couchant Embaumé par les foins d’occidental cinname, Au couchant, où
sanglant
et rond comme mon âme Le grand soleil payen fait
couchant Embaumé par les foins d’occidental cinname, Au couchant où,
sanglant
et rond comme mon âme, Le grand soleil païen fait
mblant, c’est Paline ; Sa lame, un ciel d’hiver neigeant ; Son destin
sanglant
, gibeline ; Vulcain mourut en la forgeant. La s
s quenouilles Et le soleil miroir des roses s’est brisé Le stigmate
sanglant
des mains contre les vitres Quel archer mal bless
S’est en allé Des plaies sur les jambes Tu m’as montré ces trous
sanglants
Quand nous prenions un quinquina Au bar des Iles
S’est en allé Des plaies sur les jambes Tu m’as montré ces trous
sanglants
Quand nous prenions un quinquina Au bar des Iles
. Intercalées dans l’an, c’étaient les journées veuves, Les vendredis
sanglants
et lents d’enterrements, Des blancs et de tout no
Intercalées dans l’an, c’étaient les journées veuves, Les vendredis
sanglants
et lents d’enterrements. Des blancs et de tout no
ui saignait lentement sur le ciel ; La lumière est ma mère, ô lumière
sanglante
! Les nuages coulaient comme un flux menstruel.
mblants ; Dans ses yeux nageaient les sirènes, Et nos baisers mordus,
sanglants
, Faisaient pleurer nos fées marraines. Mais, en
uple lassé, au verger pantelant Plein du râle pompeux des groseillers
sanglants
Et de la sainte cruauté des passiflores. » Guill