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1 (1908) Poème (incipit : « Le chemin qui mène aux étoiles ») « Poème (incipit : « Le chemin qui mène aux étoiles ») »
es chœurs porphyrogénètes S’agenouillaient ingénument : C’étaient des saints et des poètes Egarés dans le firmament. J’étais
2 (1909) La Vierge à la fleur de haricot à Cologne « La Vierge à la fleur de haricot à Cologne »
ciel ou l’onde Et l’on conçoit qu’elle ait conçu du Paraclet. Deux Saintes veillant dans les volets du tryptique Pensent béa
3 (1910) La Confession « La Confession »
La Confession Le dernier jeudi saint , Madame Marinée, Qui vient d’entrer dans sa quatr
4 (1902) L'Ermite « L’Ermite »
de cruels canuts. Vertuchou ! riotant des vulves des papesses, Des saintes sans tétons. J’irai vers les cités Et peut-être y
mme un rayon de lune adoré par la mer. En vain, j’ai supplié tous les saints aémères, Aucun n’a consacré mes doux pains sans l
Car toutes sont venues m’avouer leurs péchés, Et, Seigneur, je suis saint par le vœu des amantes Zélotide et Lorie, Louise
er pantelant Plein du râle pompeux des groseillers sanglants Et de la sainte cruauté des passiflores. » Guillaume Apollinaire
5 (1916) Epître à Léo Larguier, caporal-brancardier, en réponse à la sienne « Epître à Léo Larguier, caporal-brancardier, en réponse à la sienne »
, ou dans le Labyrinthe ? Moi, je ne suis pas loin de Reims la ville sainte , Je vis dans un marais, au fond d’un bois touffu
6 (1916) Epître à Léo Larguier, caporal-brancardier, en réponse à la sienne « Epître à Léo Larguier, caporal-brancardier, en réponse à la sienne »
, ou dans le Labyrinthe ? Moi, je ne suis pas loin de Reims, la ville sainte , Je vis dans un marais, au fond d’un bois touffu,
7 (1912) Vendémiaire « Vendémiaire »
s vivantes Les viriles cités où dégoisent et chantent Les métalliques saints de nos saintes usines Nos cheminées à ciel ouvert
viriles cités où dégoisent et chantent Les métalliques saints de nos saintes usines Nos cheminées à ciel ouvert engrossent les
murmurent Toujours le même culte de sa mort renaissant Divise ici les saints et fait pleuvoir le sang Heureuse pluie ô gouttes
8 (1908) Fiançailles « Fiançailles »
i à la maison. La lune et la tristesse disparaîtront pendant Toute la sainte journée. Toute la sainte journée, j’ai marché en
la tristesse disparaîtront pendant Toute la sainte journée. Toute la sainte journée, j’ai marché en chantant, Une dame, pench
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