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1 (1918) Océan de terre « Océan de terre »
humide                         Maison ardente                          Saison rapide                         Saison qui chante
ardente                         Saison rapide                          Saison qui chante                 Les avions pondent d
2 (1908) Le Chat « Le Chat »
ayant sa raison, Un chat passant parmi les livres, Des amis en toute saison Sans lesquels je ne peux pas vivre.
3 (1911) Stances (Signe de l’Automne) « Stances (Signe de l’Automne) »
un noyer gaulé dit au vent ses douleurs. Mon Automne éternel, ô ma Saison mentale, Les mains des Amantes d’antan jonchent t
4 (1912) Le Signe de l'Automne « Le Signe de l’Automne »
n noyer gaulé dit au vent ses douleurs. Mon Automne éternelle, ô ma saison mentale, Les mains des amantes d’antan jonchent t
5 (1915) La Nuit d'Avril 1915 « La Nuit d’Avril 1915 »
eaux. Laissez là les pioches. Comme un astre éperdu qui cherche ses saisons Cœur obus éclaté tu sifflais ta romance Et tes mi
6 (1915) La Nuit d'Avril 1915 « La Nuit d’Avril 1915 »
issez là les pioches. * *   * Comme un astre éperdu qui cherche ses saisons Cœur obus éclaté tu sifflais ta romance Et tes mi
7 (1916) La Nuit d'Avril 1915 « La Nuit d’Avril 1915 »
aissez-là les pioches * *   * Comme un astre éperdu qui cherche ses saisons Cœur obus éclaté tu sifflais ta romance Et tes mi
8 (1915) Les Saisons « Les Saisons »
Les Saisons C’était un temps béni nous étions sur les p
9 (1915) Les Saisons « Les Saisons »
Les Saisons C’était un temps béni nous étions sur les p
10 (1916) La Nuit d'Avril 1915 « Nuit d’avril : 1915 »
 ! Laissez-là les pioches ! » Comme un astre éperdu qui cherche ses saisons , Cœur obus éclaté tu sifflais ta romance [étoiles
11 (1917) Les Saisons « Les Saisons »
Les Saisons C’était un temps béni nous étions sur les plag
12 (1918) La Jolie Rousse « La Jolie Rousse »
Pitié pour nos erreurs pitié pour nos péchés Voici que vient l’été la saison violente Et ma jeunesse est morte ainsi que le pr
13 (1908) Fiançailles « Fiançailles »
citronniers Qui fleurissent et fructifient En même temps et en toute saison . D’autres jours ont pleuré avant de mourir dans d
eil aux montagnes, au ciel, Aux villes, à mon amour. Il ressemble aux saisons , Il vit décapité, sa tête est le soleil Et la lun
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