Qui mourûtes bientôt Vous leur aviez déjà glacé le
sang
les moelles Lorsque vous racontiez l’histoire des
s, amantes même, Qu’ils sont cruels ceux qui nous aiment ! Tout notre
sang
coule pour eux. Les bien-aimés sont malheureux.
auvre cœur est un hibou Qu’on cloue, qu’on décloue, qu’on recloue. De
sang
, d’ardeur, il est à bout. Tous ceux qui m’aiment
ores Sans songer aux blessés, sans regretter les vies. Il y aura du
sang
et sur les rouges mares Penchés, nous mirerons no
es printemps et les amours fécondes, La douceur des yeux bleus que le
sang
assouvit, Et l’aube qui va poindre et la fraîcheu
es et très purs car les lacs et les mers, Suffiront bien à effacer le
sang
des mains. Guillaume Apollinaire.
aissent. Tue les dieux nés de nos clairs yeux Et dans nos âmes ; le
sang
pieux De tes pieds console les dieux. Les faune
uant les croix, Du bord des routes qui poudroient. Tout rouges de ton
sang
et froids, Les dieux narquois partout se meuren
une étoile Une belle Minerve est l’enfant de ma tête Une étoile de
sang
me couronne à jamais La raison est mon fond et le
Là-bas [à gauche, un mot par ligne] c’est pour toi seule que le
sang
coule Tous les enfants savent pourquoi
nts maculés de plâtre Il vint des garçons bouchers aux bras teints de
sang
Des mitrons pâles de la farine qui les soupoudrai
eilleur. J’ai sur un grand cheval fait six heures de route, Genoux en
sang
, mais que voulez-vous que ça foute ? Tant d’homme
et repasser en courant Bonjour soldats bouteilles champenoises où le
sang
fermente Vous resterez quelques jours et puis rem
Et du retour joyeux des heureux émigrants De ce cœur il coulait du
sang
Et le rêveur allait pensant A sa blessure délicat
e meurt est plus doux que les autres Mon souffle nage au fleuve où le
sang
va tarir Les obus miaulaient. Entends chanter les
e meurt est plus doux que les autres Mon souffle nage au fleuve où le
sang
va tarir Les obus miaulaient. Entends chanter les
e meurt est plus doux que les autres Mon souffle nage au fleuve où le
sang
va tarir Les obus miaulaient entends chanter les
meurt est plus doux que les autres — mon souffle nage au fleuve où le
sang
va tarir, Les obus miaulaient… entends chanter le
uie. J’ai veillé trente nuits sous les lauriers-roses. As-tu sué du
sang
, Christ dans Gethsémani ? Crucifié, réponds ! Dis
’hématidrose. J’écoutais à genoux toquer les battements Du cœur. Le
sang
, toujours, roulait en ses artères Qui sont de vie
re éperdument. Une goutte tomba. Sueur ? et sa couleur ? Lueur ! le
sang
est rouge ! et j’ai ri des damnés ! Puis enfin j’
essenciés comme du miel. Or, j’absous les aveux pourpres comme leur
sang
Des poétesses nues, des fées, des fornarines. Auc
s. * Il y a là-bas la merveille. Au prix d’elle que valez-vous ? Le
sang
jaillit de mes otelles A mon aspect, et, je l’avo
es. Il y a là-bas la merveille. Au prix d’elle, que valez-vous ? Le
sang
jaillit de mes otelles A mon aspect, et, je l’avo
êts où poussaient la mangue et l’ananas, Des singes répandant tout le
sang
des pastèques Et du blond empereur qu’on fusilla
culte de sa mort renaissant Divise ici les saints et fait pleuvoir le
sang
Heureuse pluie ô gouttes tièdes ô douleur Un enfa
gés Et ces grappes de morts dont les grains allongés Ont la saveur du
sang
de la terre et du sel Les voici pour ta soif ô Pa
au Vatican Macèrent dans le vin que je t’offre et qui a La saveur du
sang
pur de celui qui connaît Une autre liberté végéta
mmes forts saignent dans le pressoir Tu boiras à longs traits tout le
sang
de l’Europe Parce que tu es beau et que seul tu e
t des îles. Et cette mer avec les clartés de ses profondeurs Coulait,
sang
de mes veines et fait battre mon cœur. Puis, sur
Entourée de flammes ferventes Notre-Dame m’a regardé à Chartres Le
sang
de votre Sacré-Cœur m’a inondé à Montmartre Je su
é Entourée de flammes ferventes Notre-Dame m’a regardé à Chartres Le
sang
de votre Sacré-Cœur m’a inondé à Montmartre Je