re Henri Rousseau douanier Gentil Rousseau tu nous entends Nous te saluons Delaunay sa femme Monsieur Queval et moi Laisse p

                                                              Nous te saluons                                           Delauna

fier parmi mes compagnons Le Réveil a sonné et dans le petit jour je salue La fameuse Nancéenne que je n’ai pas connue  

èvre détale et voici un russieau que j’aime Et cette jeune femme nous salue charretiers                                     

llé D’astres pâles comme du lait. Sur les tréteaux l’Arlequin blême Salue d’abord les spectateurs : Des sorciers venus de B

ellé D’astres pâles comme du lait Sur les tréteaux l’Arlequin blême Salue d’abord les spectateurs Des sorciers venus de Boh

ins en bonnets pointus De longues robes revêtus Comme des astrologues Saluent leurs frères abattus, Les bateaux qui sur le Rhin

a tarir Les obus miaulaient. Entends chanter les nôtres Pourpre amour salué par ceux qui vont périr Le printemps tout mouil

a tarir Les obus miaulaient. Entends chanter les nôtres Pourpre amour salué par ceux qui vont périr * *   * Le printemps to

va tarir Les obus miaulaient entends chanter les nôtres Pourpre Amour salué par ceux qui vont périr * *   * Le printemps to

tarir, Les obus miaulaient… entends chanter les nôtres. Pourpre amour salué par ceux qui vont périr ! Le printemps tout mou

ne-vinette et les pampres couronnent Et brusquement parfois j’eusse salué très bas De nobles dames grasses et langoureuses

le soir de 5 à 9 Je selle mon cheval nous battons la campagne Je te salue au loin belle rose ô tour Magne Décembre 1914

fourrure aux poignets et aux chevilles Il poussait des cris brefs Et saluait en écartant gentiment les avant-bras Mains ouvert

nt-bras Mains ouvertes Une jambe en arrière prête à la génuflexion Il salua ainsi aux quatre points cardinaux Et quand il mar

lairé par l’électricité en bâton Je pense à toi pays des 2 volcans Je salue le souvenir des sirènes et des scylles mortes au

le souvenir des sirènes et des scylles mortes au moment de Messine Je salue le Colleoni équestre de Venise Je salue la chemis

ortes au moment de Messine Je salue le Colleoni équestre de Venise Je salue la chemise rouge Je t’envoie mes amitiés ITALIE e

ourrure aux poignets et aux chevilles. Il poussait des cris brefs, Et saluait en écartant gentiment les avant-bras Mains ouvert

as Mains ouvertes, Une jambe en arrière, prête à la génuflexion. Il salua ainsi aux quatre points cardinaux, Et quand il ma

Le Musicien de Saint-Merry J’ai enfin le droit de saluer des êtres que je ne connais pas Ils passent devan