fut aujourd’hui Et là-bas sur le château enchanté Nous sommes las ce
soir
Mais la maison nous attend Avec la bonne soupe qu
omme il faut qu’on se marie Un beau jour j’épouserai Lota Du matin au
soir
l’Otarie Papa Mamman Pipe et tabac
ssures sont arrachés par le passage des types de ma pièce Moi j’ai ce
soir
une âme qui s’est creusée qui est vide On dirait
manque un soleil il manque ce qui éclaire C’est aujourd’hui c’est ce
soir
et non toujours Heureusement que ce n’est que ce
rd’hui c’est ce soir et non toujours Heureusement que ce n’est que ce
soir
Les autres jours je me rattache à toi Les autres
entre les mains d’un soldat blessé un jet d’eau la queue d’un paon un
soir
de neige ciel constellé un bombardement un matin
es pourquoi pleurer revenez demain et des fleurs toujours ouvertes le
soir
elle aime le ciné elle a été en Russie l’amour ma
s A une qui est au bord de l’Océan. L’amour a épousé l’absence, un
soir
d’été ; Si bien que mon amour pour votre adolesce
on sol ; Une Épouse me suit, c’est mon Ombre fatale, Les Colombes, ce
soir
, prennent leur dernier vol… Guillaume Apollinai
ton sol, Une épouse me suit, c’est mon ombre fatale, Les colombes, ce
soir
, prennent leur dernier vol…
rie-Sibylle Dans la haute rue, à Cologne, Elle allait et venait le
soir
, Offerte à tous, en tout mignonne Puis buvait, la
auvaise à boire ? Avons-nous assez divagué De la belle aube au triste
soir
?… Adieu, faux amour confondu Avec la femme qui
er. Je palpai la contrebandière : Puis, quand je devins brigadier, Un
soir
, dans le train de dix heures, D’un homme correcte
Les sapins, beaux musiciens, Chantent des noëls anciens Au vent des
soirs
d’automne Ou bien graves magiciens Incantent le c
uerre Un vigneron champenois qui est un artilleur C’est maintenant le
soir
et l’on joue à la mouche Puis les soldats s’en ir
de l’énorme mer L’aventure de ce vieux cheval en Amérique Au
soir
de la pêche merveilleuse l’œil du masque Air
’artiste-peintre Ton pauvre étincellement pâle L’ombre agile d’un
soir
d’été qui meurt Immense désir et l’aube émerge
ain. La quatrième, Malourène, Est un fleuve vert et doré ; C’est le
soir
quand les riveraines Y baignent leurs corps adoré
dins des cagnats Quelque alluminium où tu t’ingénias A limer jusqu’au
soir
d’invraisemblables bagues As-tu
ndins des cagnats Quelque aluminium où tu t’ingénias A limer jusqu’au
soir
d’invraisemblables bagues As-tu
ndins des cagnats Quelque aluminium où tu t’ingénias A limer jusqu’au
soir
d’invraisemblables bagues As
our maintenant, ma poule ; Sers nous un bon petit repas. Il faut ce
soir
que j’assassine Ce riche juif, au bord du Rhin, A
gentine Je mâche lentement ma portion de bœuf Je me promène seul le
soir
de 5 à 9 Je selle mon cheval nous battons la ca
rmesses, Carrousels. — O fraîcheur des matins. Tendresse des longs
soirs
alanguis dans les Flandres, Grands ports que chaq
coucher Qui tendent sans espoir de si jolis culs roses. Et, c’est le
soir
, les fleurs de jour déjà se closent Et les souris
rêves poupins Souvent et j’ai dormi au sol des sapinières. Enfin, ô
soir
pâmé, au bout de mes chemins La ville m’apparut,
narines. Aucun pauvre désir ne gonfle ma poitrine Lorsque je vois, le
soir
, les couples s’enlaçant. Et je ne veux plus rie
cierge laisseront tout passer Si tu es un homme tu m’accompagneras ce
soir
Il suffirait qu’un type maintint la porte cochère
; Les fleurs, aux balcons de Paris, Penchent comme la tour de Pise.
Soirs
de Paris, ivres du gin Flambant de l’électricité.
Ouvriers et les belles sténo-dactylographes Du lundi matin au samedi
soir
quatre fois par jour y passent Le matin par trois
t tu recules aussi dans ta vie lentement En montant au Hradchin et le
soir
en écoutant Dans les tavernes chanter des chanson
s Rosiers ou rue des Ecouffes dans des bouges Je les ai vu souvent le
soir
ils prennent l’air dans la rue Et se déplacent ra
s Ouvriers et les belles sténodactylographes Du lundi matin au samedi
soir
quatre fois par jour y passent Le matin par trois
t tu recules aussi dans ta vie lentement En montant au Hradchin et le
soir
en écoutant Dans les tavernes chanter des chanson
s Rosiers ou rue des Ecouffes dans des bouges Je les ai vu souvent le
soir
ils prennent l’air dans la rue Et se déplacent ra
es s’y répandaient. Je m’en souviens, je m’en souviens encore. Un
soir
je descendis dans une auberge triste Auprès de Lu
les ivres oiseaux De ma gloire attendaient la vendange de l’aube Un
soir
passant le long des quais déserts et sombres En r
evenir Et tous mes vignerons dans ces belles maisons Qui reflètent le
soir
leurs feux dans nos deux eaux Dans ces belles mai
é nos destins. Ses regards laissaient une traîne D’étoiles dans les
soirs
tremblants ; Dans ses yeux nageaient les sirènes,
es dans la vieille maison Mais nous n’y trouvâmes personne Voici le
soir
A Saint-Merry c’est l’Angélus qui sonne Cortèges
es Pour mettre aux nids des colombes qu’elle destine Au pigeon qui ce
soir
semblait le Paraclet. Au petit bois de citronnie
urs Nous aurons des baisers florentins sans le dire Mais au jardin ce
soir
tu vins sage et voleur * * * Ceux de ta secte
, Nous aurons des baisers florentins sans le dire, Mais au jardin, ce
soir
, tu vins, sage et voleur. * * * Ceux de ta s
s quittèrent Devant une boucherie canine Pour y acheter leur repas du
soir
. Bientôt, je restai seul avec ces morts Qui s’e
s quittèrent Devant une boucherie canine Pour y acheter leur repas du
soir
. Bientôt, je restai seul avec ces morts Qui s’en