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1 (1914) La Chaste Lise « La Chaste Lise »
fut aujourd’hui Et là-bas sur le château enchanté Nous sommes las ce soir Mais la maison nous attend Avec la bonne soupe qu
2 (1914) La Phoque [Le Phoque] « La Phoque [Le Phoque] »
omme il faut qu’on se marie Un beau jour j’épouserai Lota Du matin au soir l’Otarie                Papa Mamman Pipe et tabac
3 (1914) Un soir d'Eté « Un soir d’Eté »
Un soir d’Eté Le Rhin Qui coule Un train Qui roule D
4 (1917) Dans l'abri caverne « Dans l’abri caverne »
ssures sont arrachés par le passage des types de ma pièce Moi j’ai ce soir une âme qui s’est creusée qui est vide On dirait
manque un soleil il manque ce qui éclaire C’est aujourd’hui c’est ce soir et non toujours Heureusement que ce n’est que ce
rd’hui c’est ce soir et non toujours Heureusement que ce n’est que ce soir Les autres jours je me rattache à toi Les autres
5 (1917) [Calligramme (jet d'eau)] « [Calligramme (jet d’eau)] »
entre les mains d’un soldat blessé un jet d’eau la queue d’un paon un soir de neige ciel constellé un bombardement un matin
6 (1917) [Calligramme (bouquet)] « [Calligramme (bouquet)] »
es pourquoi pleurer revenez demain et des fleurs toujours ouvertes le soir elle aime le ciné elle a été en Russie l’amour ma
7 (1901) Épousailles « Épousailles »
s A une qui est au bord de l’Océan. L’amour a épousé l’absence, un soir d’été ; Si bien que mon amour pour votre adolesce
8 (1911) Stances (Signe de l’Automne) « Stances (Signe de l’Automne) »
on sol ; Une Épouse me suit, c’est mon Ombre fatale, Les Colombes, ce soir , prennent leur dernier vol… Guillaume Apollinai
9 (1912) Le Signe de l'Automne « Le Signe de l’Automne »
ton sol, Une épouse me suit, c’est mon ombre fatale, Les colombes, ce soir , prennent leur dernier vol…
10 (1917) Avant le cinéma (Après le cinéma) « Avant le cinéma (Après le cinéma) »
Avant le cinéma (Après le cinéma) Et puis ce soir on s’en ira Au cinéma Les Artistes que sont-ce
11 (1912) Marie-Sybille « Marie-Sibylle »
rie-Sibylle Dans la haute rue, à Cologne, Elle allait et venait le soir , Offerte à tous, en tout mignonne Puis buvait, la
12 (1910) Les Jumeaux « Les Jumeaux »
sterdam                                    Et sur le Damme Aux beaux soirs arpentaient tous trois le macadam.               
13 (1909) [« Un soir de demi-brume, à Londres »] « [« Un soir de demi-brume, à Londres »] »
[« Un soir de demi-brume, à Londres »] Un soir de demi-br
[« Un soir de demi-brume, à Londres »] Un soir de demi-brume, à Londres, Un voyou, qui ressembla
auvaise à boire ? Avons-nous assez divagué De la belle aube au triste soir  ?… Adieu, faux amour confondu Avec la femme qui
14 (1914) 696666---69---- « 696666---6 9---- »
Et l’ennui m’emmantelle Comme un vague linceul de lugubre dentelle Ce soir .
15 (1917) Allons plus vite « Allons plus vite »
Allons plus vite              Et le soir vient et les lys meurent                      Reg
16 (1907) [Poème sans titre (incipit : « Trente ans debout à la frontière »)] « Poème sans titre (incipit : « Trente ans debout à la frontière ») »
er. Je palpai la contrebandière : Puis, quand je devins brigadier, Un soir , dans le train de dix heures, D’un homme correcte
17 (1909) Les Sapins « Les Sapins »
Les sapins, beaux musiciens, Chantent des noëls anciens Au vent des soirs d’automne Ou bien graves magiciens Incantent le c
18 (1917) Le Vigneron champenois « Le Vigneron champenois »
uerre Un vigneron champenois qui est un artilleur C’est maintenant le soir et l’on joue à la mouche Puis les soldats s’en ir
19 (1917) Pablo Picasso « Pablo Picasso »
de l’énorme mer   L’aventure de ce vieux cheval   en Amérique   Au soir de la pêche merveilleuse   l’œil du masque   Air
’artiste-peintre Ton pauvre   étincellement pâle L’ombre agile   d’un soir d’été qui meurt Immense désir   et l’aube émerge
20 (1914) Mille regrets « Mille regrets »
Mille regrets Un soir rhénan transparent pour ma nostalgie, Dans l’aube
21 (1909) Les Sept Épées « Les Sept Épées »
ain. La quatrième, Malourène, Est un fleuve vert et doré ; C’est le soir quand les riveraines Y baignent leurs corps adoré
22 (1915) Les Saisons « Les Saisons »
dins des cagnats Quelque alluminium où tu t’ingénias A limer jusqu’au soir d’invraisemblables bagues                As-tu
23 (1915) Les Saisons « Les Saisons »
ndins des cagnats Quelque aluminium où tu t’ingénias A limer jusqu’au soir d’invraisemblables bagues                As-tu
24 (1917) Les Saisons « Les Saisons »
ndins des cagnats Quelque aluminium où tu t’ingénias A limer jusqu’au soir d’invraisemblables bagues                      As
25 (1904) Schinderhannes « Schinderhannes »
our maintenant, ma poule ; Sers nous un bon petit repas. Il faut ce soir que j’assassine Ce riche juif, au bord du Rhin, A
26 (1917) Le Dépôt « Le Dépôt »
gentine Je mâche lentement ma portion de bœuf Je me promène seul le soir de 5 à 9 Je selle mon cheval nous battons la ca
27 (1918) Souvenir des Flandres « Souvenir des Flandres »
rmesses, Carrousels. — O fraîcheur des matins. Tendresse des longs soirs alanguis dans les Flandres, Grands ports que chaq
28 (1902) L'Ermite « L’Ermite »
coucher Qui tendent sans espoir de si jolis culs roses. Et, c’est le soir , les fleurs de jour déjà se closent Et les souris
rêves poupins Souvent et j’ai dormi au sol des sapinières. Enfin, ô soir pâmé, au bout de mes chemins La ville m’apparut,
narines. Aucun pauvre désir ne gonfle ma poitrine Lorsque je vois, le soir , les couples s’enlaçant. Et je ne veux plus rie
29 (1913) Lundi rue Christine « Lundi rue Christine »
cierge laisseront tout passer Si tu es un homme tu m’accompagneras ce soir Il suffirait qu’un type maintint la porte cochère
30 (1909) [« Voie lactée, ô sœur lumineuse »] « [« Voie lactée, ô sœur lumineuse »] »
; Les fleurs, aux balcons de Paris, Penchent comme la tour de Pise. Soirs de Paris, ivres du gin Flambant de l’électricité.
31 (1912) Zône « Zône »
Ouvriers et les belles sténo-dactylographes Du lundi matin au samedi soir quatre fois par jour y passent Le matin par trois
t tu recules aussi dans ta vie lentement En montant au Hradchin et le soir en écoutant Dans les tavernes chanter des chanson
s Rosiers ou rue des Ecouffes dans des bouges Je les ai vu souvent le soir ils prennent l’air dans la rue Et se déplacent ra
32 (1913) Zône « Zône »
s Ouvriers et les belles sténodactylographes Du lundi matin au samedi soir quatre fois par jour y passent Le matin par trois
t tu recules aussi dans ta vie lentement En montant au Hradchin et le soir en écoutant Dans les tavernes chanter des chanson
s Rosiers ou rue des Ecouffes dans des bouges Je les ai vu souvent le soir ils prennent l’air dans la rue Et se déplacent ra
33 (1912) Le Voyageur « Le Voyageur »
es s’y répandaient. Je m’en souviens, je m’en souviens encore. Un soir je descendis dans une auberge triste Auprès de Lu
34 (1912) Vendémiaire « Vendémiaire »
les ivres oiseaux De ma gloire attendaient la vendange de l’aube Un soir passant le long des quais déserts et sombres En r
evenir Et tous mes vignerons dans ces belles maisons Qui reflètent le soir leurs feux dans nos deux eaux Dans ces belles mai
35 (1909) [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] « [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] »
é nos destins. Ses regards laissaient une traîne D’étoiles dans les soirs tremblants ; Dans ses yeux nageaient les sirènes,
36 (1914) Le Musicien de Saint-Merry « Le Musicien de Saint-Merry »
es dans la vieille maison Mais nous n’y trouvâmes personne Voici le soir A Saint-Merry c’est l’Angélus qui sonne Cortèges
37 (1908) Fiançailles « Fiançailles »
es Pour mettre aux nids des colombes qu’elle destine Au pigeon qui ce soir semblait le Paraclet. Au petit bois de citronnie
38 (1911) Le Larron « Le Larron »
urs Nous aurons des baisers florentins sans le dire Mais au jardin ce soir tu vins sage et voleur * *   * Ceux de ta secte
39 (1903) Le Larron « Le Larron »
, Nous aurons des baisers florentins sans le dire, Mais au jardin, ce soir , tu vins, sage et voleur. * *    * Ceux de ta s
40 (1909) L'Obituaire « L’Obituaire »
s quittèrent Devant une boucherie canine Pour y acheter leur repas du soir . Bientôt, je restai seul avec ces morts Qui s’e
41 (1912) La Maison des morts « La Maison des Morts »
s quittèrent Devant une boucherie canine Pour y acheter leur repas du soir . Bientôt, je restai seul avec ces morts Qui s’en
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