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1 (1908) La Marchande (incipit : « Regardez cette troupe infecte ») « La Marchande (incipit : « Regardez cette troupe infecte ») »
ux : Rotifères, cirons, insectes Et microbes plus merveilleux Que les sept merveilles du monde Et le palais de Rosemonde.
2 (1914) Etoile « Etoile »
tant d’enfants l’appellaient papa Au fond du golfe calme en face des sept îles Gaspard marche et regrette et le riz et le t
3 (1917) Désir « Désir »
               Nuit des hommes seulement                   Nuit du 24  septembre                   Demain l’assaut Nuit violente ô
e femme qui accouche                   Nuit des hommes seulement 24 Septembre 1915
4 (1913) Rolandseck « Rolandseck »
l’île Nonnenwerth Semblait passer ancienne parmi les fillettes Les sept montagnes dormaient comme les bêtes Enfin lasses
5 (1912) Nuit rhénane « Nuit rhénane »
ez la chanson lente d’un batelier Qui raconte avoir vu, sous la lune, sept femmes Tordre leurs cheveux verts et longs jusqu’
6 (1912) Les Colchiques « Les Colchiques »
ent Pour toujours ce grand pré mal fleuri par l’automne. Neu Glück, Septembre 1901.
7 (1909) Les Sapins « Les Sapins »
leurs frères abattus, Les bateaux qui sur le Rhin voguent. Dans les sept arts endoctrinés Par les vieux sapins, leurs aîné
8 (1904) La Synagogue « La Synagogue »
a les loulabim, Hanoten ne Kamoth bagoim tholahoth baleoumim. Unkel, Septembre 1901
9 (1916) Le Désir « Désir »
ombre et pleine d’or par moments Nuit des hommes seulement Nuit du 24 septembre 1915 Demain l’assaut Nuit violente ô nuit dont l’
10 (1916) Epître à Léo Larguier, caporal-brancardier, en réponse à la sienne « Epître à Léo Larguier, caporal-brancardier, en réponse à la sienne »
une femme, une chambre ? Quand nous reverrons-nous ? Mais, sera-ce en septembre  ?… Adieu, Léo Larguier !                       
11 (1916) Epître à Léo Larguier, caporal-brancardier, en réponse à la sienne « Epître à Léo Larguier, caporal-brancardier, en réponse à la sienne »
une femme, une chambre ? Quand nous reverrons-nous ? Mais, sera-ce en septembre  ?… Adieu Léo Larguier !                          
12 (1912) Vendémiaire « Vendémiaire »
courageux devenaient trismégistes Que Paris était beau à la fin de septembre Chaque nuit devenait une vigne où les pampres Rép
élandres Ecoutez mes chants d’universelle ivrognerie Et la nuit de septembre s’achevait lentement Les feux rouges des ponts s’
13 (1909) [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] « [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] »
O mon amour, je t’aimais trop, Et maintenant j’ai trop de peine. Les sept épées hors du fourreau !… Sept épées de mélanco
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