ayant sa raison, Un chat passant parmi les livres, Des amis en toute
saison
Sans lesquels je ne peux pas vivre.
un noyer gaulé dit au vent ses douleurs. Mon Automne éternel, ô ma
Saison
mentale, Les mains des Amantes d’antan jonchent t
n noyer gaulé dit au vent ses douleurs. Mon Automne éternelle, ô ma
saison
mentale, Les mains des amantes d’antan jonchent t
eaux. Laissez là les pioches. Comme un astre éperdu qui cherche ses
saisons
Cœur obus éclaté tu sifflais ta romance Et tes mi
issez là les pioches. * * * Comme un astre éperdu qui cherche ses
saisons
Cœur obus éclaté tu sifflais ta romance Et tes mi
aissez-là les pioches * * * Comme un astre éperdu qui cherche ses
saisons
Cœur obus éclaté tu sifflais ta romance Et tes mi
! Laissez-là les pioches ! » Comme un astre éperdu qui cherche ses
saisons
, Cœur obus éclaté tu sifflais ta romance [étoiles
Pitié pour nos erreurs pitié pour nos péchés Voici que vient l’été la
saison
violente Et ma jeunesse est morte ainsi que le pr
citronniers Qui fleurissent et fructifient En même temps et en toute
saison
. D’autres jours ont pleuré avant de mourir dans d
eil aux montagnes, au ciel, Aux villes, à mon amour. Il ressemble aux
saisons
, Il vit décapité, sa tête est le soleil Et la lun