était charmante et sade Cette renonciation Si la colombe poignardée
Saigne
encore de son refus J’en plume les ailes l’idée E
ommes sur le front meurent à tout moment Que c’est un vrai plaisir de
saigner
seulement. L’artillerie est l’art de mesurer les
citronniers, Les têtes coupées qui m’acclament Et les astres qui ont
saigné
Ne sont que des têtes de femmes, Le fleuve épin
omine. » Le soleil au déclin empourprait la montagne Et notre amour
saignait
comme les groseillers Puis étoilant ce pâle autom
s Châsse de Memlinc, cet éternel cantique, Et nous ces fins d’été qui
saignent
dans les flots. Nous renaîtrons : corons, hospi
es yeux fixes je vais m’arracher des peaux autour des doigts et si je
saigne
je me sucerai le doigt jusqu’à ce que l’obscurité
citronniers, Les têtes coupées qui m’acclament Et les astres qui ont
saigné
Ne sont que des têtes de femmes. Le fleuve épin
citronniers, Les têtes coupées qui m’acclament Et les astres qui ont
saigné
Ne sont que des têtes de femmes. Le fleuve épin
emme Le soleil ce jour-là, s’étalait comme un ventre Maternel, qui
saignait
lentement sur le ciel ; La lumière est ma mère, ô
ng est rouge ! et j’ai ri des damnés ! Puis enfin j’ai compris que je
saignais
du nez À cause des parfums violents de mes fleurs
s grains ont mûri pour cette soif terrible Mes grappes d’hommes forts
saignent
dans le pressoir Tu boiras à longs traits tout le