es chœurs porphyrogénètes S’agenouillaient ingénument : C’étaient des
saints
et des poètes Egarés dans le firmament. J’étais
ciel ou l’onde Et l’on conçoit qu’elle ait conçu du Paraclet. Deux
Saintes
veillant dans les volets du tryptique Pensent béa
de cruels canuts. Vertuchou ! riotant des vulves des papesses, Des
saintes
sans tétons. J’irai vers les cités Et peut-être y
mme un rayon de lune adoré par la mer. En vain, j’ai supplié tous les
saints
aémères, Aucun n’a consacré mes doux pains sans l
Car toutes sont venues m’avouer leurs péchés, Et, Seigneur, je suis
saint
par le vœu des amantes Zélotide et Lorie, Louise
er pantelant Plein du râle pompeux des groseillers sanglants Et de la
sainte
cruauté des passiflores. » Guillaume Apollinaire
, ou dans le Labyrinthe ? Moi, je ne suis pas loin de Reims la ville
sainte
, Je vis dans un marais, au fond d’un bois touffu
, ou dans le Labyrinthe ? Moi, je ne suis pas loin de Reims, la ville
sainte
, Je vis dans un marais, au fond d’un bois touffu,
s vivantes Les viriles cités où dégoisent et chantent Les métalliques
saints
de nos saintes usines Nos cheminées à ciel ouvert
viriles cités où dégoisent et chantent Les métalliques saints de nos
saintes
usines Nos cheminées à ciel ouvert engrossent les
murmurent Toujours le même culte de sa mort renaissant Divise ici les
saints
et fait pleuvoir le sang Heureuse pluie ô gouttes
i à la maison. La lune et la tristesse disparaîtront pendant Toute la
sainte
journée. Toute la sainte journée, j’ai marché en
la tristesse disparaîtront pendant Toute la sainte journée. Toute la
sainte
journée, j’ai marché en chantant, Une dame, pench