dans un atelier si misérable qu’on y cuisait quand il faisait du
soleil
, tandis qu’on y gelait l’hiver, et quand il pleuv
la rive dormir inerte, Face tournée au ciel changeant… … Juin, ton
soleil
, ardente lyre, Brûle mes doigts endoloris. Triste
ns l’eau, la belle Loreley, Ses yeux couleur du Rhin, ses cheveux, de
soleil
. Bacharach, Mai 1902
eussent vendu leur ombre. J’ai hiverné dans mon passé. Revienne le
soleil
de Pâques Pour chauffer un cœur plus glacé Que le
âmes des villes qui tout le jour tournaient Et vomissaient la nuit le
soleil
des journées. O matelots, ô femmes sombres, et
s nombre Engloutit mes grands cris comme des dieux noyés Et la mer au
soleil
ne supporte que l’ombre Que jettent des oiseaux l
Paris nos maisons nos habitants Ces grappes de nos sens qu’enfanta le
soleil
Se sacrifient pour te désaltérer trop avide merve
ux couchés sur les terrasses Puis ayant pris leur vol vers le brûlant
soleil
Les suivirent dans l’onde où s’enfoncent les astr
où brille déjà ma mémoire, Baisse ta deuxième paupière Ni à cause du
soleil
, ni à cause de la terre, Mais pour ce feu oblong
vu ce matin une jolie rue dont j’ai oublié le nom Neuve et propre du
soleil
elle était le clairon Les Directeurs les Ouvriers
ce Ce sont les Christ inférieurs des obscures espérances Adieu Adieu
Soleil
levant cou tranché GUILLAUME APOLLINAIRE.
vu ce matin une jolie rue dont j’ai oublié le nom Neuve et propre du
soleil
elle était le clairon Les Directeurs les Ouvriers
ce Ce sont les Christ inférieurs des obscures espérances Adieu adieu
Soleil
levant cou tranché Guillaume Apollinaire
droit que la terre me donne, O mon ombre, ô mon vieux serpent ! Au
soleil
, parce que tu l’aimes, Je t’ai menée, souviens-t’
ne boche Faisons la guerre à coups de fouets Faits avec les rayons du
soleil
* * * Ceux de ta secte adorent-ils un signe obscène Belphégor le
soleil
le silence ou le chien Cette furtive ardeur des s
* * * Ceux de ta secte adorent-ils la vie obscène : Belphégor, le
soleil
, le silence ou le chien, Parce qu’il est bien d’ê
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