Flottes ») O Bateaux Souvenirs et vous Nuages Flottes Qui fuyez la
Sirène
et les feux d’un cargo Je suis à Villequier au mi
melle de l’alcyon ») La femelle de l’alcyon, L’amour, les volantes
sirènes
, Savent de mortelles chansons Dangereuses et inhu
Lul de Faltenin À M. Louis de Gonzague Frick.
Sirènes
, j’ai campé vers vos Grottes, tiriez aux mers la
elle des constellations, Car, c’est moi seul, nuit, qui t’étoile. *
Sirènes
, enfin, je descends Dans une grotte avide. J’aime
il d’hier m’a rejoint. Les otelles nous ensanglantent Dans le nid des
Sirènes
, loin Du troupeau d’étoiles oblongues.
e Celle des constellations, Car c’est moi seul, nuit, qui t’étoile.
Sirènes
, enfin, je descends Dans une grotte avide. J’aime
d’hier m’a rejoint. Les otelles nous ensanglantent Dans les nids des
Sirènes
, loin Du troupeau d’étoiles oblongues.
nt l’écoutent les yeux clos, Sans crainte d’un récif ni d’un chant de
sirène
Qui s’incantent peut-être au chœur des matelots.
’haleine Des vents qui tremblent au printemps Voguait, cygne mourant,
sirène
. Un jour, le roi, dans l’eau d’argent, Se noya,
esclave aux murènes, La romance du mal-aimé. Et des chansons pour les
sirènes
. 1903. Guillaume Apollinaire.
esclave aux murènes, La romance du mal-aimé, Et des chansons pour les
sirènes
. L’amour est mort, j’en suis tremblant, J’adore
îne D’étoiles dans les soirs tremblants ; Dans ses yeux nageaient les
sirènes
, Et nos baisers mordus, sanglants, Faisaient pleu
bleues après le grand cri Tout en restant elles touchent cette
sirène
violon Faons lourdes ailes l’incandesce que
rogent, Il se maria comme un doge, Aux cris d’une
sirène
moderne, sans époux. Gonfle-toi vers la nuit, ô
rrogent, Il se maria comme un doge, Aux cris d’une
sirène
moderne, sans époux. Gonfle-toi vers la nuit, ô
s filles à Chapultepec [motif circulaire, centre] Haute de 300 mètres
Sirènes
Hou ou ou ou ou ou ou ou Hou Hou Hou Autobus R r
samedi soir quatre fois par jour y passent Le matin par trois fois la
sirène
y gémit Une cloche rageuse y aboie vers midi Les
i soi-même s’engendre Un instant voile tout de son ardente cendre Les
sirènes
laissant les périlleux détroits Arrivent en chant
samedi soir quatre fois par jour y passent Le matin par trois fois la
sirène
y gémit Une cloche rageuse y aboie vers midi Les
i soi-même s’engendre Un instant voile tout de son ardente cendre Les
sirènes
laissant les périlleux détroits Arrivent en chant
é en bâton Je pense à toi pays des 2 volcans Je salue le souvenir des
sirènes
et des scylles mortes au moment de Messine Je sal
onné au soleil, Tout, sauf mon ombre. Les dragues, les ballots, les
sirènes
mi-mortes ! A l’horizon brumeux s’enfonçaient les
vie dans ces treilles s’ennuyent Mais où est le regard lumineux des
sirènes
Il trompa les marins qu’aimaient ces oiseaux-là I