ux : Rotifères, cirons, insectes Et microbes plus merveilleux Que les
sept
merveilles du monde Et le palais de Rosemonde.
tant d’enfants l’appellaient papa Au fond du golfe calme en face des
sept
îles Gaspard marche et regrette et le riz et le t
l’île Nonnenwerth Semblait passer ancienne parmi les fillettes Les
sept
montagnes dormaient comme les bêtes Enfin lasses
ez la chanson lente d’un batelier Qui raconte avoir vu, sous la lune,
sept
femmes Tordre leurs cheveux verts et longs jusqu’
leurs frères abattus, Les bateaux qui sur le Rhin voguent. Dans les
sept
arts endoctrinés Par les vieux sapins, leurs aîné
ombre et pleine d’or par moments Nuit des hommes seulement Nuit du 24
septembre
1915 Demain l’assaut Nuit violente ô nuit dont l’
une femme, une chambre ? Quand nous reverrons-nous ? Mais, sera-ce en
septembre
?… Adieu, Léo Larguier !
une femme, une chambre ? Quand nous reverrons-nous ? Mais, sera-ce en
septembre
?… Adieu Léo Larguier !
courageux devenaient trismégistes Que Paris était beau à la fin de
septembre
Chaque nuit devenait une vigne où les pampres Rép
élandres Ecoutez mes chants d’universelle ivrognerie Et la nuit de
septembre
s’achevait lentement Les feux rouges des ponts s’
O mon amour, je t’aimais trop, Et maintenant j’ai trop de peine. Les
sept
épées hors du fourreau !… Sept épées de mélanco