repentantes En est-il donc deux dans Grenade Qui pleurent sur ton
seul
péché Ici l’on jette la grenade Qui se change en
pour ce qu’il aime Non pour lui-même Et avant toute chose cela
seul
prouve qu’il y a ainsi en lui cet esprit moderne
’est-ce que cela peut me faire ô ma maman D’être cet employé pour qui
seul
rien n’existe Pi-mus couples allant dans la profo
une grande rose. Une femme se promène souvent Dans le jardin toute
seule
, Et quand je passe sur la route, bordée de tilleu
nne Houhou la très gentille Est morte entre des draps très blancs Pas
seule
Bébert dit l’Anguille Narcisse et Hubert le merla
de Babel changées en ponts Araignées Pontifes Tous les amoureux qu’un
seul
lien a liés D’autres liens plus ténus Blancs ra
des enfants c’est le but de mon conte L’enfant est la richesse et la
seule
qui compte. GUILLAUME APOLLINAIRE.
Qu’importe, ma sagesse égale Celle des constellations, Car, c’est moi
seul
, nuit, qui t’étoile. * Sirènes, enfin, je desce
hangé très vite en méduse, Puisque je flambe atrocement, Que mes bras
seuls
sont les excuses Et les torches de mon tourment.
Qu’importe, ma sagesse égale Celle des constellations, Car c’est moi
seul
, nuit, qui t’étoile. Sirènes, enfin, je descend
changé très vite en méduse Puisque je flambe atrocement, Que mes bras
seuls
sont les excuses Et les torches de mon tourment.
Le son du Cor Mon amour est comme un fiévreux que
seul
apaise Le poison qui nourrit son mal et dont il
sputes. Adieu, adieu ! vous qui m’aimiez, oubliez-moi ! Laissez-moi
seule
, triste et noire, dans la gare Attendre, les yeux
pensée te rejoint et la tienne la croise * * * Tes seins sont les
seuls
obus que j’aime Ton souvenir est la lanterne de r
es dames grasses et langoureuses J’aurais dégusté lentement et tout
seul
Pendant de longues soirées Le tokay épais ou la m
ndeur argentine Je mâche lentement ma portion de bœuf Je me promène
seul
le soir de 5 à 9 Je selle mon cheval nous batto
nneur fait qu’on imite maintenant Les feuilles, ô liberté végétale, ô
seule
liberté terrestre ! Ni : les maisons flambent, pa
i même : on renouvelle le monde en reprenant la Bastille. Je sais que
seuls
le renouvellent ceux qui sont fondés en poésie. O
s joignant leurs mains démentes L’entrelaces de leurs doigts fut leur
seul
laps d’amour. Elle balla, mimant un rythme d’ex
tel « Le front nimbé de feu, sur le chemin de Rome « Il marchera tout
seul
en regardant le ciel. « La dame qui m’attend se
’ai jetée Pardon je ne fais pas plus d’ombre qu’une étoile Je suis le
seul
qui pense dans l’immensité Mon père m’apprit le
pouvoir refaire ces gens à milliers. De voir leurs pieds paniques, un
seul
de leurs cheveux, Ou leur langue quand il me plaî
uverts d’algues passaient dans leurs villes Sous-marines où les tours
seules
étaient des îles. Et cette mer avec les clartés d
ine Ici même les automobiles ont l’air d’être anciennes La Religion
seule
est restée toute neuve la Religion Est restée sim
euve la Religion Est restée simple comme les hangars de Port Aviation
Seul
en Europe tu n’es pas antique ô Christianisme L’E
ibri De Chine sont venus les pi-his longs et souples Qui n’ont qu’une
seule
aile et qui volent par couples Puis s’en vient la
isent avec la volante machine Maintenant tu marches dans Paris tout
seul
parmi la foule Des troupeaux d’autobus mugissants
maine Ici même les automobiles ont l’air d’être anciennes La Religion
seule
est restée toute neuve la Religion Est restée sim
euve la Religion Est restée simple comme les hangars de Port Aviation
Seul
en Europe tu n’es pas antique ô Christianisme L’E
ibri De Chine sont venus les pi-his longs et souples Qui n’ont qu’une
seule
aile et qui volent par couples Puis s’en vient la
isent avec la volante machine Maintenant tu marches dans Paris tout
seul
parmi la foule Des troupeaux d’autobus mugissants
phonographes galopent Où sont les aveugles où s’en sont-ils allés La
seule
feuille que j’aie cueillie s’est changée en plusi
phonographes galopent Où sont les aveugles où s’en sont-ils allés La
seule
feuille que j’aie cueillie s’est changée en plusi
des fleurs et des feuilles. Nul avant Survage n’a su mettre dans une
seule
toile, une ville entière avec l’intérieur de ses
phonographes galopent Où sont les aveugles où s’en sont-ils allés La
seule
feuille que j’aie cueillie s’est changée en plusi
l’effroyable lutte Je sais d’ancien et de nouveau autant qu’un homme
seul
pourrait des deux savoir Et sans m’inquiéter aujo
perles monstres qui palpitent Lys cerclés d’or, je n’étais pas
seul
! fais onduler les remords Nouveau monde trè
’étaient agenouillés. Il regarda longtemps les rives qui moururent.
Seuls
, des bateaux d’enfant tremblaient à l’horizon. Un
’étaient agenouillés. Il regarda longtemps les rives qui moururent.
Seuls
, des bateaux d’enfant tremblaient à l’horizon. Un
ombe porte un casque Et l’acier s’envole aussi Je suis
seul
sur le chant de bataille Tranchée blanche bois ve
un corsage noir Avec des rubans bleus et d’un chapeau gris Orné d’une
seule
petite plume défrisée. — Je vous aime, disait-il,
cherie canine Pour y acheter leur repas du soir. Bientôt, je restai
seul
avec ces morts Qui s’en allaient tout droit Au ci
un corsage noir Avec des rubans bleus et d’un chapeau gris Orné d’une
seule
plume défrisée. ‒ Je vous aime, disait-il, Comm
ucherie canine Pour y acheter leur repas du soir. Bientôt, je restai
seul
avec ces morts Qui s’en allaient tout droit Au ci
oiseaux s’offrir Les villes du Midi répondirent alors Noble Paris
seule
raison qui vis encore Qui fixes notre humeur selo
s à longs traits tout le sang de l’Europe Parce que tu es beau et que
seul
tu es noble Parce que c’est dans toi que Dieu peu
ur ou de malheur en ce monde Mais parce que comme toi j’aime à penser
seul
et que les Boches m’en empêcheraient Mais parce q
piscent, Comme un poupon chéri, mon sexe est innocent D’être anxieux,
seul
et debout, comme une borne. Seigneur, le Christ
té Nous avouons que les grossesses nous émeuvent Les ventres pourront
seuls
nier l’aséité Vois les vases sont pleins d’humi
Nous avouons que les grossesses nous émeuvent ; Les ventres pourront
seuls
nier l’aséité. Vois, les vases sont pleins d’hu